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11 qualités que Google recherche chez ses candidats

11 qualités que Google recherche chez ses candidats
Avez-vous le profil idéal pour être engagé dans cette société qui offre des conditions de travail rêvées à ses employés ? Google reçoit entre 2,5 et 3,5 millions de candidatures par an. L'entreprise ne recrute que 4 000 personnes environ. Laszlo Bock, vice-président chargé des RH, dirige cette procédure hyper sélective. Nous avons passé au crible ces entretiens et avons découvert les caractéristiques les plus surprenantes. Google ne recherche pas des experts "Nous préférons employer des gens intelligents et curieux, plutôt que des personnes très expérimentées dans un domaine ou un autre", déclare-t-il, tout en faisant remarquer que les individus qui ont de fortes capacités d'apprentissage parviennent généralement à trouver des réponses aux questions insolites. Google recherche des gens à fort "potentiel cognitif" Google recherche des gens qui ont du cran Pour le Times, Laszlo Bock a évoqué la fois où il a discuté avec un étudiant spécialisé en informatique et en mathématiques.

Pour motiver ses salariés, Google mise sur l'interaction et l'autonomisation Chez la firme de Mountain View, motiver ses collaborateurs passe par deux choses : la possibilité de prendre du temps pour travailler sur un projet personnel, et la gratification des personnes qui aident leurs pairs. Pour favoriser l'engagement de ses salariés, Google a décidé de leur laisser plus de temps libre, tout en les incitant à communiquer entre eux. Les managers de la firme de Mountain View sont partis du principe suivant: au cours de la réalisation de leur travail, ingénieurs comme développeurs acquièrent de nombreuses compétences, qu'ils peuvent souhaiter mettre en œuvre dans un cadre plus personnel. Utiliser les interactions entre employés comme assurance d'un travail effectif Ce dernier pouvant être pris afin de mettre au point de nouveaux concepts, qui peuvent au final être récupérés par l'entreprise, sur le principe du don réciproque. Récompenser chaque acte d'entraide publiquement afin de pousser à celle-ci

Economie : la vie chez Google Vendredi, 18 heures : dans la cour d’un superbe hôtel particulier, au cœur du 9e arrondissement parisien, une centaine de salariés de Google trinquent sous le soleil, une bière ou une coupe de champagne à la main. Au siège français, les « Googlers », comme ils s’appellent entre eux, fêtent l’arrivée du week-end lors d’un apéritif hebdomadaire. L’occasion de se mélanger, du stagiaire au patron, et de discuter de projets parfois confidentiels. Tandis que certains jouent au ping-pong, des ingénieurs américains de passage en France se livrent, devant quelques curieux, à une démonstration en avant-première des Google Glass, des lunettes futuristes capables de recevoir des textos, équipées d’un GPS et d’une caméra. « C’est pour ce genre de projets fous que je travaille ici », glisse un salarié. Bienvenue chez Google ! « C’est une fiction, pas un film sur l’histoire de Google », tempère une porte-parole du groupe. Mini-cuisines et salle de fitness Des stagiaires en grande forme Un coup de barre ?

Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • Des cadres intermédiaires «pas à la hauteur» Au vu des commentaires, aucun doute ne subsiste quant aux aptitudes techniques des cadres. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa

Conditions de travail : SFR aménage ses bureaux en open space sous la surveil... Conditions de travail SFR décloisonne ses bureaux de la Défense. Le CHSCT a demandé une expertise avant de rendre un avis. Début décembre, les 31ème et 32ème étages du siège de SFR, opérateur de télécommunications, sont passés en open space. Favoriser la communication En effet, depuis le rachat, en 2008, de Neuf Cegetel par SFR, le groupe a défini sa conception des lieux de travail : « L’aménagement des espaces de travail sera de manière générale organisé pour favoriser l’ouverture, la transparence et la fluidité des relations, le partage des informations et le travail collaboratif… ».D’ici à l’été prochain, le bureau partagé sera la règle. Réaménager en douceur Avant de rendre un avis sur le réaménagement, le CHSCT du siège, à l’unanimité des élus, a demandé l’avis d’un expert en raison de modifications majeures des conditions de travail. P.

Pourquoi Google pose les mêmes questions à tous ses candidats? Google fait partie des entreprises les plus attractives de la planète. Au quotidien, le monde entier utilise son moteur de recherche et les différents services qui gravitent autour. Alors forcément, quand on est recruteur au sein d’une entreprise asi attrayante aux yeux des candidats, on doit mettre en place des techniques de recrutement très pointues afin de sélectionner les meilleurs talents. Précédemment, on a pu voir la typologie du CV idéal selon Lazlo Block, le responsable RH de Google. Continuons dans cette direction avec les questions posées aux candidats lors des entretiens d’embauche. Google arrête de poser des devinettes à ses candidats Il y a encore peu, Google posait des questions très surprenantes à ses candidats. Combien factureriez-vous pour laver toutes les vitres à Seattle ? Si vous voulez découvrir d’autres perles de ce genre, je vous invite à consulter l’article de Presse Citron: 17 questions stupides que Google ne pose plus en entretien de recrutement.

