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Présentation du serious game "Keep an eye" - CIGREF - Daesign

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Keylogger : des dispositifs de cybersurveillance particulièrement intrusifs Les " keyloggers " sont des dispositifs de surveillance, parfois téléchargeables gratuitement depuis le web, qui se lancent automatiquement à chaque démarrage de la session de l'utilisateur, à son insu. Une fois lancés, ils permettent, selon les versions, d'enregistrer toutes les actions effectuées par les salariés sur leur poste informatique sans que ceux-ci s'en aperçoivent. Toute frappe saisie sur le clavier ou tout écran consulté est enregistré avec un horodatage. Des alertes peuvent être automatiquement envoyées à la personne ayant installé le dispositif lorsque le salarié ainsi surveillé saisit sur son clavier un mot prédéterminé. Selon son paramétrage, le dispositif permet également de générer des rapports, récapitulant l'ensemble des actions faites à partir d'un poste informatique, qui sont directement envoyés sur le poste informatique de celui qui aura installé le logiciel espion.

L'administrateur, bête noire pour la sécurité des IBM System i Si les System i d'IBM (ex-AS/400) ont longtemps joui d'une réputation de fiabilité à toute épreuve, ils sont de plus en plus vulnérables à des attaques du fait des pratiques de sécurité contestables de leurs administrateurs. Selon une étude portant sur 188 System i réalisée par le PowerTech Group, une société de sécurité de l'Etat de Washington, nombre d'entreprises n'ont pas assez de mécanismes de contrôle interne en place pour protéger les données sur leurs serveurs. Par exemple, 90% des systèmes audités n'avaient aucun contrôle en place pour prévenir ou auditer des modifications de données depuis un PC externe. 95% des systèmes disposaient au moins de 10 utilisateurs avec des droits d'accès administrateur et 43 % avait plus de 30 utilisateurs avec des droits "root". 77% des systèmes avaient aussi au moins 20 utilisateurs dont les mots de passe étaient les mêmes que leur login.

Guide de bonnes pratiques pour les Administrateurs Systèmes et Réseaux Résumé : Le Guide des Bonnes Pratiques tente de recenser les spécificités majeures du métier Administrateurs Systèmes et Réseaux (ASR). Il formalise un ensemble de comportements qui font consensus dans la communauté des ASR pour élaborer un corpus de bonnes pratiques d'organisation. Ce guide peut contribuer à rendre les missions du métier plus lisibles, améliorer l'organisation et la technicité mises en œuvre au sein de nos services vis à vis de nos utilisateurs, de nos directions et de nos tutelles. Ce projet de guide est né à l'initiative de RESINFO à partir d'une réflexion générale liée aux différents contextes de travail de notre métier dans lesquels on assiste à une intensification des tâches d'exploitation des systèmes informatiques et des réseaux, et des responsabilités attenantes, la plupart du temps à moyens humains constants.

Une charte de l'administrateur de système et de réseau Complexité en expansion, risques multipliés La multiplication de questions de plus en plus complexes liées à la sécurité des systèmes et des réseaux, l’imbrication de plus en plus intime des aspects techniques et juridiques de ces questions et le risque accru de conséquences judiciaires en cas d’erreur incitent à la rédaction, au sein de chaque entreprise ou organisation, d’une charte de l’administrateur de système et de réseau qui rappelle les devoirs, les pouvoirs et les droits des ingénieurs et des techniciens qui administrent la sécurité des réseaux, des ordinateurs et en fin de compte du système d’information. Cette activité d’administration de la passerelle de messagerie de l’entreprise lui permet de détecter les usages contraires à la loi qui pourraient en être faits par des employés indélicats, dont les exemples les plus courants sont, non limitativement : Règles de conduite Secret professionnel Mots de passe « - Non ! Proposition de charte Préambule Définitions Surveillance et audit

Sécurité entreprise données fonctions personnalités 01net. le 28/01/09 à 18h25 Qui sont les maillons faibles de la sécurité des données dans l'entreprise ? Ou plus exactement peut-on définir des personnalités et des fonctions ' à risque ' pour l'entreprise ? C'est la question qu'a posée Clavister, société suédoise spécialisée dans la sécurité, avec l'aide de l'institut britannique YouGov, à 212 responsables informatiques, directeurs télécoms et managers senior du secteur privé, au mois de septembre 2008. Fainéants, ambitieux, commerciaux et télétravailleurs Résultat, selon Clavister, les personnes ' à risque ' se trouveraient surtout chez les commerciaux, les administratifs, les personnes travaillant depuis leur domicile et les intérimaires. Ces résultats étonnent des spécialistes. ' On a coutume de dire que le plus grand danger du système d'information est entre la chaise et le clavier ! Tous potentiellement dangereux Quant à la fameuse assistante, elle peut aussi être une faille.

Failles de sécurité et fautes informatiques — Droit des technologies avancées L’actualité en 2011 a fait l’objet de très nombreuses illustrations de failles de sécurité et de piratages informatique. Les derniers en date concernent le vol des données personnelles de plus d'un million de comptes clients du groupe de jeux Sega et du géant de l'électronique Sony en exploitant des failles de sécurité pour s'introduire dans les serveurs de leur site internet. Les attaques visent non seulement les systèmes d’information des entreprises mais également ceux de l’État. Les pirates n’hésitent pas à s’attaquer aux systèmes d’information des plus hautes instances comme l'Elysée, le Quai d'Orsay ou le ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, victimes de tentatives de piratage et d’intrusions. Les attaques se multiplient partout dans le monde jusqu’à viser des établissements stratégiques ; le FMI, la Banque mondiale ou encore la bourse électronique américaine Nasdaq se sont ajoutés à la liste des institutions victimes de cyberattaques. La problématique

Pour une éthique de la révélation de faille de sécurité 1 La Commission européenne a lancé en juillet 2011 une consultation sur les règles pratiques de noti (...) 2 Par exemple, l’institution financière Morgan Stanley a envoyé par la poste aux services fiscaux de (...) 3 Deux clefs USB contenant les données d’identification non chiffrées de deux millions d’électeurs c (...) 4 En 2011, le réseau de Sony, PSN (PlayStation Network), a été victime d’attaques. Il s’agit d’un po (...) 1À l’heure actuelle, il ne se passe pas un jour sans que la presse relaie l’exploitation d’une faille de sécurité ayant eu pour conséquence l’accès à des données confidentielles ou la diffusion de données personnelles. La prise de conscience du risque de diffusion de données personnelles est récente, comme en témoignent les derniers projets européens visant à obliger les entreprises à informer les victimes et à verser de substantielles indemnités1. 3Un récent rapport parlementaire souligne d’ailleurs le problème : 1. 10 « 1. 2. 1. 17 Art. 226-16 et s. du Code pénal.

Faille de sécurité : avertissement public de la Cnil Faille de sécurité. La société DHL Express France vient de faire l’objet d’un avertissement public prononcé par la formation restreinte de la Cnil, le 12 juin dernier, sur deux manquements importants à la loi Informatique, fichiers et libertés. D’une part, un manquement à l’obligation d’assurer la confidentialité et la sécurité des données (art. 34 de la loi informatique et libertés) et d’autre part, un manquement à l’obligation de définir une durée de conservation des données traitées, proportionnée à la finalité du traitement (art. 6-5° de la loi informatique et libertés). Dans cette affaire, la Cnil avait été alertée suite à une faille affectant directement la sécurité des données collectées par DHL et comportant les demandes de « relivraison » des colis. Laure Landes-Gronowski Pauline Binelli-WaintropLexing Droit Informatique et libertés

Faille de sécurité et responsabilité de l'entreprise On voit mal comment une entreprise peut aujourd’hui travailler sans faire appel à l’informatique. Or dans l’univers informatique les données peuvent être endommagées, détruites, perdues. C’est pourquoi tout professionnel doit procéder a minima à des mesures de sauvegarde et de sécurité de ses données. Il s’agit de mesures de gestion saine et d’anticipation des risques auxquelles tout dirigeant se doit de se conformer. Cette obligation est d’autant plus vraie que c’est l’entreprise qui met à la disposition de ses employés des moyens d’accès à des données à caractère personnel qui sont ensuite, via des outils informatiques, partagés en réseaux internes ou parfois via internet. C’est les cas par exemple des données sur les téléphones mobiles, les plateformes intranet, les bases de données clients partagées en réseaux entre les services / filiales. La responsabilité de l’entreprise A ce titre il est recommandé de : Par Yaël Cohen-Hadria, Avocate chez HAAS-Cabinet d’Avocats labellisé par la CNIL

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