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Related:  SOCIAL MEDIA

#MaddyPitch : Basée à Lyon, la startup Vidclust invente la curation vidéo nouvelle génération Soutenu par l’accélérateur Boost in Lyon, Vidclust est un nouveau service vidéo conçu pour profiter de tous les contenus de ses créateurs préférés sur une seule plateforme. Elle réunit de courtes vidéos, émissions et autres contenus médias provenant de sites d’hébergement de vidéos et des réseaux sociaux sur une seule plateforme. Bénilde Liotard, CEO de Vidclust, répond aux questions de la rédaction. Quel est votre constat de départ ? Les créateurs vidéos (youtubers, viners, instagramers, etc…) diffusent leurs contenus sur de nombreux réseaux sociaux et développent des communautés de fans dispersées sur YouTube, Twitter, Facebook et d’autres sites. De ce fait, les créateurs n’optimisent pas leur distribution et sont dépendants des géants du web que sont Google, Facebook et Twitter qui possèdent la majorité des services d’hébergement de contenu. Quelle est votre solution ? Quel est votre business model ? Vidclust est gratuit, autant pour les créateurs que pour les utilisateurs.

Pullquote. Faire des citations complètes sur Twitter Pullquote est un outil de curation qui se présente sous la forme d’une extension pour le navigateur Chrome qui permet de citer proprement un texte sur Twitter. On parlait dans l’article précédent sur outils veille de Pablo crée par les gens de Buffer. Pullquote est quelque peu différent. Cette petite extension ne répond pas du tout aux mêmes besoins. Comment citer proprement un texte dans une page web sans faire de paraphrase ou le réduire au style télégraphique pour le faire entrer dans les limites des 149 caractères imposés par Twitter ? C’est là qu’intervient Pullquote. Deux avantages à la manoeuvre : – Vous n’avez plus à vous à vous soucier de la longueur de votre citation. – Votre tweet risque d’avoir une portée plus importante. Pullquote au passage vous permettra de respecter l’esprit du droit d’auteur en transformant les textes copiés ici ou là en véritables citations sur le fond et sur la forme. Cette extension étend l’idée de la citation aux images. Lien: Pullquote

Netvibes annonce l'avènement du Web programmable Le service français, qui propose depuis plus de dix ans une page d'accueil personnalisable, lance un outil pour automatiser toutes ses actions sur Internet. Netvibes ouvre une nouvelle page de son histoire. Cet acteur historique du Web français, qui s'est fait connaître grâce à son service de page d'accueil personnalisée lancé il y a près de dix ans, anticipe ce qui sera selon lui la prochaine grande révolution d'Internet: le Web programmable. «Le Web peut être une boîte noire, qui exécute des actions pour nous», explique Stefan Lechère, directeur développement de Netvibes en Europe. Pour cela, Netvibes vient d'ajouter une brique supplémentaire à son service de page d'accueil personnalisée et de veille. Netvibes rejoint quelques acteurs qui se sont lancés sur le terrain du Web programmable, comme l'américain IFTTT («If This Then That»), qui a levé 30 millions de dollars l'été dernier. *Le Figaro est détenu par le groupe Dassault.

L'intérêt de Facebook n'est plus que vous partagiez ce que vous aimez La semaine dernière, nous évoquions la dernière modification majeure de l'algorithme de Facebook qui diminue la visibilité des pages que vous aimez et des commentaires que vous écrivez. Contrairement à ce que prétend le réseau social, l'objectif n'est pas d'améliorer la pertinence de ce que l'utilisateur voit sur son fil d'actualité, mais bien au contraire de baisser la visibilité de sites internet qui bénéficiaient d'un afflux naturel de visites par le bouche-à-oreille sur le réseau social, pour tenter de les obliger à accepter de payer des sommes très importantes pour ne pas perdre l'audience qu'ils gagnaient autrefois naturellement. Nous faisions en effet remarquer que Facebook mettait beaucoup en avant auprès des animateurs de pages la possibilité de "promouvoir" la page contre argent sonnant et trébuchant, à un prix exorbitant pour qui n'a rien ou pas grand chose à vendre. Dans notre exemple, le réseau social réclame près d'une cinquantaine d'euros par jour (!)

