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Comment manager la génération Y ?

Comment manager la génération Y ?
Devenue une appellation incontournable, l’expression « Génération Y » fait référence aux jeunes gens âgés de 18 à 30 ans. Génération du millénaire, le groupe est déjà entré dans le monde du travail ou en passe d’y accéder… en cassant quelque peu les codes de l’entreprise. En France, la génération Y regroupe environ 13 millions de personnes, soit près de 21 % de la population, née entre les années 70 et le milieu des années 90. Elle succède à la génération X qui elle-même suit la génération des « baby-boomers ». Les points que nous mettons en lumière sont des généralisations et n’ont pas de valeur intrinsèque. Une génération qui casse les codes Biberonnée aux nouveaux médias et aux technologies digitales, la génération Y est plus interconnectée que collective. Curieux par nature, les Yers remettent en question leurs actions dans l’entreprise en recherchant du sens dans leur travail. La recherche de l’épanouissement personnel Un besoin de reconnaissance particulièrement marqué Related:  MAN 44 - Comment le numérique transforme l'entreprise et le management

Les trois nouveaux défis des ressources humaines... et les solutions Le marché du travail évolue, les priorités des entreprises aussi. Telle est la conclusion de l'étude annuelle du cabinet Deloitte publiée mardi. Charge aux responsables des ressources humaines, alors, d'adapter leurs besoins et leurs critères de sélection. Explications. Développer le leadership à tous les niveaux Émergence de nouveaux marchés, arrivée de collaborateurs aux profils de plus en plus variés, remise en cause du modèle pyramidal des entreprises... Le cabinet note à cet égard que le modèle a changé: il n'est ainsi pas rare que trois générations se côtoient au sein d'une entreprise. Un défi que seules 13% des entreprises sondées se disent prêtes à relever. La "quête de sens" des salariés au centre des politiques RH De plus, la notion de "carrière" revêt de moins en moins d'importance pour les salariés, au profit de leur épanouissement personnel. 78% des organisations interrogées soulignent ainsi l'importance de cet objectif. >>LIRE: Avoir un hobby rend plus productif au travail

10 problèmes de management qui font que vos meilleurs employés démissionnent. N’avez-vous pas rencontré des entrepreneurs qui se vantent de leurs meilleurs employés, ces mêmes salariés qui démissionnent finalement ? Le départ d’un employé capital peut être fatal pour une entreprise. Les coûts baissent certes mais vous ne trouverez plus la même personne et si vous êtes dans une situation difficile alors vous êtes dans le pétrin. Il est toujours intéressant de voir des employeurs aux grandes études qui appliquent des techniques de management pauvres et inadaptées et font fuir les meilleurs employés. Voici les conseils pour vous aider à ne plus perdre des employés précieux ou importants. Si vous demandez aux grandes groupes, s’ils ont une stratégie pour recruter et surtout garder leurs meilleurs employés, ils vous répondront « oui ». Vous aurez beau jouer la victime, nier et vous débattre mais ce sont les employés qui vous font vivre et pas l’inverse et beaucoup l’oublie. 1 vous ne savez pas libérer leurs passions 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10.

Pourquoi le management tourne en rond ? Les mêmes causes produisant les mêmes effets, quarante ans de pensée managériale n'ont pas fait évoluer d'un iota le monde du management. Certes, on en a vu passer des modes, depuis les premiers cercles de qualité jusqu'au management durable d'aujourd'hui. La crise a, elle aussi, ouvert sur de nouveaux modes de travail moins en silos et plus coopératifs mais en réduisant l'autonomie des salariés et en produisant toujours plus de contrôles et de processus. "En apparence, la science du management (ou ce qui fait office) ne cesse de progresser, et pourtant les questions qui se posent au manager témoignent d'une remarquable permanence", constate François Dupuy dans "La faillite de la pensée managériale "qui vient de paraître au Seuil. D'une carrière entière passée au chevet des organisations, le sociologue en ressort avec un constat sans appel : le management tourne en rond. Pourquoi ? Un puissant facteur d'immobilisme Alerter sur le manque de questionnement

Le salariat est-il encore l'avenir de l'homme Emission présentée par Olivia Gesbert Tous les ans le 1er mai, le travail se fête. Quand on en a bien sûr. Comment savourer un jour férié quand on est en demande d’emploi ? Il y a peu le Conseil d’orientation pour l’emploi a publié un rapport sur l’évolution des formes d’emplois en France. Bernard Friot, Eric Verhaeghe et Danièle Linhart MB © Radio France Une étude qui interroge à la fois notre rapport au travail, les évolutions de l’emploi, le rôle de l’Etat et des politiques publiques. Signe des temps, certains en viennent à prédire « la fin du salariat ». Le salariat est mort, mais vive... quoi ? Suivez-nous aussi sur:

Le management du futur ? | Interface  Les formes d’organisation des entreprises et des administrations sont aujourd’hui confrontées à des mutations profondes, voire à des remises en causes radicales, que les modèles managériaux d’hier ne permettent plus de penser et d’accompagner. Plutôt que de chercher la solution idéale mais en s’appuyant sur son expérience dans l’accompagnement des organisations, Interface vous propose d’imaginer le futur pour repenser le management. Voici nos pistes d’évolution et les questions que nous développons pour penser le management de demain: Du vertical à l’horizontal ? Depuis près de 30 ans, Interface déploie ses compétences en ingénierie de formation et d’accompagnement tout en remettant en cause régulièrement ses modèles et ses outils. Forts de cet état d’esprit et de cette pratique, nous pouvons vous proposer de travailler sur votre management de plusieurs façons: -En expérimentant, avec des projets innovants (en partenariat avec D-Sides) -En combinant des moyens pluriels d’apprentissage,

La Génération Z bouscule le monde de l’entreprise… et l’école Suite au Dossier de veille sur la jeunesse, nous avons été sollicité pour un point particulier du dossier, à savoir les questions que pose l’arrivée des jeunes dans le monde de l’entreprise. Ces jeunes de moins de 20 ans, appelés par certains la Génération Z, semblent remettre en cause les fonctionnements “traditionnels” de l’entreprise et de la formation (alternance, apprentissage, etc.). Si la question est posée par les acteurs de la formation professionnelle, elle fait néanmoins écho aux questions d’ordre pédagogique soulevées par le rapport des jeunes aux apprentissages, au savoir, le tout avec en arrière plan les pratiques et usages numériques des jeunes. Qu’est-ce que la Génération Z ? Il y a peu de littérature scientifique sur la question. Éric Delcroix consacre un blog à la Génération Z. La Génération Z concerne les jeunes nés après 1995. La Génération Z arrive sur le marché du travail Pour aller plus loin :

France Stratégie | Organisme de réflexion, d’expertise et de conseils placés auprès du premier Ministre : évaluer, anticiper, débattre, proposer Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mail Du big data au smart data XEnvoyer cet article par e-mailDu big data au smart data e-marketing La donnée consommateur au coeur de la transformation de l’entreprise L’expression “big data” ferait presque fuir tant elle est utilisée à tort et à travers. Usée jusqu’à la corde sans avoir vraiment été beaucoup utilisée : l’expression-valise “big data” ne doit cependant pas dissimuler ses enjeux grands formats : une rupture obligée avec les classiques modèles économiques de nombre d’entreprises. Certes, jusqu’à présent les discours et autres rapports annuels ont abondamment précédé la mise en œuvre. L’exploitation du déluge informationnel En effet, l’exploitation de ces fameuses données, en temps accéléré, impacte simultanément la plupart des grandes fonctions : commerciales, marketing mais aussi conception, R&R, production, logistique, dont l’organisation actuelle en silo peu partageur va bien vite apparaître comme un archaïsme. Les 4 facteurs de la rupture...

Google, Uber, Amazon: comment la disruption transforme des industries entières De Google à Uber et Facebook, une forme d’innovation dite disruptive change les règles du jeu. Cette nouvelle organisation du travail crée de nouveaux marchés pour le consommateur, casse les prix, et change l’expérience client Facebook promet d’offrir la possibilité d’un transfert d’argent par son application Messenger. Est-ce le vrai démarrage du paiement de personne à personne? Est-ce une menace pour certaines banques? Kodak, l’ex-leader de la photo, a-t-il jamais imaginé être presque anéanti par la téléphonie mobile? Les origines de la rupture Cette innovation porte un nom, celui de «disruption». En général, l’innovation est classée en deux types, celle d’accélération et celle de disruption, selon Cyril Bouquet. La deuxième catégorie d’innovation est celle de la disruption. Attention de ne pas mélanger les concepts. Elimination des acteurs historiques Les syndicats refusent souvent de quitter le statu quo et demandent une protection. L’élément symbolique est très fort.

Le numérique va à nouveau révolutionner le management En 68, parmi bien d’autres revendications, s’est exprimé un refus véhément du travail en miettes, des tâches répétitives et, comme on disait « aliénantes ». La contestation s’est focalisée, non sans raison, sur le travail à la chaîne, en qui s’incarnait tous les défauts d’un mode de production daté. La pyramide hiérarchique, elle aussi, a fait l’objet d’une contestation : souvenez-vous de la lutte des maos contre les « petits chefs ». L’Organisation scientifique du travail, théorisée par Frederick Taylor avant la guerre de 14, arrivait manifestement à son niveau d’obsolescence. Au cours des décennies suivantes, mieux formées, les nouvelles générations, aspirèrent à davantage d’initiative. Ce qui a rencontré l’intérêt bien compris des entreprises. Mais comment contrôler la réalité et l’efficacité d’un travail dans une très grande autonomie ? D’où une nouvelle vague de lassitude et de mécontentements. start-up istockphoto © Radio France

Contrôle des chômeurs et management par l’absurde: peut-on encore donner un sens au travail? Dans un rapport paru mardi, l’Organisation internationale du travail révèle que trois personnes sur quatre dans le monde ne bénéficient pas d’une relation d’emploi stable tandis que Pôle emploi vient de valider ce que beaucoup considèrent comme le flicage accentué des demandeurs d’emploi. Comment évaluer les méthodes d’accompagnement des demandeurs d’emploi tandis que leur nombre augmente malgré la reprise de la croissance ? Comment le management conditionne-t-il et encadre-t-il aujourd’hui les travailleurs ? Pôle Emploi Charles Platiau © Reuters Thierry, 51 ans, est renvoyé de son entreprise dans le cadre d’un plan de licenciements économiques. Hasard du calendrier, hier, le conseil d’administration du Pôle emploi a approuvé la généralisation à l’ensemble du territoire d’un dispositif qui dissocie la mission d’accompagnement des chômeurs de celle du contrôle de leurs recherches. Julien Damon et Marie-Anne Dujarier © Radio France

Les 7 points qui différencient une entreprise libérée d’une organisation classique Chroniques d’experts Organisation Le 28/05/2015 Temps de lecture : 8 minutes Identifier les sept points communs des entreprises libérées permet de comprendre, en creux, ce qui peut dysfonctionner dans les organisations traditionnelles. Quel que soit le domaine ou le secteur d’activité dans lequel elles évoluent, les entreprises libérées ont des points communs. 1. La souffrance au travail a un coût : le coût du stress a été évalué à 3,8 % du PIB par des études européennes, soit entre 3 et 3,5 millions de journées de travail perdues. 2. Incarner une vision et la faire partager à ses collaborateurs : si cela était courant dans les entreprises familiales et paternalistes de la période préindustrielle, les dirigeants d’aujourd’hui sont tout aussi volatiles que les investisseurs. 3. Pour maintenir la cohésion au sein d’un collectif de travail, il ne suffit pas d’afficher des valeurs telles qu’on peut le voir dans les chartes d’entreprise. 4. 5. C’est le leitmotiv de toutes les entreprises. 6. 7.

L’entreprise libérée, phénomène de fond ou de mode? Organisation Le 15/05/2015 On entend parler un peu partout, dans le monde du travail comme dans les médias, « d’entreprise libérée ». De nombreux ouvrages traitent de cette façon nouvelle de mobiliser les acteurs sur leur manière d’entreprendre et d’organiser le « travailler ensemble ». Tout d’abord, il me semble nécessaire de s’interroger sur la terminologie « entreprise libérée ». Un regard rapide jeté sur l’histoire récente permet de voir que ces principes ont préexisté au phénomène de mode actuel. Arrivé au bout de sa logique avec la fin de l’ère industrielle, le modèle taylorien d’organisation du travail a buté contre des changements environnementaux pour lesquels il est inadapté : la complexité, l’incertitude, la mondialisation, mais aussi l’émergence du réseau grâce aux nouvelles technologies de l’information et de la communication.

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