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Le syndrome entéropsychologique (Gut and Psychology Syndrome)

Le syndrome entéropsychologique (Gut and Psychology Syndrome)
Ce syndrome se trouve à la croisée des fonctions digestives et cérébrales. Cette appellation a été créée en 2004 par le Dr Natasha Campbell-McBride, Neurologue et Nutritionniste, après avoir travaillé avec des centaines d'enfants et d'adultes atteints de pathologies neurologiques et psychiatriques telles que troubles du spectre autistique, déficit d'attention avec ou sans hyperactivité, schizophrénie, dyslexie, dyspraxie, dépression, troubles obsessionnels compulsifs, trouble bipolaire et autres problèmes d'ordre neuropsychologique et psychiatrique. La lecture de l'ouvrage Le syndrome entéropsychologique permettra de mieux comprendre ce syndrome, son étiologie ainsi que ses modalités de traitement par un protocole nutritionnel adapté. Une vue d'ensemble du syndrome. D'un point de vue clinique, ces pathologies se superposent bien souvent, et tel enfant atteint d'un trouble envahissant du développement pourra être également hyperactif et dyspraxique. Mais ce n'est pas tout.

Approche biologique de l'autisme Le matériel présenté ci-dessous est issus soit de différentes conférences du DAN (Defeat Autism Now), soit de différents ouvrages (cf. bibliographie) en anglais, traduits en langue française, ou de sites internet québécois, en langue française. Le but de cette présentation est uniquement de faire connaître une approche à ce jour négligée en France. Seul certains aspects biologiques de l’autisme y sont abordés, sans que cette limitation constitue en soi une négligence des aspects éducatifs et cognitifs, des facteurs émotionnels ou autres facteurs. Les références bibliographiques, adresses des sites Web ou de newsgroups, adresses email des chercheurs mentionnés sont inclues. La plupart des sources ci-dessous sont américaines. L’ARI (Autism Research Institute) est un réseau mondial de parents et de professionnels concernés par l'autisme. La banque de données de l’ARI est la plus large dans le monde, comprenant 25 000 cas détaillés d’enfants autistes dans 60 pays. Bernard Rimland : Sylvie »

Les secrets de notre cerveau Ayant fait l’expérience d’une forme rare d’accident vasculaire cérébral et d’une lourde opération chirurgicale du cerveau, le Dr. Taylor a observé et stimulé la « reconstruction » son propre cerveau de l’intérieur. Aujourd’hui, elle témoigne et fascine : elle s’est désormais « engagée à informer le public sur la beauté et la résilience de l’esprit humain, sur la réadaptation neurologique, et la valeur essentielle du don d’organe (notamment du cerveau) pour la recherche » . La 4ème de couverture de « Voyage au-delà de mon cerveau » annonce la couleur : nous sommes face à une expérience unique ! Le jour où Jill Bolte Taylor, chercheuse en neurosciences à Harvard, est victime à trente-sept ans d’un accident vasculaire cérébral, sa vie bascule : elle assiste à la dégradation de ses facultés au point qu’en l’espace de quelques heures elle ne peut plus marcher, parler, lire, écrire, ni même se rappeler à quoi sa vie ressemblait jusque-là. Éléments biographiques: Vidéo de la conférence : A lire

Association Ariane - Autisme - Premiers pas Votre enfant présente un trouble envahissant du développement, est perturbé par son hyperactivité, un déficit d'attention, une aphasie, une dyslexie, etc., autant de termes qui, à la lumière des approches biomédicales, se traduisent par des expressions telles que perméabilité intestinale, intoxication, stress oxydant, inflammation, déséquilibre immunitaire, etc. Vous vous apprêtez à entreprendre ce que les Anglo-Saxons ont coutume de qualifier de "voyage". Un voyage au long cours, car ce que vous allez mettre en place sera bien entendu un traitement d'attaque à court terme, mais également des changements durables afin de soutenir à plus long terme la santé et le développement de votre enfant. L'approche biomédicale est individualisée : au lieu d'appliquer des traitements prédéfinis en fonction de l'étiquette que constitue le diagnostic, elle s'emploiera à corriger les déséquilibres mis en évidence par un bilan biologique, et à éliminer les facteurs perturbant le terrain du patient.

Neuroscience cognitives Il fut un temps – pas si lointain- où il était impossible de concevoir que la psychanalyse et les neurosciences soient complémentaires et puissent être utilisées conjointement[2] : aujourd’hui des recherches pluri- et inter- disciplinaires esquissent ce qui pourrait constituer une nouvelle approche – plus globale, plus complexe – de l’être humain, de ses pathologies mentales, des substrats biologiques et des dysfonctionnements anatomiques Récemment dans un ouvrage collectif intitulé » Vers une neuropsychanalyse » , une vingtaine de pédopsychiatres, psychiatres, psychanalystes, médecins, et quelques neurobiologistes, livrent leurs réflexions sur les possibles interfaces entre les neurosciences et la psychanalyse. Controverses, débats mais aussi rapprochements jalonnent le champ (de bataille…) de la » neuropsychanalyse »[3]…. Face à face … ou côte-à-côte? Le point de rencontre qui semble être le plus fréquent(é) se situe autour de la notion de plasticité cérébrale[6] Convergences en France

Sortons l’autisme de la pathologie! | Irma Zoulane Comme on ne peut pas sortir la pathologie de l’autisme – les réels problèmes de santé et les difficultés qui l’accompagnent sont une cruelle réalité – je propose du moins que nous sortions l’autisme du domaine de la pathologie. Je sais, c’est pas demain la veille. Le modèle médical nous sert de guide pour l’attribution des appartenances neurologiques. Or, par définition, le modèle médical se base sur les dysfonctionnements pour poser les diagnostics. Jusqu’au jour où l’état autiste d’un individu pourra être déterminé par d’autres moyens – et j’ai bien hâte – nous devrons nous contenter du modèle de la pathologie pour nous reconnaître. Mais cette nécessité se limite à la définition des besoins et des modes de thérapie et de soutien. À partir du moment où on abandonne les termes liés à la pathologie dans la description des personnes autistes, on fait avancer la locomotive de l’égalité des chances, du respect et de la valorisation. Pas à pas, mot à mot. Ça vous fait rire? Réfléchissons.

Les psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres Les psychopathes ne seraient pas neurologiquement aptes à se préoccuper des autres, concluent les auteurs d'une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) Psychiatry.. Le manque d'empathie est caractéristique des personnes psychopathes, explique Jean Decety, professeur de psychologie et de psychiatrie à l'Université de Chicago. La psychopathie affecte environ 1 % de la population générale aux États-Unis et 20 à 30 % de la population carcérale. Par rapport aux criminels non psychopathes, les psychopathes sont responsables d'un nombre disproportionné de crimes répétitifs et de violence dans la société, indique-t-il. Decety et ses collègues ont mené cette étude avec 80 prisonniers âgés entre 18 et 50 ans. La réponse élevée dans l'insula est une découverte inattendue car cette région est impliquée de manière très importante dans la réponse somatique à l'émotion. L'étude a été financée par le National Institute of Mental Health américain. Voyez également:

Chélation des métaux lourds dans le cadre de l’autisme régressif « Unissons-nous pour comprendre Cet article est réellement écrit le 2 février 2008 Pour plus de précisions sur le mercure, merci de lire mon article sur le mercure. Et bien sûr de se renseigner sur internet et de consulter des livres qualifiés. Il existe des spécialistes de la chélation du mercure comme les Drs D Klinghrdt ou Patricia Kayne. Plusieurs courants de pensées évoquent aujourd’hui le rôle du mercure dans l’autisme et également dans beaucoup de maladies émergentes. Eléonore a reçu une chélation au DMPS. Cette opération n’est pas une mince affaire. Il est à noter qu’Eléonore a sans doute toujours du mercure dans l’organisme. Dans son livre très détaillé sur les maladies de civilisations, Jean Seignalet a proposé un régime efficace mais aucune chélation du mercure. Je cherche des témoignages de parents qui auraient procédé à des chélations sur leur enfant autiste.

Soigner par la méditation. Thérapies de pleine conscience Il est difficile d’échapper à la méditation de pleine conscience, ou mindfulness, une pratique qui se veut dérivée du bouddhisme et qui se dissémine dans le champ des psychothérapies, plus précisément de la « troisième vague » des thérapies comportementales et cognitives. Mindfulness based stress réduction (MBSR), Mindfulness based cognitive therapy (MBCT), thérapie comportementale dialectique, thérapie par l’acceptation et l’engagement… Focaliser son attention sur l’instant présent en « glissant » sur ses ruminations, ses sensations, ses émotions, sans se juger soi-même, se veut un enrichissement des thérapies cognitives traditionnelles, dont un volet est déjà axé sur l’auto-observation. Difficile, pour le néophyte, de se faire une opinion : simple variante de la relaxation, résurgence branchée du New Age, ou bien outil thérapeutique puissant et réellement novateur ? Pour les patients souffrant de troubles affectifs et anxieux, sept recherches sont citées ici.

L'Autisme Est Il Incurable ? Quoi qu'il en soit, tous ces traitements pharmaceutiques ne font qu'essayer decamoufler un symptôme sans jamais vraiment enrayer l'agent causal. Traitements alternatifs fréquemment proposés Vitamine B6 et magnésium pour aider à la fabriquer de plusieursneurotransmetteurs.(3) Selon une étude réalisée par l' Autism Society of America (ASA), 46% des enfant ayant consommé une quantité indéterminée de B6 et demagnésium ont eu une amélioration au niveau des interactions sociales contre49% qui n'ont noté aucun effet particulier (13). Diméthylglycine (DMG ) est un métabolite non-toxique qui aurait pour effetd'augmenter l'efficacité du système immunitaire de 300 à 1000% chez des lapinsde laboratoire.. Diète sans gluten et sans produits laitiers . Thérapie anti-fongique (candidose et autre) . Quoi faire ? Par l'observation des comportements de l'enfant, les parents doivent noter touteanomalie et consulter un thérapeute qualifié le plus tôt possible. 2. Test des allergies alimentaires

L'utilisation de la pleine conscience (mindfulness) dans un cadre thérapeutique (Muzellec, 2008 Jon Kabat-Zinn [1] précurseur de l’utilisation de la pleine conscience dans un cadre médical la définit ainsi « Mindfulness signifie pleine conscience, c’est-àdire le fait de porter son attention sur le moment présent, avec intention, et sans jugement de valeur sur ce qui vient » ou bien encore « d’amener toute sa vigilance sur l’expérience de l’instant présent, moment après moment ». Pour parvenir à cet état, il s’agit principalement d’utiliser des techniques ancestrales de méditation, inspirées surtout des pratiques bouddhistes et développées, pour soulager la souffrance humaine. Différentes méthodes de méditation comme entre autres – la concentration sur un seul objet, la visualisation, l’engendrement de la compassion – mènent chacune à différents états méditatifs. En 1985, Benson (cité par Rosenfeld, 2007) observe que l’organisme est soit stressé, soit détendu, mais qu’il ne peut être les deux en même temps. Asseyez vous confortablement Fermez les yeux Un environnement calme

Autisme : des facteurs sous estimés, des évidences trompeuses, des causes difficilement avouables L’autisme est une maladie grave, avec de tragiques perspectives, qui mérite de sérieuses recherches. Le nombre de malades et mille fois supérieur à celui de l’épidémie de polio qui a sévi au cours des années 50, mais elle reçoit cent fois moins d’attention et de capitaux. Il faut espérer que l’accroissement spectaculaire des cas va modifier le laxisme des pouvoirs publics sur ce sujet. Toutefois, il est temps de faire la distinction entre l’autisme classique, qui peut être génétique comme on se plaît à nous le répéter, et l’autisme régressif, qui sévit depuis le milieu des années 80 et qui ne peut être génétique. L’enfant qui se développait normalement commence à régresser à partir de 18 mois. Antérieurement à 1943, les cas étaient trop rares pour réaliser que cette maladie existait mais, aux Etats-Unis, les consultations pour des cas d’autisme sont devenues de plus en plus courantes et, entre 1992 et 2002, l’autisme a été multiplié par plus de 12 dans ce pays. Les vaccins Le mercure

Méditer en pleine conscience Attention : la pratique de la méditation de pleine conscience peut à elle seule changer beaucoup de choses dans votre vie. En tout cas, ça a complètement transformé la mienne ;) Dans cet article, je vais vous expliquer : Qu’est-ce que la méditation de pleine conscience?Quels bienfaits peut-elle vous apporter? En tout cas croyez-moi, la pleine conscience (aussi appelée mindfulness) peut vraiment améliorer votre vie. Vous allez voir : c’est pour tout le monde, c’est simple à comprendre et ça se pratique partout ! (Note : cet article est ma participation au festival à la Croisée des blogs, une initiative du site Développement Personnel.org. Quels sont les bienfaits de la pleine conscience ? Voici quelques exemples de ce que peut vous apporter une pratique régulière de la méditation de pleine conscience : La pleine conscience vous aidera notamment si vous avez l’impression d’avoir trop de pensées et que ça chauffe un peu trop dans votre petite tête :) Je parle d’être vraiment présent.

Big Pharma (médicamenteurs) - Nouvelle Terre-Happy Menace sur nos neurones - scandale & révélations Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques, autisme(s), troubles envahissants du dévelloppement et autres maladies neuro-dégénératives... Ce sont des maladies qui surgissent quand les neurones sont endommagés. Les maladies neurodégénératives se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues aujourd’hui, malgré elles, des « mamans toxiques ». Ensuite, tout au long de notre vie, d’incessantes agressions chimiques et physiques font des ravages parmi nos neurones. Un cocktail neurotoxique explosif qui met en cause une kyrielle d’industries : aluminium dans l’eau, mercure dans nos bouches, PCB et pesticides dans nos aliments, solvants et particules ultrafines dans l’air, etc.Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée." Tout le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique...

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