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Observatoire des Métiers de la Bijouterie

Observatoire des Métiers de la Bijouterie

Le bijoutier Mauboussin quitte l’Asie et relocalise en France Mauboussin a massivement relocalisé. En 2014, les trois quarts de ses bijoux étaient fabriqués en Asie. Quatre ans plus tard, le bijoutiers a rapatrié 98% de sa production en Europe et 70% dans l'Hexagone, dans le but de "renforcer son image d'entreprise ancrée en France", explique à l'AFP son PDG Alain Némarq. "Parfois, j'ai besoin de faire refaire un modèle ancien de bague, dans une usine qui la fabriquait auparavant en Asie. En 2002, lorsque Alain Némarq prend les rênes de la maison fondée en 1827, il n'hésite pas à casser les codes de la profession en faisant de Mauboussin le premier joaillier à afficher le prix de ses bijoux sur ses campagnes publicitaires et à en tapisser les couloirs du métro. >> A lire aussi - Richard Mille, le Français qui rend fou les amateurs de montres de luxe "Aujourd'hui, j'ai rapatrié 98% de la fabrication joaillière en Europe, et plus de 70% en France. >> A lire aussi - Comment la France profite du boom du luxe >> Rejoignez notre Club des boursicoteurs

Recherche métier d'art - Quel métier d'art choisir - INMA | Institut National des Métiers d'Art Cette grande diversité représente une ressource infinie pour tous les artisans, artistes et créateurs. Elle évolue sans cesse au gré des innovations et des collaborations. Un métier d’art peut être défini par l’association de trois critères :- Il met en œuvre des savoir-faire complexes pour transformer la matière.- Il produit des objets uniques ou des petites séries qui présentent un caractère artistique.- Le professionnel maîtrise ce métier dans sa globalité. Les professionnels des métiers d’art sont d’abord des hommes et des femmes de passion. Informatique Une histoire du bijou À partir des années 1960 les créateurs modifient de façon spectaculaire l’usage des matériaux de la bijouterie traditionnelle. À l’étranger, plus encore qu’en France, certains cherchent à dépasser l’idée qu’un bijou puisse être seulement signe de richesse. L’Anglais David Watkins, le Néerlandais Onno Boekhoudt, le Suisse Christoph Zellwegger, la Norvégienne Tone Vigeland, pour ne citer que quelques-uns des artistes de la collection, proposent un nouveau rapport au corps. Sur la scène internationale, la France s’illustre depuis les années 1970 par le renouvellement des matériaux sans mettre totalement de côté le travail des matières précieuses. Dans une veine totalement différente, les bijoux de Claude Lalanne utilisent ses deux techniques favorites : empreinte et galvanoplastie. Tout en restant à l’écart des grandes maisons de joaillerie, Jean Vendôme a aussi su mettre admirablement en valeur le travail des pierres. Ces dernières années, la joaillerie a connu un nouveau souffle.

Propreté Les épingles à cravate de Nissim de Camondo La collection Nissim de Camondo comprend cinquante-cinq épingles de cravate. Elle fut donnée au Musée des Arts Décoratifs en 1933 par le comte Moïse de Camondo (1860-1935) en souvenir de son père, le banquier Nissim de Camondo. Cette collection d’épingles réunie de 1870 à 1889, provient principalement de la célèbre maison de bijouterie et de joaillerie créée en 1858 par Frédéric Boucheron.

La donation Vever Ses deux passions de collectionneur et de bijoutier vont faire de Henri Vever (1854-1942) un historien du bijou reconnu. De 1906 à 1908, il publie les trois tomes de son livre La Bijouterie française au XIXe siècle, qui demeure l’ouvrage de référence sur le sujet. En 1924, Vever fait don au Musée des Arts Décoratifs de sa collection de bijoux français du XIXe siècle, soit plus de trois cent cinquante pièces dont une soixantaine réalisée par la maison Vever elle-même. Départements La collection du Musée des Arts Décoratifs comporte plus de 5000 objets en verre représentatifs des productions utilitaires, décoratives et artistiques du XIVe siècle à l’actualité la plus récente. De très nombreuses technologies de fabrication et de décoration sont représentées et la gamme des typologies est très étendue. Les premières entrées significatives datent de l’exposition universelle de 1878, et cet ensemble, le plus important des collections publiques françaises sur une période aussi longue, a été doté en 1982 d’un département spécialisé ainsi que d’un centre de recherche et de documentation unique en son genre en Europe. De 1878 à 1914, le musée achète des modèles originaux de verres orientaux, chinois ou islamiques, quelques verreries européennes préindustrielles et surtout des créations contemporaines représentatives des nouvelles générations d’artistes et des principales manufactures françaises, mais aussi européennes et américaines.

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