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Documentation.planning-familial.org/imag/vignettecentredoc/pdfdosdoc/2014_09_focus_chiffres_cle_france.pdf

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Next Volume | Zapruder World Volume 2 (Fall 2014), "Transformations without Revolutions? How Feminist and Lgbtqi Movements Changed the World" Co-edited by Sabrina Marchetti, Vincenza Perilli, and Elena Petricola Zapruder World is a new online open-access journal run by the network of activists and scholars, both academic and independent, that has gathered since 2002 in an organization called SIM-Storie in Movimento, and publishes the Italian journal Zapruder. The aim of Zapruder World is to create a wide arena in which to exchange critical knowledge based on both individual research and collective elaboration. Along these lines, this second issue entitled “Transformations without Revolutions” wants to discuss the kind of politics that feminist and lgbtqi movements have created from the 1960s to the present, in their critical approaches to the private/public dichotomy, embodiment and sexuality, as well as to power relations.

L'école où les filles apprenaient "patience et soumission" On entend beaucoup, ces derniers temps, les véhéments pourfendeurs de la soi-disant "théorie du genre" appeler au retour à un prétendu "bon sens" : l’école n’est pas là pour faire jouer les garçons à la poupée et les filles au ballon, car elle n’a pas à se mêler des identités sexuées qui relèveraient de la sphère familiale. On conseillera aux curieux d’ouvrir "La fabrique des filles", l’ouvrage très richement illustré des deux historiennes Rebecca Rogers et Françoise Thébaud, pour réaliser combien l’école s’est, depuis toujours, mêlée d’identité sexuée… et dans des proportions inouïes ! Certes, celle de Jules Ferry a eu le souci de donner à tous, filles ou garçons, une scolarisation digne de ce nom. Mais c’est peu de dire que les gentes demoiselles étaient assignées dès l’enfance à un rôle très, très précis dans la société. "Un métier comme papa" Dans la famille, la maman fait le ménage, lave le linge, prépare le repas, soigne ses enfants. Arnaud Gonzague - Le Nouvel Observateur

Combattre maintenant les inégalités sexuées, sociales et territoriales dans les quartiers de la politique de la ville et les territoires ruraux f... Concentration de la pauvreté, répartition traditionnelle renforcée des rôles sociaux entre les femmes et les hommes et moindre accès aux droits et aux services, notamment publics : tels sont les facteurs aggravants des inégalités femmes-hommes dans les territoires urbains et ruraux fragilisés, qui sont rappelés dans ce rapport. Ces inégalités sont massives, recoupent largement les inégalités sociales, et se renforcent entre elles. Le rapport du Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes a pour objet de propose des outils pratiques à destination des actrices et acteurs de terrain.

Bilan 2013 des nominations de femmes à des postes à hautes responsabilités dans la fonction publique Femmes.gouv.fr | Publié le 29 octobre 2014 Marisol TOURAINE, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes, Marylise LEBRANCHU, ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique, et Pascale BOISTARD, secrétaire d’Etat aux Droits des femmes, présentent le premier bilan de l’application du dispositif des nominations équilibrées dans les emplois supérieurs et dirigeants de la fonction publique. Ce bilan concerne les nouvelles nominations, c’est-à-dire hors renouvellement sur un même emploi ou nomination sur un même type d’emploi, des cadres supérieurs et dirigeants des trois versants de la fonction publique. Le principal enseignement est qu’en 2013, sur les 886 cadres supérieurs nouvellement nommés dans des emplois de l’encadrement supérieur et dirigeant dans l’ensemble de la fonction publique, 33 % étaient des femmes, dépassant l’objectif de 20 % fixé par la loi du 13 juillet 1983 modifiée en 2012. - Dans la fonction publique d’Etat : 33% de femmes nommées ;

Egalité hommes - femmes: la France se hisse à la 16e place sur 142 pays La politique menée par le gouvernement de François Hollande commencerait-elle à porter ses fruits du moins en matière d'égalité hommes-femmes? Si la réponse est sans doute complexe, la question semble légitime à en juger les résultats du 9e Rapport annuel sur l'écart global entre genres (The Global Gender Gap Report) publié mardi 28 octobre par le Forum économique mondial. >>LIRE: Féminisation de la direction: Sodexo est la meilleure des entreprises du SBF 120 De 45e sur 136 pays l'année dernière, l'Hexagone réalise en effet en 2014 un bond spectaculaire, atteignant la place de 16e sur 142. Comme les autres années, le pays ressort même premier dans deux des quatre domaines évalués: celui de la santé, de l'espérance de vie et celui de l'éducation. Plus de femmes en politique La notation de la France reste toutefois encore très faible sur la question spécifique de l'égalité salariale, pour laquelle elle ne ressort que 126e. Des progrès à faire quant aux perspectives économiques des femmes

Les écarts de salaires entre les femmes et les hommes L'écart de rémunération (c’est-à-dire la différence moyenne entre le revenu horaire brut des femmes et celui des hommes dans l’ensemble des secteurs économiques) entre les hommes et les femmes s'établit à 16,4 % au sein de l’Union européenne en 2012. Ils confirment une légère tendance à la baisse observée ces dernières années, puisque ce chiffre avoisinait auparavant les 17 %, voire plus. Le taux d’écart varie de 2,5 % en Slovénie à 30 % en Estonie. Ces statistiques reflètent avant tout l'impact de la crise économique, qui a plus durement frappé certains secteurs où les hommes sont majoritaires, et non un réel rattrapage des rémunérations féminines. L’écart de rémunération demeure donc élevé, tout en présentant des variations considérables selon les pays et les secteurs.

Rapport « Étude comparative des observatoires de l’égalité de genre dans l’espace francophone Soumis par Mélissa Lessard le 1 août 2014 - 09h35 Après une première phase de recensement des observatoires du genre dans le monde francophone, le Réseau des observatoires de l'égalité de genre (ROEG) a fait appel à un cabinet indépendant pour mener une étude comparative de ses observatoires membres de Janvier à Mars 2014. L’étude a eu pour objet de répertorier les pratiques, les moyens d’actions et les contraintes liées à l’observation du genre, un préalable à l’élaboration d’une stratégie d’action commune du ROEG dans le cadre de l’Agenda Post-2015. Nous publions ici le rapport final de l’étude menée par le cabinet béninois Yara Obirin Didé. 8 observatoires francophones ont participé à l’étude qui a duré 8 semaines :

IVG, contraception, droit de vote… Cinq lois qui ont changé la vie des femmes SOCIETE Quarante après la loi Veil, retour sur les évolutions marquantes de la condition féminine en France… Audrey Chauvet Publié le Mis à jour le Le 26 novembre 1976, Simone Veil défendait, face à un parterre de députés hostiles, la loi pour la légalisation de l’avortement. Le droit d’avorter Après de houleux débats à l’Assemblée, la loi Veil est adoptée le 17 janvier 1975. Le droit d’être payées autant qu’un homme Depuis le 22 décembre 1972, «tout employeur est tenu d’assurer, pour un même travail ou pour un travail de valeur égale, l’égalité de rémunération entre les hommes et les femmes.» Le droit de prendre une contraception La pilule est arrivée sur les tables de chevet en 1967, avec la loi Neuwirth. Le droit de travailler et d’avoir un compte en banque sans l’autorisation de son mari Le 13 juillet 1965 est promulguée la loi qui permet aux femmes de travailler librement sans l’accord préalable de leur mari et d’ouvrir un compte bancaire à leur nom. Le droit de vote Mots-clés :

La loi pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes a été adoptée ! Mise à jour du 24 juillet 2014 : ÇA Y EST ! La loi pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes a été définitivement adoptée par l’Assemblée Nationale et le Sénat. Les différentes mesures, résumées dans cette infographie, pourront entrer en vigueur dès que les décrets d’application correspondants auront été pris : Mise à jour du 28 janvier 2014 : la loi a été adoptée ! L’Assemblée Nationale a adopté aujourd’hui la loi pour l’égalité réelle entre les femmes et les hommes. Le dernier amendement, voté vendredi, ajoutait l’adjectif « réelle » pour bien mettre en avant l’objectif de cette loi : « passer d’une égalité de papier à une égalité concrète », selon les mots de la ministre des Droits des femmes lors de son discours d’ouverture. Ce mardi 28 janvier, le projet de loi a été mis au vote de l’Assemblée Nationale : Votants : 557Exprimés : 383Pour : 359Contre : 24 Lors de l’explication de vote qui le précède, chaque groupe parlementaire a justifié son choix de vote. Vers l’égalité réelle

