background preloader

Accueil - 21e siècle

Accueil - 21e siècle
Related:  CULTURE NUMERIQUEMOOC Transitions éducatives

affordance.info La "viscosité" c'est, nous dit Wikipédia, "l'ensemble des phénomènes de résistance à l'écoulement se produisant dans la masse d'une matière, pour un écoulement uniforme et sans turbulence. Plus la viscosité augmente, et plus la capacité du fluide à s'écouler facilement diminue, plus l'énergie dissipée par l'écoulement sera importante." Bref c'est l'inverse de la fluidité. L'algorithme visqueux. Dans une interview récente au magazine Usbek & Rica, sur le sujet de la lutte contre les discours de haine ou contre les logiques de radicalisation à l'échelle des plateformes sociales et de leurs algorithmes, Gérald Bronner parle de "viscosité sociale". "On pourrait créer par les algorithmes de la viscosité sociale sur les informations douteuses, sans les retirer pour autant. En bref, que les algorithmes participent au ralentissement et à la réflexion plutôt qu'à l'accélération, à la viralité et à la dimension pulsionnelle de la rediffusion. Retour vers le futur fluide et sans friction.

L’école de la créativité selon Ken Robinson Rendre les élèves plus acteurs, leur donner ainsi la possibilité de développer leurs talents et passions, voilà ce que prône Ken Robinson, allant à l’encontre de notre système scolaire trop standardisé. Et que disent les enfants quand on leur donne l’occasion d’exprimer leurs idées pour changer l’école ? Est-il nécessaire de rappeler qui est Ken Robinson ? Cet enfant d’une famille nombreuse, du milieu ouvrier anglais, aurait pu ne jamais croiser son élément, le monde de l’éducation, s’il n’avait pas contracté la polio à 4 ans. Depuis, après une longue carrière dans l’art, il s’est attaché à démontrer l’intérêt de la créativité dans l’enseignement, ainsi que l’effet d’un « mentor » dans l’accomplissement d’une personne. Durant le mois de juin, il a participé à plusieurs événements en France, dont un travail du collectif « Apprendre au 21è siècle », qui souhaitait recueillir en sa présence « 100 idées d’élèves pour changer l’école ». Carte mentale en pdf ou

Serge Tisseron Cela évoque bien sûr quatre étapes essentielles de la vie des enfants : 3 ans, c’est l’admission en maternelle, 6 ans, l’entrée en CP, 9 ans, l’accès à la maîtrise de la lecture et de l’écriture, et 12 ans l’âge où il trouve ses repères en collège. Mais ce sont aussi d’excellents repères pour savoir à quel âge et comment introduire les différents écrans dans la vie de nos enfants. En effet, de la même façon qu’il existe des règles pour l’introduction des laitages, des légumes et des viandes dans l’alimentation d’un enfant, il est possible de concevoir une diététique des écrans, afin d’apprendre à utiliser correctement les écrans comme on apprend à bien se nourrir. Télécharger les affiches Les affiches de la campagne sont téléchargeables en cliquant ici (ou à défaut, contact : serge.tisseron@gmail.com). Commander les affiches Les affiches peuvent être demandées en version papier aux éditions éres : a.bardou@editions-eres.com, ou bien 05 61 75 40 82. Personnaliser les affiches

FuturEduc De septembre 2015 à octobre 2016, le projet FuturEduc a conduit une réflexion sur le futur de l’éducation placée sous le double signe du numérique et de l’imaginaire. Ce travail collectif animé par la Fing et Éducation & Territoires s’est appuyé sur trois groupes d’acteurs de l’éducation (directeurs d’établissement, professeurs, ingénieurs pédagogiques, chercheurs) en France, au Canada et en Suisse. La réflexion de FuturEduc s’est faite au niveau de l’établissement scolaire et non du système éducatif national lui-même. Les actions proposées n’impliquent donc pas une refonte globale de celui-ci. Pourquoi le numérique ? Le numérique[1] n’est ni une solution à tous les problèmes auxquels l’institution éducative fait face, ni une menace existentielle. Dans le travail de réflexion avec ces trois groupes d’acteurs de l’éducation, le numérique suscite des enthousiasmes, du plaisir, de l’envie, il ouvre et décloisonne, il incite au collectif, il fournit des outils pratiques. Les données

Les 7 compétences clés du travail de demain Michel Serres nous rappelait récemment que l’évolution des technologies nous force à être intelligents. Les technologies révolutionnent en effet notre environnement de travail et nous poussent à développer de nouvelles compétences. De nombreuses prospectives alimentent le débat et mettent en lumière les compétences qui feront la différence sur le marché du travail de demain. Quelles sont les évolutions dans les compétences distinctives ? Un consensus se dégage autour de 7 compétences Etre compétent dans son travail requiert un savant mix de compétences techniques (les hardskills), comportementales (les softskills), et sectorielles (je maîtrise les enjeux et la culture du secteur d’activité dans lequel j’évolue). 1. Une grande qualité relationnelle : Ecoute, partage, empathie, communication interpersonnelle, être en capacité à se «connecter» aux autres et d’établir des relations riches et sincères. 2. À découvrir >> Formateurs, comment animer une classe virtuelle ? 3. 4. 5. 6. 7.

