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Adolescents en France : le grand malaise

Risque suicidaire et préférences musicales : y a-t-il un lien ? | Érudit | Santé mentale au Québec La bonne musique ne se trompe pas, et va droit au fond de l’âme chercher le chagrin qui nous dévore Stendhal (extrait des lettres sur Haydn, de Mozart et de Métastase) Introduction La musique occupe une fonction importante dans la vie des adolescents (quête d’identité, ambivalence dépendance-indépendance, résistance à l’autorité, relations avec les pairs, régulation des émotions) (Baker et Bor, 2008). Écouter de la musique serait le loisir préféré de beaucoup d’entre eux (Fitzgerald et Joseph, 1995 ; North et Hargreaves, 1999) et, bien qu’ils soient souvent accusés de montrer le mauvais exemple, les chanteurs représentent pour eux des modèles importants. Selon les données les plus récentes du Centers for Disease Control et Prevention (2005), le suicide se range au 3ème rang des causes de décès après les accidents de la route et les homicides dans la tranche d’âge des 10-24 ans (sans exclure que ces deux dernières causes puissent être confondues avec un suicide). État des lieux

Le suicide chez les jeunes - Association canadienne pour la santé mentale Association canadienne pour la santé mentale Le suicide est la deuxième plus fréquente cause de décès chez les jeunes, la première étant les accidents de véhicules automobiles. Malgré cela, les gens hésitent souvent d’en parler, soit à cause du stigmate rattaché au suicide ou parce qu’ils éprouvent des sentiments de culpabilité ou de honte. Bien souvent, le sujet rend les gens mal à l’aise. Malheureusement, cette coutume de garder le silence perpétue des mythes et attitudes malsaines. Le plus important premier pas en vue d’aider les jeunes susceptibles de se suicider, est la communication. Quelques mythes relatifs au suicide Mythe: Les jeunes pensent rarement à se suicider. Réalité: Les adolescents et le suicide sont beaucoup plus étroitement liés que les adultes puissent le penser. Mythe: Parler du suicide pourrait donner l’idée, ou la permission, à une jeune personne de considérer le suicide comme une solution à ses problèmes. Mythe: Le suicide est subit et imprévisible. Mythe: Les personnes suicidaires sont résolues à mourir.

Le suicide chez les jeunes - Association canadienne pour la santé mentaleAssociation canadienne pour la santé mentale Le suicide est la deuxième plus fréquente cause de décès chez les jeunes, la première étant les accidents de véhicules automobiles. Malgré cela, les gens hésitent souvent d’en parler, soit à cause du stigmate rattaché au suicide ou parce qu’ils éprouvent des sentiments de culpabilité ou de honte. Bien souvent, le sujet rend les gens mal à l’aise. Malheureusement, cette coutume de garder le silence perpétue des mythes et attitudes malsaines. Elle peut également empêcher les gens de parler ouvertement de la souffrance qu’ils éprouvent ou d’obtenir l’aide dont ils ont besoin. Le plus important premier pas en vue d’aider les jeunes susceptibles de se suicider, est la communication. Quelques mythes relatifs au suicide Mythe: Les jeunes pensent rarement à se suicider. Réalité: Les adolescents et le suicide sont beaucoup plus étroitement liés que les adultes puissent le penser. Mythe: Le suicide est subit et imprévisible. Mythe: Les personnes suicidaires sont résolues à mourir. Parler du suicide

Les Comportements suicidaires de l'adolescent - Henri Chabrol Les réseaux sociaux favoriseraient le suicide La réussite véhiculée par les réseaux sociaux favorise le mal-être de certains adolescents qui n'arrivent pas à supporter la pression et les objectifs académiques et athlétiques. Les réseaux sociaux peuvent augmenter le risque de suicide, en particulier chez les adolescents, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale American Sociological Review. Ils mettraient en valeur la réussite des uns pour augmenter la pression et le stress de ceux qui n'arrivent pas à atteindre des objectifs. Les chercheurs l'Université de Chicago et de Memphis aux Etats-Unis ont réalisé une étude pendant 15 ans avec une communauté de banlieue de classe moyenne supérieure dans laquelle 19 étudiants ou jeunes diplômés de l'école secondaire se sont suicidés. La pression est trop éprouvante pour les adolescentes Les chercheurs ont constaté qu'il existait une intense pression de réussite chez les jeunes, couplée avec des idéaux étroitement définis de ce qu'ils devraient être. A lire aussi:

Les réseaux sociaux chez les 8 - 17 ans, quels risques ? La moitié des jeunes entre 8 et 17 ans sont connectés à un réseau social, le premier étant de loin Facebook, suivi par les Skyblog et Myspace. C'est ce que montre une enquête de juin 2011 réalisée par la Commission Nationale Informatique et Liberté (CNIL), l'Union Nationale des Associations Familiales (UNAF), Action innocence (Préserver la dignité et l'intégrité des enfants sur Internet) et la TNS Sofres. Même quand c'est interdit, ils y vont... Près de 20 % des moins de 13 ans sont connectés à Facebook... alors que c'est interdit. Et 97 % des parents sont au courant de la situation. Et à partir du lycée, près de 90 % des jeunes sont sur les réseaux sociaux. Les réseaux sociaux, est-ce pour les gosses de riches ? Pas du tout : 49 % des jeunes issus de milieu populaire sont sur les réseaux sociaux, alors qu'ils sont 44 % parmi les jeunes des populations aisées. Les réseaux sociaux, une agressivité présente ! Trop de faux amis sur les réseaux sociaux ? Que faire pour les parents ?

