background preloader

Qui sont ces voyageurs qui réservent sur Airbnb? - Réseau de veille en tourisme

Qui sont ces voyageurs qui réservent sur Airbnb? - Réseau de veille en tourisme
La location de logement de courte durée est devenue un mode d’hébergement de plus en plus utilisé par les voyageurs, popularisé par l’arrivée de nouveaux sites Web tels qu’Airbnb. Grâce à un sondage effectué aux États-Unis, PhoCusWright a dressé le profil de ces utilisateurs et a établi leurs comportements, tout en les comparant aux autres voyageurs. Méthodologie Le sondage Web a été mené en février et mars 2014 auprès de 1880 Américains ayant réalisé au moins un séjour d’agrément au cours des 12 derniers mois. Pour répondre au sondage, ils devaient avoir réservé un hébergement commercial et planifié eux-mêmes leur voyage. La firme a distingué deux catégories de voyageurs: ceux qui ont loué une chambre, une maison ou un appartement privé, soit les «loueurs» (17%); et ceux qui ont utilisé d’autres modes d’hébergement durant leur séjour, les «non-loueurs» (83%). Des voyageurs jeunes qui disposent de bons revenus Plusieurs caractéristiques distinguent les loueurs des non-loueurs.

Booking, Expedia… les hôteliers sont-ils vraiment perdants ? La guerre est ouverte entre les représentants des hôteliers et les sites de réservation en ligne. Et les premiers ont trouvé un allié de taille : Bercy a assigné Booking.com "à comparaître devant le Tribunal de commerce de Paris", a annoncé mardi le ministère dans un communiqué. La première audience, destinée à fixer le calendrier a eu lieu le jeudi précédent, a précisé à Europe 1 le cabinet d’Arnaud Montebourg. Objectif : pousser les centrales de réservation en ligne à revoir certaines clauses des contrats qu’elles proposent aux professionnels de l’hébergement, car ces derniers et Bercy les jugent abusives. Europe 1 a mené l’enquête pour savoir des hôteliers et des sites, qui sont les vrais gagnants de la réservation en ligne. Comment fonctionnent ces sites ? Les commissions plombent les marges. Un hôtel n’a plus la main sur ses prix. >> A lire aussi : Peine de mort pour les enfants aux Maldives : qu’en disent les tours operateurs ? Les hôtels doivent des chambres aux sites.

L’office de tourisme à l’ère du numérique — Tourisme & TIC Les missions en tant que telles demeurent inchangées pour les offices de tourisme. Il s’agit d’accueillir, informer, conseiller. Le manifeste de la Fédération des Offices de Tourisme de France (anciennement FNOTSI) publié lors du Congrès de la Fédération est là pour rappeler ces fondamentaux, mais aussi les incidences des nouveaux comportements sur les métiers de l’accueil. Le numérique fait même l’objet de deux défis clairement annoncé par la commission prospective : « L’accueil : une mutation réelle du physique versle numérique » et le « Web 2.0 : la prise de pouvoir du consommateur ». Internet a bouleversé la notion d’accueil et d’information touristique Internet a profondément marqué la notion de services et d’accueil dans tous les domaines d’activité (Pensez aux réaménagements dans les postes ou dans le milieu bancaire). Les questions pour les professionnels de l’accueil sont multiples. Accueil, accompagnement et aide aux choix sont au cœur des attentes des clientèles

Tribune : L’hôtellerie traditionnelle face à la poussée d’Airbnb – Le Quotidien du Tourisme Didier Moinel Delalande, directeur de l'hôtel Le Mathurin (4 étoiles) à Paris nous a adressé une tribune consacrée à l'hôtellerie traditionnelle face au développement de l'économie de partage, caractérisée par Airbnb. Entendons-nous, je ne pense pas faire partie de ces hôteliers remontés comme des piles électriques dès qu’on ose mentionner devant eux le terme Airbnb. Ce qu’on a pris coutume d’appeler l’ « économie collaborative » ou « de partage » ou encore l’ « ubérisation de l’économie » a des vertus et d’excellents principes à l’origine. Il s’agit, par ailleurs, d’une tendance durable pour ne pas dire d’un raz-de-marée qui modifie en profondeur les modèles économiques existants et les mentalités (1).

Un nouvel outil e-learning Aegean Airlines Pour se démarquer, la compagnie aérienne Aegean Airlines, qui opère dans un rayonnement de 4 heures autour d’Athènes, lance un e-learning. Aegean Airlines tire son épingle du jeu, l’année 2013 marque le retour aux bénéfices pour la compagnie hellénique qui enregistre une hausse de 21% du CA sur les neuf premiers mois de 2013. En octobre dernier, Aegean Airlines a acquis sa rivale Olympic Air et annonçait qu’elle desservira désormais 34 destinations domestiques en 2014. Le renforcement des vols au départ de la France se traduit par le lancement de vols directs au départ de Marseille, Nantes et Bordeaux et un renforcement des vols au départ de Paris et de Lyon. Un e-learning en 5 modules L’occasion pour la compagnie, qui a fait voyager plus de 6,5 millions de passagers à fin octobre 2013, de mettre en avant son offre en lançant un e-learning destiné aux agents de voyages. Pour ceux qui auront 100% de réussite, un tirage au sort sera fait le 31 mars.

Les hôtels déclarent la guerre à Airbnb La location de logement entre particulier ne cesse de se développer, un succès qui ne plait pas à tout le monde et pousse les hôtels à entrer en conflit avec les particuliers loueurs d'appartement. Selon les informations d’Europe 1, les représentants des hôteliers doivent envoyer jeudi un courrier à Manuel Valls pour dénoncer les pratiques de ceux qui proposent aux touristes de louer un appartement ou une chambre à la nuitée. Objectif de la manœuvre : rendre cette pratique, incarnée par le mastodonte Airbnb, moins intéressante pour ramener les clients vers les hôtels. L’hôtellerie dénonce une concurrence déloyale. Si les professionnels du tourisme réclament des mesures fortes au gouvernement, c’est parce qu’ils estiment ne pas lutter à armes égales contre un système qui ne cesse de se développer. >> LIRE AUSSI - Booking, Expedia… les hôteliers sont-ils vraiment perdants ? Ces obligations que la profession veut imposer aux particuliers. L’Umih invoque l’argument de l’emploi.

Les blogueurs voyage, des "influenceurs" convoités par le tourisme Le blog d'Alex, "Les bons plans à New York", a réalisé 200 000 euros de chiffres d'affaires en 2013 grâce à l'affiliation uniquement. Les blogueurs seraient-ils les communicants les plus « in » du moment ? A en croire l’actualité, ils sont partout : un post sur un blog, une vidéo sur Youtube ou des photos sur Instagram. Récemment, l’agence en ligne, Voyages-sncf.com, a clairement affiché sa stratégie auprès d’eux. De septembre 2014 à mars 2015, six blogueuses vont visiter six villes de France pour dénicher adresses et activités. Le blog comme outil de viralité Autres articles Dans le secteur du tourisme, des chaînes hôtelières comme Radisson Blu et de nombreux offices de tourisme ont pris le pas depuis déjà quelques années. Pourquoi un tel engouement ? Aujourd'hui, les blogueurs sont considérés comme de véritables ambassadeurs de confiance pour les marques et certains comme des influenceurs d'un sujet ou d'une destination. Quels contrats avec les pros ?

Quelle sera la place de Airbnb dans l'industrie hôtelière en 2020 Certains hôteliers gardent un oeil sur la menace que pèse Airbnb et suggèrent que la plate-forme de réservation n’a pas eu encore d’impact sur leurs propres entreprises. Selon de nouvelles projections de Euromonitor International, un cabinet d’études basé à Londres, Airbnb sera la deuxième plus grande société hôtelière au monde en 2020 en termes de ventes totales de chambres. Airbnb se verra éclipsé de la première place par la fusion de Marriott et Starwood, et enregistrera près de 40 milliards de dollars de vente par an sur le marché de la location d’hébergement d’ici 2020. À lire : 12,3 milliards de dollars de réservations en 2016 pour Airbnb Beaucoup de choses peuvent se produire d’ici 2020 qui pourront modifier ces projections ou complètement les réfuter, en particulier du côté de Airbnb. « Si Airbnb continue à soutenir et à augmenter la quantité d’entreprises commerciales offrant des logements sur sa plate-forme, les législateurs sont susceptibles de taper fort sur la société.

Accor : "Un client qui réserve 2 fois de suite via une agence en ligne n’est pas rentable" Jeudi dernier, le plan ambitieux « Leading Digital Hospitality » était présenté à Londres lors du tout premier «digital day». Denis Hennequin, ancien directeur général d’Accor, n’avait pu débloquer un tel budget pour le plan numérique 2013-2016. 225 millions d’euros seront investis pour mener à bien l’ensemble des initiatives du groupe sur cinq ans. Ce plan stratégique multi-marques vise à repenser la place du digital tout au long du parcours client, « un positionnement moins centré produit », nous expliquait lundi dernier Vivek Badrinath, directeur général adjoint, marketing, digital, distribution et systèmes d’informations du groupe. 60 % du montant serviront à consolider la performance opérationnelle. 40 % seront dédiés à la prise de parts de marché et à l’optimisation des coûts de distribution. L’ambitieux « Leading Digital Hospitality » Le défi du numérique pour résister face aux OTAs ?

Histoire de la Consommation Collaborative Voila une petite chronologie de la Consommation Collaborative : – 200 000 avant J-C. Gruntd et Krobak, nos ancètres prognates troquaient des peaux de mammouth au paléolithique supérieur, il s’agissait, déjà, de sharing economy (lol). L’économie du partage est donc aussi vieille que le prêt, le troc et tous les échanges que pratiquaient nos ancêtres qui chassaient le gnou au lance pierre. En France, on assiste à l’émergence des Systèmes d’Échanges Locaux, qui sont des réseaux physiques d’échange et de vente de biens et services entre particuliers dans une zone géographique donnée. eBay est créé. Un étudiant parti en Islande sans avoir prévu d’hébergement envoie un mail à 1,500 étudiants islandais pour trouver un canapé ou dormir pendant son séjour. ZipCar, premier site de partage de voitures entre particuliers apparaît à Boston. Naissance de Covoiturage.fr, qui devient vite le premier site de “ridesharing” français. Une grave crise économique frappe les États-Unis et l’Europe.

Comment IBM Watson pourrait révolutionner le tourisme Lors de la manifestation Insight d’IBM, qui se tenait à Las Vegas la semaine dernière, le fondateur de Travelocity.com et dirigeant de Kayak.com a présenté son nouveau bébé : le site wayblazer.com, censé incarner le futur du secteur du tourisme, toujours aussi dynamique et créatif. Certes, l’exposition médiatique et les 12 000 participants constituent une audience attractive pour un lancement. Néanmoins, l’initiative est innovante et le personnage plus qu’emblématique. Après le Sabre et le Kayak… Terry Jones n’est pas un jeune universitaire surdoué, mais bien un expert disposant de près de 40 ans d’expérience dans le secteur du tourisme et du transport. En 1978, après plusieurs années chez des spécialistes du voyage (Vega Travel et Travel Advisors), Terry Jones entre chez American Airlines au poste de directeur du développement. … l’informatique cognitive ! Un rapprochement à l’origine de la dernière aventure en date de Terry Jones : le site www.wayblazer.com, qu’il vient de cofonder.

Petite histoire de la consommation collaborative - jestocke.com Ces derniers mois, nous avons beaucoup entendu parler de « consommation collaborative » ou « économie du partage ». Du financement de projets au secteur de l’alimentation en passant par le transport, les initiatives se multiplient. La presse traditionnelle, les pures players d’information, les blogs, les hommes politiques… certains s’enthousiasment, d’autres s’insurgent. La naissance du terme « consommation collaborative » C’est en 2007 que ce terme apparaît pour la première fois dans la revue Leisure Report du mois d’avril. ). Technologie et consommation collaborative : une combinaison gagnante L’émergence et surtout la banalisation des nouvelles technologies vont permettre à la consommation collaborative d’exploser ! Différentes formes de consommation collaborative Dans le New York Times d’août 2010, la journaliste Jenna Wortham met en lumière l’existence de deux formes de #consocollab (petite dédicace aux twittos) : Les précurseurs du mouvement Pour aller plus loin

Les hôteliers séduits par l’économie collaborative Les groupes hôteliers perçoivent peu à peu les occasions d’affaires entourant l’économie collaborative : diversification des revenus, nouvelles interactions avec les consommateurs et monétisation plus efficace de leurs services. Ils se rapprochent de ces concurrents ou de ces prestataires de services complémentaires, en tant qu’investisseurs ou partenaires d’affaires. Une occasion d’affaires pour les hôteliers Autres articles L’économie collaborative répond à une demande difficile à satisfaire pour les grandes entreprises. Rachel Botsman suggère à ses clients de déterminer leur plus grande faiblesse et de la convertir en occasion d’affaires en entrant sur un nouveau marché ou en en créant un. Des investissements stratégiques En 2014, une collecte de fonds de 40 millions de dollars américains a marqué l’entrée de Hyatt et de plusieurs autres investisseurs dans le capital de onefinestay. Des partenariats pour offrir aux clients… Source : ihg.com Source : onepark.fr Source : liquidspace.com

Related: