background preloader

Appellation Musée de France

Appellation Musée de France
L’appellation « Musée de France » a été instaurée par la loi du 4 janvier 2002 relative aux musées de France. Cette appellation peut être accordée aux musées appartenant à l’État, à une autre personne morale de droit public ou à une personne de droit privé à but non lucratif. L’appellation « Musée de France » porte à la fois sur les collections et les institutions qui les mettent en valeur : les collections permanentes des musées de France sont inaliénables et doivent être inscrites sur un inventaire réglementaire. 1 218 musées ont reçu l’appellation « Musée de France »Ils constituent un maillage dense sur l’ensemble du territoire, de métropole et d’Outre-mer. Les musées de France peuvent dépendre de collectivités territoriales : communes, communautés de commune, départements, régions. Ils peuvent également dépendre de l’État, ainsi que d’associations ou de fondations.

38e Cinéma du réel | Le blog du festival international de films documentaires Récolement décennal : les musées seront en retard au rendez-vous « Une série de tortues qui avancent bien, mais qui sont parties beaucoup trop tard ». C’est ainsi que Marie-Christine Labourdette, directrice des musées de France, a résumé la situation des musées en matière de récolement (1), lors de la deuxième journée nationale organisée sur la question, à Paris, le 12 décembre 2013, par le Service des musées de France (SMF). Le retard à l’allumage avait déjà été constaté il y a un an, lors de la première journée d’études. Un manque d’intérêt ou d’entrain pour la question, une prise de conscience insuffisante des délais et de l’ampleur de la tâche à accomplir, des difficultés méthodologiques (problématique des collections composées de milliers de pièces, ou d’éléments peu maniables comme les statues…) et des moyens humains souvent insuffisants expliquent l’ampleur du retard pris par les professionnels. Le SMF évalue leur nombre à 320 sur les 1159 musées de France. Avec des constats différenciés : Focus Récolement, une affaire de cinétique

PCI, qu'est ce que c'est? - Patrimoine culturel immatériel La France a ratifié en 2006 la convention de l’UNESCO du 17 octobre 2003 pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (PCI). Depuis cette date, la mise en œuvre de la convention a été confiée à la Mission ethnologie. Depuis janvier 2010, le département du pilotage de la recherche et de la politique scientifique de la direction générale des patrimoines est le service compétent pour l’ethnologie et le patrimoine culturel immatériel. Selon les termes de l'arrêté du 17 novembre 2009, le département du pilotage de la recherche est chargé de coordonner la mise en œuvre de la convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. On entend par patrimoine culturel immatériel l’ensemble des pratiques, expressions ou représentations qu’une communauté humaine reconnait comme faisant partie de son patrimoine dans la mesure où celles-ci procurent à ce groupe humain un sentiment de continuité et d’identité.

Cleaning I'll start here with a few things. First, there's a lot of cleaning methods out there, such as maceration, beetles, simmering, boiling, etc, all with their pros and cons. I won't cover them all here, and I'll stick to the one I use or experimented with. If you want some info on other techniques, you can have a look around the Internet, plenty of info out there, especially on websites such as the taxidermy.net forum. Another thing to keep in mind is to be open minded, and be able to double check and cross information. Thus, the techniques I discuss here are not the only and perfect way to go, it is one combination among many others, but that works well for what I do and what I want to achieve. I discussed various points with several specialists and enthusiasts from all over the world, and came up with my own version of those techniques. So read, inform yourself, and get info from different people and different place. That being said, let's move on.

Intervenir dans un secteur sauvegardé - Monuments historiques & Espaces protégés Les travaux en secteur sauvegardé La création d'un secteur sauvegardé génère un périmètre à l'intérieur duquel tous les travaux sont contrôlés, par l'architecte des bâtiments de France (ABF), qui doit donner son accord dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux. Un plan de sauvegarde et de mise en valeur (PSMV), qui a valeur de document d'urbanisme, fixe précisément les règles applicables aux immeubles, y compris à l’intérieur des immeubles, et aux espaces concernés.Ce document, élaboré en concertation avec les élus et les professionnels du patrimoine - dont les architectes des bâtiments de France - répond à la nécessité de conserver le secteur sauvegardé et de le mettre en valeur. Dans un secteur sauvegardé, tous les travaux ayant pour effet de modifier l'état des immeubles sont soumis à permis ou à déclaration préalable, dans les conditions prévues par le code de l'Urbanisme, après accord de l'architecte des bâtiments de France.

La zoothèque | Grande Galerie de l'Evolution L’ancienne Galerie de Zoologie, bâtie entre 1877 et 1889, témoignait d’une muséologie des sciences propre au 19e siècle. Cette Galerie servait tout à la fois de lieu de visite pour le grand public, de "réserves" pour toutes les collections, et de lieu d’étude pour les chercheurs. Le projet de rénovation des années 1980 n’incluant pas cette multiplicité d’activités et de spécimens dans le futur espace, le déménagement s’imposait. Diverses raisons ont décidé de la création de cet espace de stockage à l’intérieur même du Jardin des Plantes. La zoothèque est un bâtiment de 3 étages, totalisant 6 300 m2 de surface, dont près de 4 000 m2 consacrés à la conservation des collections. Les collections sont conservées (certains spécimens sont au Jardin des Plantes depuis 1740 !) La zoothèque s’affirme aujourd’hui encore comme un maillon indispensable à l’acquisition du savoir scientifique : la conservation des collections est le préalable au travail de recherche.