Travailler chez Google, ce n'est pas que du bonheur Une cantine gratuite, des salaires alléchants (88.000 euros par an en moyenne pour un ingénieur), des fauteuils massants ou encore 20% de temps libre pour développer ses projets personnels… A priori, Google paraît l'endroit rêvé pour tout salarié. Ce n'est d'ailleurs pas par hasard que le groupe américain figure régulièrement parmi les premières places des palmarès consacrant les employeurs préférés des jeunes diplômés. Si travailler chez le géant de la Silicon Valley est une expérience très enrichissante, cela peut bizarrement avoir de mauvais côtés. C'est en tout cas le point de vue de certains anciens employés de la firme de Mountain View, qui échangent leurs critiques sur un fil de discussion du site de questions-réponses Quora, repéré par Business Insider. En voici les plus marquants. > Des employés trop qualifiés Vu le nombre de personnes souhaitant travailler chez Google, la firme peut se permettre de ne recruter que les meilleurs éléments. > Esprit start-up, es-tu là ?

Google : les salariés bousculent le mythe Le géant de l'informatique, pourtant auréolé d'une réputation d'entreprise modèle, est loin d'être un Éden pour ses salariés. Entre querelles d'ego et faiblesses managériales, leurs témoignages chamboulent les idées reçues. Florilège. Fréquemment, Google est attaqué de l'extérieur. • «Arrogance et sexisme» «Beaucoup de gens qui travaillent chez Google ont le sentiment d'avoir tous les droits parce qu'ils sont issus de l'élite», témoigne une ancienne directrice des ressources humaines. • Une sélection drastique… mais des tâches mesquines «Ce qu'il y a de pire dans cette boîte, c'est le décalage entre l'exigence du recrutement et la simplicité d'un grand nombre de missions», écrit Vlad Patryshev, resté trois ans et demi à Mountain View. • Impossible de changer seul la donne «J'ai travaillé trois ans pour Google. • Des cadres intermédiaires «pas à la hauteur» Au vu des commentaires, aucun doute ne subsiste quant aux aptitudes techniques des cadres. • La vie en «G» • Un campus pas si sympa

Le management selon Google Asie - Pacifique Fin de la prise d'otages à Sydney +VIDEO Un homme armé, un réfugié iranien déjà condamné du nom d'Haron Monis, avait pris le contrôle d'un café dans le centre de Sydney et retenu pendant... #Illridewithyou, le hashtag des Australiens en soutien aux musulmans Le hashtag figure parmi les plus partagés, ces dernières heures, sur les réseaux sociaux. Analyse de la séance La tentative de rebond du Cac 40 tourne court La Bourse de Paris a effacé son avance, en réaction au repli des cours du pétrole après une tentative de rebond.

Burn out: attention aux signaux d'alerte | Médecine, santé, forme et bien-être – ra-sante Un actif français sur cinq (17%) s’estime en situation potentielle de burn-out, selon une étude de l’Institut Think. Une proportion encore plus importante chez les cadres (24%). Le docteur Christian Ferrand, coordinateur du service de médecine du travail à l’AST Grand Lyon, décode les principaux signes d’alerte de ce fléau du XXIeme siècle. Surcharge de travail, stress, harcèlement… Aucune profession n’est épargnée par le risque de burn out ©P.Frieh Qu’est-ce que le burn out ? Le burn out est une souffrance au travail, qui n’a d’ailleurs pas de définition propre et n’est pas encore reconnu comme maladie professionnelle. Quels sont les principaux facteurs ? Ils diffèrent selon les personnalités, mais un fort investissement personnel, la surcharge de travail, le stress chronique, des conflits interpersonnels, des problèmes d’organisation du travail, voire du harcèlement, l’exigence du client sont les facteurs les plus courants. Comment se manifestent les premiers symptômes ?

Le Recrutement chez Google Part. 2 | Management RH Lorsqu’un recruteur effectue une mission de sourcing, il dispose d’un certain nombre d’outils classiques : Agence Pôle Emploi, cabinets de recrutement, sites spécialisés & contacts avec les écoles. Google utilise ces réseaux mais, en analysant la stratégie de recrutement, on se rend qu’elle utilise des méthodes aussi insolites qu’efficaces. Recruter par une publicité codée Le “billboard myster” est une équation mathématique affichée sur un panneau publicitaire, sans logo, ni signe distinctif. Le résultat de l’équation donne une suite de chiffres à associer à .com pour accéder à l’annonce de recrutement. Les avantages de cette méthode sont simples, ce panneau exposé touche potentiellement un grand nombre de personnes. Des événements pour le recrutement Google organise ses propres événements RH, spécifiquement pensés en prévision des besoins en ressources humaines. Gestion par processus L’intégration chez Google A lire également :

Google : un stage dans l'entreprise la plus cool du monde - vidéo Ma vie de stagiaire chez Google - vidéo © capture YouTube Google recrute chaque été des stagiaires qui découvrent au plus près les méthodes de travail du géant du web. Une page dédiée, Google Students, propose de suivre leur parcours au sein de l'entreprise et présente dans une vidéo leur première semaine. Google est l’employeur rêvé : bureaux délirants, politique salariale exemplaire, accueil des enfants, des animaux, larges congés de parentalité, salles de sieste et de jeux… Il s’est construit autour du géant du web une image qui tient presque de la légende urbaine, la « Google Way » : on se déplacerait en vélo sur le site, la cafétéria serait remplie de friandises et de viennoiseries fraîches, les bureaux bénéficieraient d’un sauna ou d’un coiffeur… Une atmosphère excentrique et professionnelle Et la première entreprise du web entretient cette image positive : ses stagiaires sont suivis de près. Une expérience formatrice Placer la barre haut lors des recrutements Victoria Houssay

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