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Point de vue sur l'information et sa gouvernance

Point de vue sur l'information et sa gouvernance
L’instance de gouvernance de l’information trouve sa légitimité Lorsqu’il s’agit d’information, tout va très vite aujourd’hui, la technologie et les volumes d’informations bien sûr, mais aussi la réglementation,... Prédiction 2015-2016 : vers un monde autrement responsable Si les prédictions concernant ces prochaines années devaient se résumer en 3 mots-clefs, nous aurions : Transparence, Societal-centric, Data-responsable. Si... Gouvernance de l’information, une action globale maintenant ou jamais ! La tendance est à l’envol de la gouvernance de l’information Gouverner : pour mieux gérer une entreprise – un système... Les 7 familles d’informations Nos organisations ont de plus en plus besoin de gouvernance de l’information, seulement, voilà, cette gouvernance de l’information est souvent... Les 5 piliers de la gouvernance de l’information Depuis quelques années la notion de flux Information est de plus en plus considérée comme étant un domaine à regarder attentivement.

État de l'art Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'état de l'art est l'état des connaissances dans tout domaine donné (scientifique, technique, artistique, médical...) à un instant donné. C'est un des objectifs des grandes encyclopédies que de dresser un état de l'art sur les grands sujets culturels, scientifiques et techniques de leur époque, y compris par des illustrations (dont les premières ont été les planches encyclopédiques Diderot et d'Alembert décrivant les métiers et les techniques existant à son époque. Aspects sémantiques[modifier | modifier le code] L'expression équivalente anglaise est state of the art ; cependant, elle est utilisée dans le langage courant dans le sens de à la pointe, ultramoderne, alors que, en français, état de l’art fait essentiellement partie du jargon scientifique. Méthode[modifier | modifier le code] Dresser un état de l'art dans un domaine consiste à rechercher toutes les informations existantes concernant ce domaine et à en faire une synthèse.

Knowledge Worker : ma boîte à outils numérique Depuis plusieurs années, je reçois souvent des demandes concernant mon organisation personnelle et ma manière de faire pour alimenter le blog, produire des contenus à destination de la communauté professionnelle de la veille… Il s’agit de manière plus synthétique, si je reprends l’expression chère à Christophe : mon Personal Knowledge Management. Voici donc un premier niveau de réponse, qui présente le panorama d’applications, services et outils constituant ma toolbox de knowledge worker. En attendant dans les mois à venir un article dédié au système de veille personnel que j’ai mis en place depuis quelques temps. Pour commencer, je tiens à préciser que ma plateforme de travail principal fonctionne sous MAC et en SaaS/en ligne pour le reste. Ce qui ne m’empêche pas de travailler à l’aise sous Windows. Pour un confort de lecture et dans un souci d’exploitation opérationnelle, j’ai organisé ma boîte à outils en plusieurs rubriques. Organisation et recherche Capitalisation et mémoire Mobilité

Architecture de l'information Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'architecture de l'information (AI) est l'art d'exprimer un modèle ou un concept d'information utilisé dans des activités exigeant des détails explicites dans des systèmes complexes. Parmi ces activités sont notamment les systèmes de gestion de bibliothèque, les Système de gestion de contenu, la programmation Web, les bases de données le développement, la programmation, l'architecture entreprise et l'ingéniérie logicielle de systèmes critiques. Historiquement le terme "architecture de l'information" est attribué à Richard Saul Wurman. Définitions[modifier | modifier le code] L'architecture de l'information est un ensemble de compétences spécialisées dans l'interprétation de l'information et qui exprime des distinctions entre les signes et les systèmes de signes. L'architecture de l'information est aussi définie par l'Information Architecture Institute[3] comme: Voir aussi[modifier | modifier le code] Références[modifier | modifier le code]

Grille d'aide à la gestion des savoirs  Dans le cadre du projet Transfert intergénérationnel des savoirs conduit par le CEFRIO, l’équipe de recherche de Kimiz Dalkir, professeure à l’Université McGill, a dressé une liste de stratégies de gestion des connaissances en identifiant les défis qu'elles permettent de résoudre au sein de l’organisation. Ce projet de recherche action a été réalisé avec les partenaires suivants: Hydro-Québec, la Régie du bâtiment du Québec , la Régie des rentes du Québec et TELUS. La grille d’aide ci-dessous vous permettra de repérer le ou les défis auxquels votre organisation est confrontée, et surtout, de vous renseigner sur les stratégies possibles en vue d’améliorer la gestion des connaissances au sein de votre organisation ! Pour de plus amples informations concernant l'utilisation de cette grille, cliquez sur le point d'interrogation ci-dessous. Ce que l’on vous propose : La grille d’aide de gestion des savoirs vous présente des solutions adaptées à la réalité de votre entreprise.

Sociologie de la connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Émile Durkheim et Marcel Mauss furent les pionniers de cette discipline. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe, ils ont écrit des œuvres qui cherchent à expliquer comment la pensée conceptuelle, la langue, et la logique peuvent être influencées par le milieu sociologique dont ils proviennent. Alors qu'aucun des deux utilisait le terme spécifique de "sociologie de la connaissance", leur œuvre est une première contribution importante à la discipline. Théories[modifier | modifier le code] Émile Durkheim[modifier | modifier le code] Émile Durkheim (1858–1917) est reconnu comme le premier professeur à établir la sociologie en tant que discipline académique. Les représentations collectives[modifier | modifier le code] Un des plus importants éléments de la théorie de connaissance de Durkheim est son concept de représentations collectives, un terme qui remplace le terme 'conscience collective' utilisé dans La division du travail social.

Présentation Etalab et ses partenaires, acteurs de l'innovation, présentent Dataconnexions - leur programme d'incitation à la réutilisation des données publiques. Les concours Dataconnexions fédèrent une communauté de projets qui : Echange et collabore tout au long de l'année Les concours Dataconnexions rasemblent des porteurs de projet, et des acteurs de l’innovation parmi lesquels se trouvent des grandes entreprises, des pôles de compétitivité, des établissements d’enseignement supérieur, des centres de recherche, des organismes de soutien à l'innovation et des institutions financières ; tous intéressés au développement des projets candidats au concours. Cette communauté de projets, ouverte à tous, échange crée des liens entre offre de services et demandes des porteurs de projets pour amplifier le développement de services et d’applications innovantes, réutilisant des données publiques. Se réunit lors de grands rendez-vous Qui peut accéder à la communauté en ligne Dataconnexions ? Conditions d'admission

Littératie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sur les autres projets Wikimedia : littératie, sur le Wiktionnaire Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), la littératie est « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d'étendre ses connaissances et ses capacités. » (dans le rapport publié le 14 juin 2000 : La littératie à l’ère de l’information). Terminologie[modifier | modifier le code] « The next best thing to knowing something, is knowing where to find it. » « Ce qu'il y a de mieux en dehors de savoir quelque chose, c'est de savoir où le trouver » – Samuel Johnson Cette citation de l'écrivain et savant anglais Samuel Johnson n'a rien perdu de sa vérité encore aujourd'hui. Origine du concept[modifier | modifier le code] Le concept est issu du mot anglais literacy (« alphabétisme ») qui s'oppose à illiteracy (analphabétisme).

New York Blog: how to write a paper (one possible answer) : New York Blog how to write a paper a student recently asked me how to write a paper. here’s an algorithm i’d suggest, with plenty of room for an individual to deviate. punchline(s)nickname*figures*referencesoutlineabstract(w) intro and outtro(w) middleshow definite coauthorsshow possible coauthorsacknowledgementstitlecodesubmit and postpunchline(s) readers, reviewers, and you in 5 years are going to want to have some pithy way of remembering that paper. what is the “main result”? what did you learn? nickname most of the projects i work on have a nickname for the project. sometimes it’s just the name of the cvs/svn/github repository. it helps you and your collaborators define a bite-size quantum of research. figures decide what figures are necessary to illustrate the punchline. decide which are going in the mansucript and which in supplementary material. the * indicates that this is how people read the paper — they’ll skim the figures and references first references outline abstract (w) intro (w) outtro

Gestion des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. La Gestion des Connaissances est une démarche stratégique pluridisciplinaire visant à atteindre l'objectif fixé grâce à une exploitation optimale des connaissances.[1] D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] Enjeux et objectifs[modifier | modifier le code] Les formes des connaissances[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?

Théorie de la connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une partie de cet article porte sur la théorie analytique de la connaissance, discipline philosophique qui s'est pour l'essentiel développée dans le monde anglophone[1]. Le monde germanique, de par l'apport anglo-saxon a repris les résultats analytique pour les réunir dans une théorie globalisante. Le passage est très distinct de Locke, Berkeley, Hume à Kant pour l'analytique. Définition classique de la connaissance[modifier | modifier le code] Croyance vraie justifiée[modifier | modifier le code] L'approche classique définit la connaissance comme une croyance vraie et justifiée[2], et non seulement une croyance vraie. Le terme de « connaissance » a longtemps désigné, en philosophie, des croyances dont la vérité est justifiée de manière certaine. Le problème de Gettier et les analyses contemporaines de la connaissance[modifier | modifier le code] Dans un célèbre article intitulé « Is Justified True Belief Knowledge? Jean C.

GouvInfo - Observatoire de la gouvernance de l'information KM Actu - management des connaissances - gestion des connaissances » La maitrise de l’information par le Général Loup FrancartInfoguerre La maitrise de l’information par le Général Loup Francart. Sommaire I – introduction et synthèse II – La maîtrise de l’information 2-1) L’information est action et donne du sens 2-2) Buts de la maîtrise de l’information 2-3) Les niveaux d’application du cycle 2-4) Les domaines concernés 2-4-1) Au niveau stratégique global 2-4-2) Au niveau opérationnel 2-5) Le spectre des activité de maîtrise de l’information Annexe 1 : L’importance de la maîtrise de l’information Annexe 2 : Les approches de la maîtrise de l’information Annexe 3 : Points de vue sur la maîtrise de l’information I – Introduction et synthèse Ce document a pour objet d’éclairer les visions des responsables et experts sur tout ce qui concerne ce domaine. Comme par le passé, les armées sont tributaires de l’information. Les actions conduites dans ce domaine peuvent donc constituer une stratégie ou une manoeuvre en vue d’atteindre le succès. 2-1) L’information est action et donne du sens L’information est devenue action. Annexe 1

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