Monuments historiques - Monuments historiques & Espaces protégés Un monument historique est un immeuble ou un objet mobilier recevant un statut juridique particulier destiné à le protéger, du fait de son intérêt historique, artistique, architectural mais aussi technique ou scientifique. Le statut de « monument historique » est une reconnaissance par la Nation de la valeur patrimoniale d'un bien. Cette protection implique une responsabilité partagée entre les propriétaires et la collectivité nationale au regard de sa conservation et de sa transmission aux générations à venir. Dès l'époque révolutionnaire, le conseil des bâtiments civils puis à partir de 1837 la Commission des monuments historiques ont donné des avis et des orientations sur les interventions à mener sur les palais nationaux, les monuments de l'État ou ceux « classés » par la commission des monuments historiques. Au cours de ces dernières années, le régime législatif et réglementaire des monuments historiques a connu de profondes évolutions.

Les premières momies égyptiennes La momification n’est pas un produit de la civilisation égyptienne à son apogée, révèle une étude. Mais de ses devanciers mal connus, qui vivaient il y a six mille ans au centre du pays. Figurine fabriquée par les populations où se trouvent ces plus anciennes momies Bobak Ha’Eri − CC-BY-2.5 Que mon cadavre ignore la corruption ! Une obsession. Mais d’où vient cette pratique ? Dans les années 1990-2000, des découvertes relancent le débat. Les premières momifications ? Mais les chercheurs se rappelèrent alors ce qu’ils avaient lu dans un vieux livre des années 1920. Celles-ci révèlent que la substance contient bien de la résine de conifère. En outre la recette est étonnamment similaire, écrivent les chercheurs, à celles des « embaumeurs égyptiens quand ceux-ci étaient au sommet de leur art, 2500 à 3000 ans plus tard ». Reste qu’il s’agit bien de prémices de la momification. Nicolas Constans Pour s’abonner au blog : Voir en plein écran La publication scientifique : J.

Trésors nationaux - Musées Les trésors nationaux sont des biens culturels qui, présentant un intérêt majeur pour le patrimoine national au point de vue de l'histoire, de l'art ou de l'archéologie, ont fait l’objet d'un refus temporaire de sortie du territoire concrétisé par un "refus de certificat", au sens de la loi n° 92-1477 du 31 décembre 1992 modifiée. Plus d'une trentaine d’œuvres majeures étaient concernées par ces dispositions au moment de l'édition de ce document. Pour les œuvres considérées comme "trésor national", dès que le certificat d'exportation est refusé, et dans les 30 mois qui suivent, l'administration peut faire une offre d'achat au propriétaire, la détermination du prix étant confiée à des experts en cas de refus de ce dernier.

L’incomparable leçon de dessin d’Hokusai LE MONDE | • Mis à jour le | Par Harry Bellet Mesdames et mesdemoiselles, si M. Seiji Nagata, commissaire de l'exposition « Hokusai » au Grand Palais, vous propose de découvrir sa collection d'estampes japonaises, vous pouvez y aller sans inquiétude, sinon sans quelques secrets regrets. Il en a soigneusement exclu les shunga, ces « images du printemps » dont la nature peu équivoque pourrait troubler les âmes virginales. Avec un argument non dénué de bon sens : les montrer aurait occulté le reste. De fait, c'eût été dommage, car le reste en question est exceptionnel. Ce sont en fait des pans entiers du Japon de la fin de la période d'Edo (inaugurée avec le shogunat instauré par Tokugawa Ieyasu en 1603, elle s'achève avec son abolition en 1 868) qui se dévoilent là, dans des milliers de nuances, de subtilités, de raffinement, mais aussi dans la trivialité de ses petits métiers, comme ce tonnelier œuvrant à l'ombre du mont Fuji, ou ce Vendeur de boissons fraîches.

Musées de France - Musées Est considéré comme " musée de France ", au sens de cette loi, " toute collection permanente composée de biens dont la conservation et la présentation revêtent un intérêt public et organisée en vue de la connaissance, de l'éducation et du plaisir du public ". Les " musées de France " ont pour mission permanente de conserver, restaurer, étudier et enrichir leurs collections, de les rendre accessibles au public le plus large, de concevoir et de mettre en œuvre des actions d'éducation et de diffusion visant à assurer l'égal accès de tous à la culture, de contribuer au progrès de la connaissance et de la recherche. Le musée agréé est obligatoirement dirigé par un personnel scientifique issu de la filière culturelle territoriale ou nationale, (conservateur ou attaché de conservation). Il dispose en propre ou en réseau avec d'autres musées, d'un service éducatif. Un logo spécifique aux musées labellisés a été crée par le Ministère de la Culture et de la Communication.

Related: