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6° - FC - La fondation de Rome

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Colisée – L’amphithéâtre Flavien | Italie-decouverte Colisée – L’amphithéâtre Flavien 5 (99.47%) 76 vote[s] L’emblème de Rome a subi de très nombreuses détériorations par suite d’incendies, de secousses sismiques, et de pillages systématiques pour le réemploi des pierres et des fers qui les maintenaient liées. Sa construction commença en 70 de notre ère sous Vespasien, sur un emplacement choisi entre les collines du Palatin, de l’Esquilin et du Caelius, empiétant largement sur les terrains de l’ancienne Domus Aurea, la villa autrefois construite pour son propre usage par l’empereur Néron. Le Colisée fut inauguré en 80 par Titus, fils et successeur de Vespasien mort en 79. Il était dénommé Amphithéâtre Flavien, du non de la dynastie Flavia à laquelle appartenaient les deux empereurs ayant présidé à sa construction. Les dimensions du Colisée sont impressionnantes : les axes de cette gigantesque construction de forme elliptique atteignent 188 sur 156 mètres. Les blocs sont appareillés sans mortier mais au moyen de puissantes agrafes de fer.

Murena - Une famille romaine by Philippe Delaby - Illustration Cette œuvre, réalisée par Philippe Delaby en 2005 pour le portfolio « Rencontres III » chez Crognote Productions, m’avait échappé il y a quelques années, lorsque son ancien propriétaire l’avait mise en vente. Quelle ne fût pas ma fébrilité lorsqu’elle est réapparue lors de la vente Sotheby’s du début de l’année 2017 ! :)) Sobrement intitulée « Une famille romaine », elle est une synthèse admirable du talent de Delaby et de la célèbre saga qui l’a révélé. Si sa production en couleurs directes reste rare, (il n’a utilisé cette technique que pour un album de « La complainte des landes perdues », quelques illustrations et ses couvertures), elle est un témoin éternel de son immense talent trop tôt disparu. Comme le rappelait avec délicatesse le descriptif du catalogue de vente : « Il a laissé un immense vide derrière lui.

MEGAPOLIS | indigenes L’Histoire des hommes est intimement liée à l’urbanisation et au progrès. Si les cultures diffèrent, les villes n’en ont pas moins grandi et évolué en obéissant à une même dynamique humaine, à des progrès destinés à améliorer leur vie en société, dans un lieu donné. Alliant les vestiges filmés des premières mégapoles à de la reconstitution en 3D, l’ambition de cette série est de ressusciter les premières mégapoles de l’histoire universelle au temps de leur apogée, afin qu’elles nous révèlent un peu de la vie des hommes d’autrefois et l’immense variété du génie humain. Parce qu’un jour les hommes ont cessé d’être des chasseurs-cueilleurs et se sont sédentarisés. A partir des dernières avancées historiques et archéologiques connues, cette série documentaire propose d’aller à la rencontre des civilisations du passé à partir de l’urbanisme des villes les plus emblématiques : les Mégapoles de l’Antiquité. Format : HD Nb épisodes : 4X52’ Production : INDIGENES Productrice : Stéphanie HAUVILLE

Villa Romaine (région de Trèves) But not modern ones; reconstructed villas from the days of the Roman Empire. Two fine examples from Following Hadrian, both located in Germany. The first is the Villa Borg in the Saarland of Germany (near today's border with France). This area, west of the Rhine, was conquered by Julius Caesar in the first century BC during his campaign to subjugate Gaul but it was only late in the first century AD that Romanization fully occurred. During the centuries of Roman rule (which lasted till the mid-fifth century) the climate was in a warm phase and agriculture and wine-production flourished and the region prospered with economic stimulus provided by the supply demands of large garrisons of Roman legionaries and auxiliaries posted along the nearby Rhine. The Villas Borg is a reconstruction based upon the floorplans of several nearby villas and represents a typical large-scale house and grounds during the 2nd and 3rd century AD. The second villa is located in Aschaffenburg, Germany.

Exposition Arelate tome 7 : Glanum Du 12 juin au 19 septembre, les planches originales représentant à la cité antique de Glanum, tirées du tome 7 de la série Arelate, seront exposées dans le bâtiment d'accueil du site. La série de bande dessinée Arelate revient enfin avec ce nouvel opus qui donne le coup de départ du troisième et dernier cycle de cette saga antique, qui est d’ores et déjà une référence en termes de BD sur l’antiquité romaine. Vitalis, un des héros de la série à succès des auteurs arlésiens Laurent Sieurac et Alain Genot, se rend en pèlerinage à Glanum. Il espère que la source sacrée pourra guérir sa jambe blessée lors d'un combat de gladiateurs, à l'occasion de l'inauguration de l'amphithéâtre d'Arles. Ce périple dans la cité antique nous permet de voyager dans le temps et de découvrir les rues de Glanum reconstituées et animées, à la fin du 1er siècle de notre ère. Achetez l'album à Glanum et faites le vous dédicacer par les auteurs ! Informations pratiques

Le nymphée Un couloir dallé prolongé par un escalier descendant en 3 volées de 22 marches conduit à la fontaine souterrainedont le caractère supposé thérapeutique fixa l’habitat et les cultes au dieu Glanis et aux mères Glaniques, puis à Valetudo (déesse de la santé) et à Hercule autour de ses eaux et fit la fortune du site de Glanum. D’abord simple bassin taillé dans la roche, elle est aménagée au IIème siècle avant J.-C. en édifice couvert, surmonté d’un étage. Ce bassin, de plan trapézoïdal, a de l’eau en toute saison. Il subsiste un arc de pierre de taille (partiellement reconstruit) qui supportait la couverture et maintenait les parois. Une galerie de captage drainait les eaux du bassin-versant pour les conduire dans ce réservoir profond où les rites et dévotions étaient accomplis par les fidèles.

De la ruine à l’anastylose Depuis au moins la Renaissance, les monuments antiques ont été restaurés pour les proposer à la visite. Glanum n'échappe pas à cette problématique. Médiation et conservation La médiation en archéologie se heurte très souvent à un écueil majeur qui résulte de l’état de conservation très hétérogène des vestiges antiques. Pompéi ou Herculanum demeurent des cas hors normes qui permettent aux visiteurs contemporains, de toutes générations et de toutes cultures, d’embrasser d’un seul coup d’œil les bâtiments d’une cité antique conservé parfois sur plusieurs étages, des fondations jusqu’aux acrotères (socles soutenant des ornements, disposés au sommet ou sur les deux extrémités d'un fronton). La difficulté pour la majorité des sites archéologiques réside dans la complexité à appréhender des vestiges souvent conservés « au ras du sol » et à les imaginer en élévation, dans leurs dimensions originales. Plusieurs formules ont toutefois été imaginées en forme d’aide à la médiation. Le choix de Glanum

Le musée départemental de l'Arles antique - Office de Tourisme d'Arles Par sa collection permanente et ses grandes expositions, le musée départemental Arles Antique est devenu un lieu incontournable pour tous les passionnés d'archéologie, d'art et de patrimoine. Construit près des vestiges du cirque romain, au bord du Rhône, le musée offre à ses visiteurs une large vision de l’archéologie d’Arles et ses environs, du Néolithique à l’Antiquité tardive. Si le buste identifié à Jules César ou le chaland gallo-romain Arles-Rhône 3 sont emblématiques de nos collections, celles-ci sont riches de près de 1700 objets exposés parmi lesquels sarcophages, mosaïques, amphores ou statues monumentales côtoient des objets de la vie quotidienne ou ayant trait à la navigation. Et pour les partager avec un public le plus large possible, des expositions temporaires, des visites, stages et ateliers mais aussi des événements festifs permettent d’appréhender cette Antiquité de manière détendue mais néanmoins rigoureuse. Visiter les collections permanentes : Visites pour individuels

Patrimoine de la ville d'Arles Les Alyscamps Présentation Dans l’Antiquité, les cimetières étaient toujours extérieurs à l’enceinte des cités et souvent implantés le long des grands axes routiers. Dès le début de l’Empire, tombes à incinération, Allée des sarcophages et église Saint-Honorat sarcophages et mausolées s’égrenèrent aux abords de la Via Aurelia, constituant une vaste nécropole. Mais, c’est à l’époque paléochrétienne que le cimetière prit une importance majeure avec l’inhumation du martyr saint Genest et la sépulture des premiers évêques d’Arles, abrités dans une chapelle bientôt entourée par un grand nombre de tombes pressées sur plusieurs rangs. Vers 1040 fut installé un prieuré sous le vocable de Saint-Honorat dépendant de l’abbaye Saint-Victor de Marseille. L’allée des Alyscamps qui subsiste aujourd’hui a été aménagée par les religieux Minimes au XVIIIe siècle. Histoire Durant l’Antiquité, le monde des morts était séparé du monde des vivants, et les nécropoles se trouvaient à l’extérieur des remparts.

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