Gros plan .:. Les droits humains des femmes | ONU Femmes – Beijing+20 Les droits des femmes et des filles sont des droits humains. Ils couvrent tous les aspects de la vie —santé, éducation, participation politique, bien-être économique, absence de violence, parmi beaucoup d’autres. Les femmes et les filles doivent pouvoir bénéficier du plein exercice de tous leurs droits humains dans l’égalité et d’être à l’abri de toutes les formes de discrimination – cette dimension est fondamentale pour assurer des droits humains, la paix et la sécurité, et un développement durable. La Déclaration et le Programme d’action de Beijing confirment que la protection et la promotion des droits humains incombent aux gouvernements et qu’il s’agit de considérations essentielles dans le travail des Nations Unies. La Charte des Nations Unies garantit l’égalité des droits des femmes et des hommes. Grâce à la Déclaration et au Programme d’action de Beijing, 189 États membres des Nations Unies ont convenu de prendre des mesures couvrant tous ces aspects. Faits en bref … raconte

Les Pénélopes, un féminisme politique 1996-2004 | 50 / 50 | "les péripéties de l'égalité femmes/hommes" Les Pénélopes: l’agence de presse L’idée d’une agence de presse féministe est partie du constat récurent que l’on peut encore dresser aujourd’hui : le manque d’intérêt des médias pour tous les sujets femmes. Ainsi la quatrième Conférence mondiale de l’ONU sur les femmes qui avait réunit plus de 30 000 personnes dont 5 000 représentant-e-s de 2 100 ONG du monde entier, en septembre 1995 à Beijing, avait été extrêmement peu traitée. En 1995, il n’existe aucun média féministe. Les collaboratrices qui ne sont pas toutes journalistes – elles sont tout autant aides-soignantes, secrétaires, étudiantes que géologues ou encore astrophysicienne et urbaniste – se revendiquent d’un féminisme de lutte et non institutionnel. Elles organisent également des formations sur l’usage stratégique des nouvelles technologies de l’information en France et dans plusieurs pays de l’Est : Serbie, Croatie, Macédoine, République tchèque, Bulgarie. Le site deviendra trilingue : français, anglais et espagnol.

Un chèque d'arriérés pour compenser l’inégalité salariale entre les sexes au Québec 14.07.2014Par Lys BauduUn chèque pouvant aller jusqu'à 80 000 dollars canadiens (plus de 55 000 euros) au courrier ! C'est ce qu'ont reçu plus de 2000 salariées ou retraitées de l'Université McGill, à Montréal, il y a quelques semaines. Et l'Université s'apprête à envoyer une nouvelle salve de chèques, pour 2500 femmes cette fois-ci, à la suite d'un deuxième accord conclu avec l'Alliance de la fonction publique du Canada, représentant les salariés. Dans les deux cas, il s'agit de compenser l'écart salarial dont les femmes auraient pâti par période de 5 ans depuis 2001. Les chèques vont donc continuer d'arriver régulièrement chez les milliers de salariées ou retraitées de l'Université. Cela fait 13 ans que McGill a lancé son programme d'ajustement, pour lequel elle s'est livrée à de savants calculs, afin de déterminer quel devait être le niveau de salaire équitable, dans certaines professions très féminisées notamment, sur le campus. L'écueil de la mixité de l'emploi

Mères et intermittentes, la double peine des « matermittentes » Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Clarisse Fabre (Avignon, envoyée spéciale) Cela fait quatre ans que les « matermittentes » crient dans le désert. Sans doute seront-elles davantage entendues, cet été, alors que s'ouvre le Festival d'Avignon le 4 juillet, en plein conflit des intermittents du spectacle. En 2010, ces intermittentes en congé maternité dénonçaient déjà les discriminations dont elles font l'objet, pendant cette période (Le Monde du 27 juillet 2010). Mais cela n'a pas suffi. L'avocate salue le combat des « matermittentes », qui est aussi d'intérêt public, dit-elle : « Outre les intermittentes, toutes les femmes à l'emploi discontinu sont concernées par ces diverses discriminations – vacataires, intérimaires, journalistes-pigistes… – ainsi que les hommes et les femmes en arrêt longue maladie. Mais il ne faut pas avoir peur de plonger dans les textes les plus abscons. Mais il y a pire, dans l'écheveau de textes.

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