Comment trouver des résultats pertinents sur le Web Dans le cadre de son dispositif de formation auprès des étudiants et des enseignants, la Bibliothèque de l’Université d’Angers propose un module pour apprendre à rechercher efficacement sur le Web avec un support librement publié en ligne : La recherche sur le Web : Mener une recherche efficace en ligne, évaluer et utiliser ses résultats (cf. en fin d’article). Trouver des résultats pertinents sur le Web Cette formation qui vise à trouver des résultats pertinents sur le Web par rapport aux requêtes formulées fait un zoom sur l’utilisation du moteur de recherche Google, de Google Scholar et Wikipédia. On s’interroge ensuite sur l’évaluation et la qualification des informations glanées. Essentiel : Acquérir des compétences informationnelles La présentation fait référence à des ressources de référence comme les modules de formation à base de capsules vidéo du réseau de l’Université du Québec : Google a réponse à tout ? Quelles étapes pour une recherche documentaire en ligne Licence :

Ce que Google sait de vous! Comme vous le savez, les moteurs de recherche en général et Google en particulier sont très friands d’informations personnelles vous concernant. Si vous n’avez pas lu les règles de confidentialité de Google, je vous les recommande… Elles sont détaillées à l’adresse On comprend que Google prévoit de stocker et croiser tous les éléments concernant ses utilisateurs : vos données personnelles: nom, adresse, numéro de téléphone, numéro de carte de paiement,vos données techniques sur les appareils connectés (smartphone, tablette, etc.) et leurs paramétrages,journaux de consultation ou d’utilisation des outils Google (historique de recherche). Si vous utilisez un service de Google, connectez-vous à l’adresse du Dashboard ( pour vérifier les informations détenues à votre sujet par Google. Voici une infographie publiée par le Wall Street Journal ( le 30 juillet dernier:

BuzzFeed Unveils Pound To Show How You Really Share Content The traditional view of how content spreads socially is tightly bound to a specific network. Share your cat GIF on Facebook, for example, and watch as ever-widening groups of interconnected people propel the image far beyond anything you could have planned—on Facebook. Even analytics providers tend to bucket content this way. But think about it: Do you really share things just on Facebook? That insight, based in part on research by Stanford and Microsoft, is at the heart of a new initiative announced Monday by BuzzFeed at the NewFronts (which is where online video makers pitch their lineups to advertisers). The data that already has been gathered from Pound influenced BuzzFeed's latest strategy, which is to begin pushing original content directly to social networks rather than simply trying to bring readers back to the website. Jonah Peretti's keynote presentation at SXSW in March. [Visualizations by Adam Kelleher courtesy of BuzzFeed]

Boite Noire Killer - Pour empêcher le profilage des individus Instagram craint que les emoji aient la peau de « LOL » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Morgane Tual « LOL » (« laughing out loud »), cette expression propre à Internet pour signifier le rire, serait-elle en voie de ringardisation, voire de disparition ? Selon une étude publiée samedi 2 mai par le réseau social Instagram, les emoji, ces pictogrammes représentant des visages, des personnes, des objets ou des symboles, seraient en train de remplacer petit à petit les acronymes nés sur le Web, tels que « OMG » (« Oh mon dieu ! »), « ahah » ou encore « xoxo » (« bisous »). En examinant quatre groupes de millions d’utilisateurs, les ingénieurs d’Instagram ont remarqué une corrélation entre la baisse de l’usage de ces acronymes et l’augmentation de celui des emoji. A la fin 2011, seulement 10 % des textes publiés sur Instagram (description de photos ou commentaires) comprenaient des emoji. Les utilisateurs du réseau social les plus friands d’emoji sont les Finlandais, qui en insèrent dans 63 % de leurs textes. Lire : Emoticône, mon amour

L'Obs - Rue89 L’algorithme de Facebook sélectionne-t-il, pour notre fil d’actualité, des posts qui nous confortent dans ce que nous pensons déjà ? C’est ce que plusieurs chercheurs (ici ou là) dénoncent depuis quelques années. Ils s’inquiètent de la personnalisation du Web et du rôle de filtre des algorithmes qui, en présentant des contenus toujours similaires à ceux que nous aimons déjà, favorisent une homogénéité nuisible à la vie publique. Pour désigner le phénomène, l’activiste américain Eli Pariser a créé le terme de « bulle de filtres » (« filter bubble »), après avoir remarqué que « news feed » affichait de moins en moins d’articles postés par ses contacts conservateurs : « Ce qui se passait, c’est que Facebook observait les liens sur lesquels je cliquais, et avait remarqué que je cliquais plus sur les liens de mes amis libéraux que sur les liens de mes amis conservateurs. Et donc, sans me demander mon avis, ils avaient tout simplement supprimé ces derniers. » Version officielle L’homophilie

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