Axel&Cie - les vêtements remade in France présenté par Axelle&Cie Présentation détaillée du projet Axel&Cie re-fabrique en France des vêtements pour hommes, femmes ou enfants : t-shirts et également polos, sweets, pulls et chemises. Prêt-à-porter stylé, ce sont des vêtements confiance, des valeurs sûres, essentiels de la garde-robe et marqueurs identitaires. La plupart des marques écologiquement irréprochables soit négligent le style soit proposent des prix trop chers pour le plus grand nombre. Le choix qui s'impose entre vêtements lookés, éthiques et abordables est un vrai problème. Comment ça marche ? Je récupère les vêtements dont vous ne voulez plus chez vous ou auprès des organismes de collecte partenaires. - recoupés (exit les formes démodées !) - renforcés (adieu petits trous et tissus élimés !) - puis reteints (oubliées les couleurs délavées!) - et imprimés (parce que c'est beaucoup plus stylé !) Le tout selon les lignes et graphismes de la collection saisonnière. Les objectifs d'Axel&Cie À quoi servira la collecte ?
Des « éco-guerriers » protègent forêts et animaux en Indonésie | Mr Mondialisation Depuis de longues années, l’Indonésie fait face à une déforestation majeure qui implique la disparition progressive de l’habitat naturel de nombreuses espèces. Cette déforestation est à mettre à la charge des multinationales peu soucieuses du désastre environnemental tout autant que des consommateurs qui se soucient peu de ce qu’ils achètent. Dans la balance économique de cette industrie, les écosystèmes ne font simplement pas le poids. Une grande partie de cette déforestation est illégale et imputable aux braconniers qui pillent les ressources des forêts tropicales. Un visage double Un territoire qui fait presque quatre fois celui de la France, d’immenses forêts tropicales à perte de vue, une biodiversité dont la richesse a traversé le temps, voici le portrait brossé d’une Indonésie vendue aux touristes. Les animaux comme les éléphants, les tigres ou les orangs-outans sont, quant à eux, braconnés, tantôt pour leur peau, tantôt pour l’ivoire qu’ils promettent. Image : WWF Warrior
Je pollue moins | Le blog des nouvelles mobilités et du covoiturage De plus en plus d’entreprises et d’organismes à but non lucratif font leur entrée sur le marché en plein essor de l’auto-partage. Ils offrent aux consommateurs de nouvelles possibilités pour personnaliser leurs formules de location, à moindre frais et avec toujours plus de flexibilité. Car2go ( est une de ces nouvelles offres. Proposée par le fabricant de voitures de luxe allemand Daimler, il propose aux consommateurs de louer des voitures à deux places et de payer leur location non plus à l’heure, mais à la minute. Austin Fossey, qui ne possède pas de voiture, a ainsi fait appel à Daimler lorsque sa femme Brooke, enceinte, a ressenti ses premières contractions… à 2 heures du matin en pleine fête de Thanksgiving ! « Nous voulions simplement laisser la voiture et ne plus nous en soucier », a déclaré Mme Fossey, souriante, son fils Ethan dans les bras. Devant l’augmentation croissante de l’offre, les entrepreneurs cherchent sans cesse à se démarquer.
Quand 3 jeunes filles sont plongées dans une usine au Cambodge « Sweatshop », ou atelier de misère, est un terme désignant les usines à textiles des années 1830/1840. Terme péjoratif, il désigne l’esclavagisme industriel qui était employé à la révolution industrielle en particulier sur les travailleuses du textile. On croirait qu’un tel terme a disparu, mais il fut en réalité délocalisé loin d’occident et des yeux des consommateurs. « Sweatshop », c’est aussi le nom d’une émission de télévision norvégienne un peu particulière. Réveil ! Frida, Ludvig et Anniken ne sont pas près de retourner dans un H&M, Zara, ou autre multinationale du genre, sans ressentir toute la difficulté des conditions de vie des travailleuses du textile du Cambodge. Depuis plusieurs années, les travailleurs du textile réclament un meilleur salaire. Les 3 intrépides avaient, comme nous tous, déjà entendu parler de ces conditions de travail. Surtout, ne pas évoquer H&M Les producteurs affirment que la mentalité des 3 jeunes fut changée à jamais.
Elle immortalise les petits-déjeuners du monde pour dénoncer le mode de vie américain Une photographe américaine a voulu capturer les enfants lors de leur petit-déjeuner à différents endroits de la terre. Un travail à la fois artistique, critique et anthropologique sur une pratique culturelle partagée dans le monde entier. La photographe américaine Hanna Whitaker a réalisé un reportage dans le but de mettre en avant la diversité alimentaire des petits-déjeuners à destination des enfants de toute la planète. Son reportage publié dans le New York Times Magazine avait pour objectif de heurter l’américain moyen englué dans son habituel (et très industriel) bol de céréales dans du lait. Elle va tenter de démontrer que, dans d’autres pays, la diversité des petits-déjeuners est toute autre. L’artiste déplore en effet le manque de diversité alimentaire des Américains. Son reportage nous emmène dans de nombreux pays de tous les continents. Turquie : Doga profite de son petit-déjeuner le plus élaboré de la semaine : celui du samedi A 2 ans et demi, Hakim boit un café au lait.
What Kids Around the World Eat for Breakfast Parents who want their kids to accept more adventurous breakfasts would be wise to choose such morning fare for themselves. Children begin to acquire a taste for pickled egg or fermented lentils early — in the womb, even. Compounds from the foods a pregnant woman eats travel through the amniotic fluid to her baby. Children, and young omnivorous animals generally, tend to reject unfamiliar foods on the first few tries. Sugar is the notable exception to “food neophobia,” as researchers call that early innate fear. To sample the extensive smorgasbord that still constitutes breakfast around the world, Hannah Whitaker recently visited with families in seven countries, photographing some of their youngest eaters as they sat down in front of the first meal of the day.
« On a trouvé le 7e continent » et ça n’a rien de joyeux | Mr Mondialisation « On a trouvé le 7e continent » et ça n’a rien de joyeux « On a trouvé le 7e continent » Ainsi est résumée la triste réalité vue par Patrick Deixonne et son équipage. Ce sont 52 minutes d’un documentaire inédit qu’ils viennent de produire au retour de leur expédition scientifique. Des scientifiques, des enseignants et des journalistes, voilà de quoi étaient composés les deux équipages d’une expédition ayant pour mission de ramener un maximum d’images, d’échantillons et de réponses concernant le 7e continent. Dans ce reportage, leur aventure est narrée depuis les préparatifs jusqu’à la récolte des échantillons en passant par la lente approche de ce continent d’immondices situé en Atlantique Nord. Soupe de plastique prélevée dans le Pacifique Nord. Chaque année ce sont entre 8 et 10 millions de tonnes de plastiques qui sont perdus ou lâchés en mer, dont 90% proviennent directement des continents. Leur mission ne s’arrêtera pas à ces observations. Le documentaire est en libre diffusion.
Les arbres les plus vieux du Monde Comment imaginer que des arbres puissent être vieux de plus de 10.000 ans ? Comment imaginer que ces arbres aient pris racine bien avant la construction des pyramides d’Egypte, bien avant l’avènement de Sumer et de Babylone, bien avant que Jéricho, la première ville supposée au monde voit le jour ? Les arbres les plus vieux datent d’une époque se perdant dans la brume des âges, où les premières peuplades humaines balbutiaient l’apprentissage de l’agriculture. Je vous propose donc un tour d’horizon de quelques arbres parmi les plus vieux. Vous pourrez le constater en consultant : Les arbres les plus grands et gros du Monde. L’olivier de Roquebrune-Cap-Martin, France : 2000 ans. Commençons par la France avec l’olivier de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes) qui serait vieux de plus de 2 000 ans. Jōmon Sugi, Japon : entre 2100 et 7200 ans. Jōmon Sugi est un grand cèdre du japon situé à Yakushima, un site du patrimoine mondial de l’humanité, au Japon. L’olivier de Vouves, Crète : 3000 ans.
Voici la carte de France des alternatives locales pour un changement global Voici la carte de France des alternatives locales pour un changement global Le journal Bastamag! vient de publier la « carte de France des alternatives » présentant 89 alternatives locales qui ont comme objectif de proposer des solutions sociales, économiques, écologiques et démocratiques au système dominant. Toutes se basent sur des valeurs de coopération, de solidarité, de partage et de préservation de l’environnement. De quoi donner des bonnes idées pour la nouvelle année ! Citoyens, collectifs, salariés, élus, associations, coopératives, municipalités : les acteurs portant ces projets alternatifs sont variés mais ont tous un objectif commun : agir pour faire de demain un monde meilleur, plus solidaire, plus égalitaire, moins corrompu et moins pollué. Le monde de demain est en marche, quoi qu’en disent les conservateurs et fatalistes divers. [Ces alternatives] sont ancrées dans l’écologie et dans l’innovation sociale. Voir la « carte de France des alternatives«
La carte de France des alternatives écologiques et sociales Des énergies renouvelables à la finance solidaire, de l’habitat écologique à l’éducation populaire, des fermes agro-écologiques aux coopératives ouvrières, découvrez notre carte des alternatives. Un tour de l’Hexagone qui montre qu’une transformation écologique et sociale de la société est non seulement possible mais déjà à l’œuvre localement. Passez votre souris sur l’icône pour voir de quelle alternative il s’agit et cliquez sur l’icône pour accéder à l’article détaillé. Et n’hésitez pas à nous suggérer d’autres alternatives, cette carte n’étant pas exhaustive. Bonne visite ! Lire aussi notre chronique : 89 révolutions locales pour un changement global Cette carte recense 89 expériences alternatives menées en France dont Basta !
Cette maison est un tas d’ordures. Au sens propre Cette maison est un tas d’ordures. Au sens propre ! Pas moins de 20 000 brosses à dents usagées se baladeraient dans ses cloisons… Ce projet étonnant d’éco-construction n’est autre qu’une maison dont les murs, l’isolement et les finitions sont faits de déchets. Un tas d’ordures, pratiquement au sens propre, qui devient un habitat durable et écologique. Le futur de l’habitation serait aussi une poubelle ? Décidé à mettre en pratique son idée folle, Baker-Brown mobilise ses étudiants de l’Université de Brighton. De l’extérieur, on peut apercevoir cette surface noire et caoutchouteuse qui recouvre les murs de la maison. L’intérieur ressemble à une maison pratiquement normale aux finitions relativement basiques. Le toit fut le plus difficile à réaliser car tout au long d’un tel projet, il n’existe jamais de certitude sur l’approvisionnement en matériaux usagés. Dans un intérêt pédagogique, le bâtiment est percé de petits judas qui donnent vue sur ce qui se passe à l’intérieur des murs.