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L’un des deux vaccins attendus contre Ebola ne sera pas disponible avant 2016

L’un des deux vaccins attendus contre Ebola ne sera pas disponible avant 2016
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Paul Benkimoun Les vaccins développés dans l’urgence contre le virus Ebola parviendront-ils à temps pour immuniser les soignants et les populations les plus exposés et enrayer enfin l’épidémie qui sévit depuis mars 2014 en Afrique de l’Ouest, avec plus de 4 500 morts ? La question est posée après les déclarations du responsable de la recherche vaccinale de la firme pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK), qui reconnaît des retards à lancer ce programme et n’envisage pas que son vaccin puisse être disponible avant 2016. Lire aussi : Ebola ou la guerre sans tête GSK travaille sur l’un des deux candidats vaccins contre le virus de la fièvre Ebola identifiés comme prometteurs par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Après des résultats encourageants lors d’essais sur des singes, la phase préliminaire d’études chez l’homme a été lancée au début d’octobre sur des volontaires sains aux Etats-Unis et au Royaume-Uni.

Cuba donne l'exemple dans la lutte contre Ebola En dépit de ses difficultés économiques et de ses maigres moyens, Cuba s'est projeté à l'avant-garde de la lutte contre le virus Ebola en dépêchant un important contingent de personnel soignant en Afrique de l'Ouest, au moment où les grandes nations laissent généralement la main aux humanitaires. Perpétuant sa tradition médicale internationaliste, un contingent de cent soixante-cinq médecins et personnels de santé cubains est parti au début d'octobre pour la Sierra Leone, et deux cent quatre-vingt-seize autres personnels sont attendus prochainement au Liberia et en Guinée voisins. Les effectifs médicaux cubains constituent le plus grand contingent dépêché par un Etat pour combattre Ebola. Lire (en édition abonnés) : Ebola ou la guerre sans tête Rompant avec l'habituel ton peu amène envers Cuba, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a lui-même adressé vendredi des remerciements à La Havane pour son aide dans la lutte internationale contre le virus.

Ebola : les hôpitaux de Québec poursuivent leur préparation | L’épidémie du virus Ebola Un étudiant suit une formation pour se protéger contre l'Ebola. Photo : PC/AP Photo/The Dallas Morning News, Andy Jacobsoh Le deuxième cas de contamination par le virus Ebola d'une infirmière aux États-Unis soulève de l'inquiétude dans les hôpitaux canadiens, mais aussi à Québec, où la formation du personnel médical n'est pas encore complétée. « On n'était pas supposé en voir en Amérique du Nord et, là, il y a des cas qui sont déclarés aux États-Unis, on se dit qu'on n'est pas à l'abri », souligne la présidente du syndicat interprofessionnel du CHU de Québec, Guylaine Boulanger. Jusqu'ici, le personnel médical qui est le plus susceptible d'entrer en contact avec un patient atteint d'Ebola a suivi la formation théorique recommandée par la santé publique qui dure une trentaine de minutes. La direction du CHU de Québec a accepté cette demande. L'équipement disponible dans les hôpitaux du Québec n'est pas la même combinaison une-pièce que l'on voit aux États-Unis. Les ambulanciers se préparent

Ebola: premiers contrôles de passagers en France | Virus Ebola Alors que le bilan de l'épidémie s'élève à 4555 morts et 9216 cas enregistrés, essentiellement au Liberia, en Sierra Leone et en Guinée selon les derniers chiffres publiés vendredi par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), l'ONU, la Banque mondiale et l'ONG britannique Oxfam appellent à une aide internationale accrue à l'égard des pays africains touchés. Pour la première fois, les passagers du vol quotidien Air France reliant la capitale guinéenne Conakry à Paris ont été dépistés avec un thermomètre laser à leur arrivée à l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle. Une femme d'une quarantaine d'années, présentant de la fièvre, a été prise en charge par les équipes de l'hôpital parisien Bichat. Mais, «une heure après sa sortie de l'avion, elle n'avait plus que 37,5°C. Elle n'avait ni vomissements ni diarrhée», a-t-on appris de source proche du dossier. Éviter la psychose Afin d'apaiser les craintes, M. Mais la peur d'une contagion de masse par le virus gagne du terrain en Occident.

Ebola: le Liberia appelle à la mobilisation de toutes les nations | Virus Ebola «En seulement un peu plus de six mois, Ebola a réussi à mettre mon pays dans une impasse. Nous avons perdu plus de 2000 Libériens» morts cette fièvre hémorragique, rappelle Mme Sirleaf dans cette «lettre au monde» transmise à la BBC et reproduite par des sites d'information en ligne. Elle souligne que les trois pays les plus touchés - Liberia, Sierra Leone et Guinée - étaient «des États fragiles» qui tentent de se relever des effets de guerres «interconnectées». «Mais une chose est claire», note-t-elle, la mobilisation contre Ebola «est une lutte à laquelle le monde entier doit participer. Cette maladie ne connaît pas de frontières. «La réaction internationale à cette crise a dans un premier temps été incohérente et a manqué de coordination. «C'est un devoir pour chacun» de «ne pas laisser des millions d'Africains de l'Ouest se débrouiller seuls contre un ennemi qu'ils ne connaissent pas et contre lequel ils ont peu de moyens de se défendre», insiste-t-elle.

Virus Ebola Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Les deux premières épidémies recensées par l'OMS ont eu lieu en 1976, au Soudan (151 morts pour 284 cas[1]) et au Zaïre (280 décès pour 318 cas). Un cas mortel est identifié au Zaïre en 1977. D'autres contaminations humaines massives surviennent dans les années 1990, en 1994 au Gabon (31 décès pour 52 cas) et en Côte d'Ivoire (un cas, non mortel), en 1995 au Zaïre (254 décès pour 315 cas), en 1996 au Gabon (deux épidémies successives, faisant respectivement 21 décès pour 31 cas, de janvier à avril, et 45 décès pour 60 cas, de juillet à décembre). Début 2014, le virus de souche Ebola-Zaïre est à l'origine d'une épidémie en Afrique de l'Ouest[4]. Le virus[modifier | modifier le code] Comme le virus Marburg, le virus Ebola appartient à la famille des Filoviridae (ordre des Mononegavirales). Cinq espèces différentes sont connues[12] : Réservoirs viraux[modifier | modifier le code]

Ebola : Air Canada refuse de transporter un échantillon de sang | L’épidémie du virus Ebola Des éprouvettes de sang Photo : IS Air Canada a refusé de transporter d'Edmonton à Winnipeg un échantillon de sang prélevé sur un patient soupçonné d'avoir été contaminé par le virus Ebola. Une mauvaise communication et une procédure manquant de clarté sont montrées du doigt. Des sources de CBC confirment que le patient en question se trouvait dans la salle d'urgence d'un hôpital de la région d'Edmonton, samedi. Une fois transporté au second établissement, le patient a subi un prélèvement sanguin. Des sources de CBC affirment que l'échantillon de sang a été refusé à l'aéroport d'Edmonton, vers 22 h. Pour éviter que le scénario ne se répète, le service de messagerie a téléphoné à l'aéroport, dimanche matin, pour s'assurer que l'échantillon de sang puisse être acheminé rapidement à Winnipeg à bord d'un avion. Des sources soutiennent que l'échantillon de sang a été placé à bord d'un avion en direction de Winnipeg à 17 h. Air Canada se défend

L'Ebola peut se retrouver à nos portes très rapidement, dit Harper | L’épidémie du virus Ebola Stephen Harper (archives) Photo : PC/Hannah Yoon Le premier ministre Stephen Harper a lancé samedi un avertissement concernant le virus d'Ebola, à l'occasion d'une cérémonie à Toronto. M. Selon le premier ministre, la situation actuelle nous rappelle qu'à l'ère de la mondialisation, des échanges commerciaux planétaires et des déplacements internationaux, un problème qui se trouvait auparavant très loin du Canada peut se retrouver à nos portes très rapidement. M. M.

Pas d'Ebola à bord d'un bateau de croisière américain de retour au Texas | Ebola WASHINGTON - Le navire de croisière américain sur lequel se trouvait une femme qui aurait pu être en contact avec le virus Ebola à Dallas est rentré dimanche au Texas, et les tests réalisés sur elles se sont avérés négatifs, ont rapporté des journalistes. Le «Carnival Magic» de la compagnie Carnival Cruise a accosté à Galveston tôt dimanche matin avec plusieurs milliers de passagers à son bord, a indiqué Larry Seward, journaliste à la chaîne locale KHOU, sur Twitter. Le bateau aurait dû faire escale au Mexique vendredi, mais les autorités portuaires de Cozumel lui ont refusé l'accès en raison de la présence à bord d'une laborantine d'un hôpital texan qui a pu être en contact avec les prélèvements biologiques du patient libérien mort du virus Ebola à Dallas le 8 octobre. Par mesure de précaution, la passagère s'était isolée dans sa cabine.

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