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Keynésianisme

Keynésianisme
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le keynésianisme est une école de pensée économique fondée par l'économiste britannique John Maynard Keynes. Pour les keynésiens, les marchés laissés à eux-mêmes ne conduisent pas forcément à l'optimum économique. Pour Alan Blinder[1] le keynésianisme s'articule autour de six principaux traits dont trois concernent le fonctionnement de l'économie et trois les politiques économiques. (1) la demande agrégée est erratique ;(2) les inflexions de la demande ont une plus grande influence sur la production et l'emploi que sur les prix ;(3) les prix et spécialement les salaires réagissent lentement au changement de l'offre et de la demande. À partir de là, les keynésiens avancent trois principes de politique économique : Les grands traits du keynésianisme[modifier | modifier le code] Demande effective et loi de Say[modifier | modifier le code] La demande effective est la demande anticipée par les entrepreneurs. La fonction de Consommation (C) : et donc

Milton Friedman Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Friedman. Photographie représentant Milton Friedman. Milton Friedman a inauguré une pensée économique d'inspiration libérale dont les prescriptions s'opposent de front à celle du keynésianisme. En réponse à la fonction de consommation keynésienne, il développa la théorie du revenu permanent. Avec cette théorie et l'introduction du taux de chômage naturel, Friedman remet en cause le bien-fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne peuvent que provoquer de l'inflation contre laquelle il faut lutter. Ses idées se diffusèrent progressivement et furent prises en compte par les milieux politiques dans les années 1980, influençant profondément les mouvements conservateurs et libertariens américains. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Le campus de l'université de Chicago Travail au niveau fédéral[modifier | modifier le code] Débuts[modifier | modifier le code]

100% money (système monétaire à réserves pleines) Cet article est un résumé d’un article plus complet en téléchargement pdf de Christian Gomez auquel vous pouvez vous référer pour avoir plus de détails. Il est publié avec l’accord de l’auteur. L’article complet est intitulé : "Une « vieille » idée peut-elle sauver l’économie mondiale ? A-J Holbecq========================================================= Les banques doivent-elles disposer du pouvoir de créer de la monnaie ? Le principe actuellement en vigueur est nommé « système de crédit à couverture fractionnaire » est le vice fondamental de nos systèmes bancaires : la création monétaire qui lui est liée permet aux banques de faire du crédit en promettant de payer à vue des sommes pour lesquelles elles n’ont en réserve qu’une fraction de ces exigibilités, en jouant sur « la loi des grands nombres » et les compensations entre les entrées et les sorties de fonds. Ce mécanisme du crédit bancaire considéré comme frauduleux a été critiqué pour 1. (1) les dépôts à terme d’épargne 4. 1. 1. 2.

Contre l’oligarchie, la finance et les médias : Que faire ? Dans le nouveau Fakir en kiosques, notre dossier est consacré à cette (vaste) question : que faire ? Que faire pour pulvériser l’oligarchie ? Que faire pour leur retirer le pouvoir – et donc pour le prendre ? Par les bombes ? La rue ? Les urnes ? Ils sauveront les banques avec nos retraites. Le doute n’est plus permis : qu’on les laisse faire, et tout ça ils le feront. Dans ce dossier, Fakir s’essaie un petit catalogue des impasses (« attendrel’écroulement », « miser sur les solutions locales », « cracher sur les partis », etc.) et des débuts de solutions (« ne pas cracher sur les syndicats, les partis, nous élever au dessus de l’époque... ») Des lecteurs nous ont répondus et pas qu’un peu... Laurent, de Corrèze : « je lis comme un paradoxe » [...]– « après les urnes, la rue ! – « miser sur la consommation citoyenne », ah, les lois ! Jean-Pierre : « si les élections pouvaient changer réellement quelque chose à la réalité capitaliste, il y a longtemps qu’elles seraient interdites »

Le Blog d'Olivier Berruyer sur les crises actuelles Frapper monnaie Glass-Steagall Act Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Glass-Steagall Act est le nom sous lequel est généralement connu le Banking Act de 1933 aux États-Unis par lequel sont instaurés : l'incompatibilité entre les métiers de banque de dépôt et de banque d'investissement ;le système fédéral d'assurance des dépôts bancaires ;le plafonnement des taux d'intérêt sur les dépôts bancaires (règlementation Q). Battu en brèche depuis le milieu des années 1970 et largement contourné par l'ensemble de la profession bancaire, il est finalement abrogé « sous l'administration Clinton, le » par le Financial Services Modernization Act, dit Gramm-Leach-Bliley Act, juste à temps pour permettre la fusion constitutive de Citigroup. Contexte historique[modifier | modifier le code] L'application tardive du principe de séparation des pouvoirs[modifier | modifier le code] Selon Nicolas J. La doctrine Germain[modifier | modifier le code] L'époque du relâchement[modifier | modifier le code] J.P. ↑ J.

Le blog de jean Claude Werrebrouck Histoire de la pensée économique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'histoire de la pensée économique appartient à la fois au domaine de l'Histoire et à celui de l'économie. Elle s'attache à présenter et à comprendre l'évolution des formes et des contenus de la pensée économique. (voir aussi Histoire de la philosophie, Histoire des sciences) En tant que discipline historique, elle utilise la chronologie et « exige de constantes références à l'histoire générale et à l'histoire des faits économiques »[1]. En tant que discipline économique, elle ne peut s'affranchir « des auteurs eux-mêmes dont il faut connaitre les doctrines. (...) Jusqu'au XVIe siècle, la pensée économique n'est pas formulée en tant que telle. Qu'est-ce que l'histoire de la pensée économique ? Il n'existe pas réellement de définition précise, mais quelques traits majeurs ressortent de l'étude des écrits des économistes : L'histoire de la pensée économique examine les grandes théories économiques de manière rétrospective. En 81 av. Livres

Que faire de la dette ? Un audit de la dette publique de la France Cette étude a été réalisée par un groupe de travail du Collectif pour un Audit citoyen de la dette publique. Elle se veut une contribution au nécessaire débat public sur des questions cruciales : d’où vient la dette ? A-t-elle été contractée dans l’intérêt général, ou bien au bénéfice de minorités déjà privilégiées ? Qui détient ses titres ? Peut-on alléger son fardeau autrement qu’en appauvrissant les populations ? Les réponses apportées à ces questions détermineront notre avenir. Télécharger la version complète du rapport 59% de la dette publique proviennent des cadeaux fiscaux et des taux d’intérêt excessifs Tout se passe comme si la réduction des déficits et des dettes publiques était aujourd’hui l’objectif prioritaire de la politique économique menée en France comme dans la plupart des pays européens. Le discours dominant sur la montée de la dette publique fait comme si son origine était évidente: une croissance excessive des dépenses publiques.

La dette publique est plombée par des intérêts illégitimes Comment ne pas être d’accord avec Jean Gadrey (lire sur son blog : Sur les dettes publiques en France et en Europe), comment ne pas vouloir mettre plus de justice fiscale et faire payer des impôts équitables à ceux qui, à ce jour, bénéficient d’avantages fiscaux considérables, impôts dont la perception permettrait effectivement une « relance durable » ? Car nous avons deux problèmes à résoudre simultanément. Le premier problème est donc de trouver les financements de la relance durable et de la transition énergétique sans simultanément augmenter la dette ni les prélèvements sur les classes moyennes déjà exsangues. Et là je pense qu’une partie de ces plus ou moins 100 milliards d’euros annuels à récupérer, estimation tout à fait cohérente de Jean, trouvent ici leur place. Le second problème c’est celui du remboursement de la dette publique à chaque échéance des titres de dette. Des intérêts illégitimes cliquer sur le graphique pour l'agrandir Quelles solutions ? L’inflation

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