TALIS - The OECD Teaching and Learning International Survey The Teaching and Learning International Survey (TALIS) asks teachers and school leaders about working conditions and learning environments at their schools to help countries face diverse challenges. Upcoming conference - OECD Methodological conference on cross-country comparability of questionnaire scales (8-9 November 2018) This conference aims at exploring novel approaches in measurement equivalence research and at highlighting promising areas to advance the field of invariance testing. => Read the draft agenda and register for the conference.

Outils du web 2.0 “Le web 2.0 repose sur un ensemble de modèles de conception : des systèmes architecturaux plus intelligents qui permettent aux gens de les utiliser, des modèles d’affaires légers qui rendent possible la syndication et la coopération des données et des services… Le web 2.0 c’est le moment où les gens réalisent que ce n’est pas le logiciel qui fait le web, mais les services ” Source : Tim O'Reilly, "What is web 2.0", 30 septembre 2005 Web 2.0 : internautes actifs publication figée, contrôle individuel web 2.0 : Participation, coopération, collaboration Encyclopédies (Encarta, etc) Web 2.0 : syndication, interconnexion des outils, intégration d'éléments description des contenus partagés Aide à la recherche, à la navigation, à la présentation des infos (nuage) Des posts ou articles de blogs des médias : Flickr, Youtube, etc rss modèle horizontal, communautaire qui facilite une co-construction des contenus / Plutôt qu'une verticalité hiérarchique... L'internet des objets ?

A propos d’Eric Charbonnier Des chiffres, encore des chiffres, toujours des chiffres ! Au fond, c’est la meilleure façon de me décrire. Je baigne dedans depuis plus de 15 ans. Diplômé d’un troisième cycle en économie et statistiques, je travaille au sein de la direction de l’éducation de l’OCDE depuis 1998. Plus précisément, la direction dans laquelle je travaille produit les publications Regards sur l‘éducation et PISA, qui ont, toutes deux, reçues un grand écho sur la scène internationale. Je travaille au sein d’une petite équipe d’une dizaine de personnes sur les collectes de données statistiques. J’ai participé également à la révision de la classification des niveaux d’éducation (CITE) qui sert à rendre comparable les programmes et qualification obtenus dans le monde entier.

Les GAFA et ses algorithmes : faut-il s’en méfier ? Est-ce que le manque d’éducation autour des données crée de la méfiance ? Probablement, les data sont représentées comme complexes et inaccessibles aux non-professionnels. C’est dans ce contexte précis que la formation et l’éducation autour des données sont des outils qui permettent de démystifier ce sujet. Ces outils peuvent être utilisés pour développer des connaissances dans le domaine des données, des algorithmes et ainsi réduire la méfiance existante autour de ces enjeux. L’inconnu et l’ignorance aboutissent à la méfiance, c’est ici que l’éducation et le savoir ont une place centrale. Les GAFA ont un avantage considérable dans le domaine des data, et donc peu d’intérêt à modifier leur fonctionnement actuel. Les techniques d’indexation existent depuis qu’il a été nécessaire de caractériser des informations pour pouvoir les retrouver dans des masses de documents. Pour sortir de ce schéma, la solution pourrait être la supranationalisation de l’index de Google.

Nouveaux savoirs, nouveaux savoir-faire: les compétences du XXIe siècle Plusieurs organismes internationaux se sont attelés à définir cet ensemble de savoirs et de savoir-faire sur lesquels nos systèmes éducatifs devraient se concentrer pour former les futures générations aux besoins de l’économie de la connaissance. Ces nouvelles aptitudes ont été dénommées les « compétences du XXIe siècle ». Qu’il s’agisse des travaux en la matière de l’OCDE, du groupement d’expert internationaux ATC21S ou encore de l’organisation américaine P21, on retrouve plusieurs points communs permettant de dégager trois blocs principaux : des compétences génériques d’apprentissage, des compétences d’innovation et de création et des compétences de collaboration. Face à la révolution de l’information Le premier ensemble répond à la nécessité de savoir manoeuvrer dans un monde bouleversé par la révolution de l’information et de la communication. L’enjeu de la créativité Le développement d’une telle culture nécessite que les apprenants n’aient plus peur de l’échec.

habilomedias Bien que nous vivions et interagissions dans le monde numérique un peu de la même manière que dans le monde hors ligne, nous ne sommes pas toujours aussi conscients de nos actions en ligne. Nous agissons parfois sans réaliser comment nos actions pourraient affecter notre réputation, notre sécurité et notre croissance en tant que citoyens numériques. Parallèlement, tout ce que nous faisons en ligne continue d’affecter et de définir notre monde numérique et notre personnalité. Les médias numériques offrent également des possibilités uniques à chacun de s’engager, de s’exprimer et d’apporter des changements, tant en ligne que hors ligne. Le saviez-vous? Voici quelques exemples de la manière dont nous pouvons tous être des citoyens numériques responsables et contribuer à bâtir un meilleur monde virtuel. Empathie et renforcement des communautés Je me rappelle qu’il y a une vraie personne derrière l’écran. Utilisation positive de la technologie Partage d’informations Droits, vie privée et éthique

Related: