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Alerte aux traces

Alerte aux traces

Marc L*** Mis en ligne le mercredi 7 janvier 2009 ; mis à jour le mardi 28 avril 2009. Bon annniversaire, Marc. Le 5 décembre 2008, tu fêteras tes vingt-neuf ans. Tu permets qu’on se tutoie, Marc ? Tu ne me connais pas, c’est vrai. Mais moi, je te connais très bien. J’ai eu un peu peur, au début, d’avoir un problème de source. Alors, Marc. Revenons à toi. On n’a pas parlé de musique. J’ai triché, une fois : pour avoir accès à ton profil Facebook (ce qui m’a bien aidé pour la suite), j’ai créé un faux profil et je t’ai proposé de devenir mon « ami ». Je pense à l’année 1998, il y a dix ans, quand tout le monde fantasmait déjà sur la puissance d’Internet. À la demande de l’intéressé, ce texte a été entièrement anonymisé et modifié (villes, prénoms, lieux, etc.) à la différence de la version parue dans Le Tigre en papier, dont seuls les noms propres des personnes citées étaient anonymisés.

Comprendre et enseigner l’identité numérique L’identité numérique est devenue, avec l’accélération de l’utilisation des réseaux sociaux par nos élèves et la prolifération des données personnelles sur le Web un thème de formation essentiel en information - documentation pour les aider à contrôler leur e-réputation, maîtriser leur image publique et la gestion des traces laissées sur le net. Plusieurs ressources, publiées depuis peu, proposent des pistes pédagogiques ou des dossiers plus généraux sur lesquels fonder la formation à l’identité numérique avec les élèves. Appréhender la notion d’identité numérique Quelle est notre identité sur le web ? Dossier de l’académie de Besançon mis à jour en septembre 2011. Identité numérique : Comment traiter ce sujet en classe Anne Delineau sur la rubrique Clemi des documentalistes de l’académie de Poitiers publie un dossier en décembre 2011. Comment sensibiliser les élèves à la question de l’identité numérique ? l’identité numérique, quelle importance pour nos présences en ligne ? Rappels

L’identité numérique- Les Enseignants Documentalistes de l’Académie de Poitiers L’identité numérique, c’est à dire l’ensemble des informations associées à une personne disponibles sur Internet, est interrogée par le thème de la Journée européenne de protection des données personnelles : Safer Internet Day 9 février "Tu publies ? Réfléchis", et elle a été une des thématiques abordées lors de la rencontre annuelle fin janvier des interlocuteurs académiques Tice&Documentation.1 Faites un essai avec les moteurs de recherche des personnes 123people ou webmii, ou tout simplement avec Google en tapant votre prénom et votre nom. Vous découvrirez ce que le Web a gardé comme traces sur votre identité professionnelle ou privée, un ensemble d’informations qu’un jour vous (ou quelqu’un d’autre) avez mis en ligne en y associant votre nom. Ces informations peuvent être publiques par choix, dans ce cas rien à dire, mais est-t-on toujours conscient de la durée de vie de ces données ? Yourtango.com Le guide des bonnes manières sur Facebook. 4 min. 13. Educnet.

Guide d'utilisation pédagogique des médias sociaux » S’informer Sommaire de cette section: Introduction Cette section répond à deux questions: “Que sont les médias socionumériques?” et “Qu’est-ce que l’identité numérique ou cyberidentité?”. Tout d’abord, il ne s’agit pas de présenter ici tous les médias socionumériques, mais bien de les définir et de présenter les caractéristiques qui permettent d’en saisir la nature. La construction de l’identité numérique est inhérente à l’informatisation et va de pair avec l’utilisation des médias socionumériques. Que sont les médias socionumériques ? Définition Les médias socionumériques sont des médias utilisant Internet afin de faciliter la création et le partage de contenus générés par les utilisateurs, la collaboration et l’interaction sociale. Image : mediassociaux.fr | CC BY-ND Les médias socionumériques peuvent être utilisés à des fins personnelles, mais aussi à des fins pédagogiques, promotionnelles, administratives et institutionnelles. Les différents médias socionumériques Nul n’est anonyme sur Internet

La médiation identitaire Des DOI (Digital Object Identifier) sont automatiquement ajoutés aux références par Bilbo, l'outil d'annotation bibliographique d'OpenEdition.Les utilisateurs des institutions abonnées à l'un des programmes freemium d'OpenEdition peuvent télécharger les références bibliographiques pour lesquelles Bilbo a trouvé un DOI. Le service d'export bibliographique est disponible pour les institutions qui ont souscrit à un des programmes freemium d'OpenEdition.Si vous souhaitez que votre institution souscrive à l'un des programmes freemium d'OpenEdition et bénéficie de ses services, écrivez à : access@openedition.org. AURAY N., HURAULT-PLANTET M., JACQUEMIN B. & POUDAT C., « La négociation des points de vue. Une cartographie sociale des conflits et des querelles dans le Wikipédia francophone », Réseaux, 154(2), 2009. BEUSCART J. BOUGNOUX D., « L’humanité en partage », Médium, N° 24-25, 2010, Frontières, p. 371.DOI : 10.3917/mediu.024.0365 BOUGNOUX D., Gaillard Fr. CARDON D., « Tous éditeurs ?

Comment se faire oublier sur Internet ? Communication Credit_triocean_Fotolia « Plutôt que de parler de droit à l’oubli sur Internet, on devrait plutôt parler du droit au contrôle », explique Claude Castelluccia, de l’équipe de recherche Planete (Protocoles et applications pour l'Internet), à Inria (Grenoble et Sophia Antipolis). De ce point de vue, toute personne amenée à publier des données sur Internet devrait avoir la possibilité ultérieure de les modifier ou de les effacer. Est-ce possible ? Pas si simple, répond Claude Castelluccia lors de son interview à Interstices : « les données peuvent être sauvegardées dans différents endroits et différents pays. Dans de nombreux pays, les législateurs et les associations se mobilisent pour que des cadres juridiques satisfaisants soient imposés, à terme. « En attendant, un rôle important peut être joué par l’éducation et la formation du public. Il existe trois solutions techniques intéressantes pour gérer ces données éphémères. La troisième approche est celle d’Inria.

E-réputation – anonymisation ou non : un paradoxe médiatique Nous avions déjà évoqué cette question voici un an (notre actualité du 2 novembre 2011), mais nous continuons à penser qu’il existe une certaine schizophrénie sur Internet, qui rejaillit gravement sur l'e-réputation des personnes (également nommée web-réputation, cyber-réputation ou encore réputation numérique). Les deux faces de l’information L’information réglementée pour protéger le citoyen D’une part, nous disposons de la recommandation de la CNIL, en date du 22 novembre 2001, en matière de publication des décisions de justice sur Internet, invitant à anonymiser celles-ci. Cette recommandation n’est pas destinée uniquement à Légifrance comme on le lit parfois, pas plus qu’elle n’est destinée à masquer partout les noms des parties. La portée de la recommandation de la CNIL s’étend donc très logiquement à tout l’Internet et rien qu’à l’Internet. La loi Informatique, fichiers et libertés applicable sur Internet La puissance de traitement des moteurs de recherche Un hiatus incompréhensible

Internet : pseudonyme VS identité réelle Souvenez-vous d’un temps où apparaître sous votre véritable nom sur un forum, un blog, un réseau social ne vous serait jamais venu à l’esprit…Hé bien, peut-être que dans quelques années, nous serons passés dans une situation exactement contraire. Avec la pénétration saisissante du réseau social Facebook, utiliser sa véritable identité sur Internet devient une nouvelle norme. Il y a les pour et puis il y a les contre... Du côté des pour, il y a bien sûr celui qui est à l’origine de ce mouvement de fond, impensable il y a encore quelques années, Mark Zuckerberg, qui tire à boulets rouges sur l’anonymat, y voyant toutes les compromissions de la triste humanité. « Vous n'avez qu'une seule identité. Là où l’on peut avoir peur, c’est quand on sait que Google s’inscrit dans le même désir de transparence, un principe appliqué sans faille dans la mise en place de Google +, son nouveau réseau social où l’inscription sous pseudonyme n’a pas sa place. Sources : , , , Pour approfondir

A qui appartiennent vos données sur Internet ? Mauvaises nouvelles et conseils Tribune Vous pensez bien connaître le réseau des réseaux ? Mais vous êtes-vous déjà posé la question inverse, à savoir : qu’est ce qu’Internet sait de vous ? Ironie de l’histoire, si une majorité d’entre vous déclare ne pas avoir confiance en fournissant ses données numériques, une même majorité les donne quand même : mais de toute façon, à l’heure du tout connecté, y’a t-il réellement un plan B ? Est-on propriétaire de ses données ? Prenons un exemple ultraclassique, auquel nous avons tous été déjà confrontés : vous décidez de mettre en ligne une vidéo que vous avez prise sur Internet. Au final, plutôt qu’effectuer l’enregistrement sur un support, vous le faites sur les serveurs du Web, le « cloud », en ayant l’impression que la finalité sera globalement la même. Ce n’est pourtant pas tout à fait le cas : cette vidéo mise en ligne ne vous appartient en effet plus légalement. Internet, un aspirateur à données Nos données utilisées à des fins commerciales... Pourquoi tant de convoitises ?

Privly : utiliser les services web sans leur confier nos contenus « Votre contenu doit rester votre contenu. Pourtant, Facebook, Google, Twitter et tant d’autres services web ne semblent pas d’accord. Chaque fois que vous acceptez leurs conditions d’utilisation, vous leur donnez le droit de faire ce qu’ils veulent de vos données. Le plus souvent, cela implique la vente de votre vie privée. Les fameuses Conditions générales d’utilisation que Lionel Maurel appelle très justement les « conditions générales de mystification » sont effectivement sensées protéger nos données privées, mais le plus souvent, elles les transforment en marchandises. D’autres solutions sont-elles possibles ? Peut-être bien. Image : Explication du fonctionnement du service. Comme l’explique Alexis Madrigal, rédacteur en chef de The Atlantic, Privly est un « manifeste de confidentialité implanté dans le code ». « Twitter, Google, Facebook vous font choisir entre la technologie moderne et la vie privée. La démonstration fait surgir d’un coup nombre de nouvelles questions.

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