Réseaux sociaux : de nouveaux dangers pour nos enfants ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Olivier Dumons L'intégralité du débat avec Jacques Henno, auteur du livre Les 90 Questions que tous les parents se posent. Ganon : Pourquoi considérez-vous que ces réseaux puissent être un danger ? Bonjour. Ces réseaux peuvent être des dangers pour les enfants à deux titres : ils peuvent être abordés par des prédateurs sexuels, et ils peuvent être victimes de harcèlement (injures, photos obscènes...) de la part d'autres mineurs. lebaro : Pourriez-vous lister les dangers que représentent les réseaux sociaux pour les enfants ? Premier danger : être victime d'un prédateur sexuel.Deuxième danger : le harcèlement de la part d'autres enfants. Le premier danger est réel, mais ne doit pas être exagéré. Le harcèlement : les réseaux sociaux permettent d'échanger des messages. Le vol d'identité : ce phénomène comporte plusieurs degrés. Comment se protéger ? Oui, pourquoi pas ? niort2009 : Comment surveiller ce que font nos enfants sur ces réseaux ?

Increases in Depressive Symptoms, Suicide-Related Outcomes, and Suicide Rates Among U.S. Adolescents After 2010 and Links to Increased New Media Screen Time - Jean M. Twenge, Thomas E. Joiner, Megan L. Rogers, Gabrielle N. Martin, 2018 Depression and suicide are significant public health concerns, with over 40,000 Americans dying by suicide each year (Centers for Disease Control [CDC], 2017). Beyond the lives lost to suicide, death by suicide has significant emotional and economic costs, resulting in approximately $44.6 billion a year in combined medical and work loss costs in the United States alone (CDC, 2017). As such, suicide—and factors that may increase risk for suicide, including depression—is a serious public health concern that warrants extensive empirical investigation. In recent years, clinicians heading university counseling centers have reported markedly increased caseloads, with many more students seeking help for mental health issues in the years after 2010 compared to a few years prior (Beiter et al., 2015; New, 2017; Novotney, 2014). Furthermore, if mental health issues have increased among adolescents, the reasons are unclear (Collishaw, 2014; Glowinski & D’Amelio, 2016). Method Samples Assessments

Mental health and social networks in early adolescence: A dynamic study of objectively-measured social interaction behaviors Outline HighlightsAbstractKeywords1. Introduction2. Review: relevance of social networks for distressed mental health3. Figures (1) Tables (4) Table 1Table 2Table 3Table 4 Highlights Social interaction is associated with mental health status in early adolescence. Girls high in self-esteem tend towards greater network social integration. Girls with depressive symptoms are more socially inhibited than boys with symptoms. Social influence does not shape self-esteem or depression at this age. Electronic methods for network data-collection are useful in a school setting. Abstract How are social interaction dynamics associated with mental health during early stages of adolescence? Keywords Social networks Self-esteem Depression Early adolescence Stochastic actor-based modeling View full text

6 clés pour comprendre comment vivent les ados sur les réseaux sociaux Après dix années de travail auprès de jeunes Américains, danah boyd, blogueuse sans majuscule, chercheuse chez Microsoft Research et professeure associée à l’université de New-York, publie un livre pour éclairer l’usage que les ados ont des réseaux sociaux. It’s complicated : the social lives of networked teens veut expliquer aux parents ce que font concrètement leurs enfants sur Internet, s’attachant à démonter plusieurs fantasmes et à nuancer les risques les plus couramment évoqués par les parents (cyber-addiction, perte d’identité, disparition de leur vie privée, harcèlement, mauvaises rencontres…). It’s complicated, du nom du statut Facebook, illustre toutes les facettes de cette vie en ligne qu’ont les adolescents aux yeux rivés sur leur smartphone. Nous avons rencontré danah boyd à Austin, au festival South by Southwest. Elle a donné plusieurs pistes pour comprendre comment les ados vivent sur les réseaux sociaux. Les copains d’abord Cette utilisation trouble parfois les parents.

Dépression et anxiété : les réseaux sociaux impactent le moral des jeunes Une étude britannique a récemment interrogé les 14-24 ans sur leur rapports aux réseaux sociaux. Parmi les cinq réseaux les plus utilisés, quatre auraient un impact néfaste sur la santé mentale. Instagram, Twitter, Facebook, Snapchat et YouTube: ces plateformes, à elles cinq, attirent l’attention de 91% des 16-24 ans. Entre narcissisme et harcèlement, créativité et expression de soi, les réseaux sociaux sont à l’origine d’une révolution sociale, surtout chez les «millennials» (nés entre 95 et le début des années 2000). S’appuyant sur différentes études, la Royal Society pour la santé publique a décidé de 12 facteurs pour évaluer les avantages et désavantages des réseaux sociaux chez 1 500 jeunes âgés de 14 à 24 ans. »Lire aussi-Inquiétant: un jeune sur deux a déjà ressenti des troubles mentaux YouTube est le seul à sortir du lot La conclusion de #StatusOfMind est sans appel: les réseaux sociaux sont, en grande partie, mauvais pour le moral de ses jeunes utilisateurs. ● le cyber-harcèlement

Les réseaux sociaux sont-ils en train de pousser les ados au suicide? Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Clinical Psychological Science Après des décennies de baisse constante, les suicides et les symptômes dépressifs chez les jeunes âgés de 13 à 18 ans sont repartis à la hausse aux États-Unis depuis 2010. Et pas qu'un peu. Tels sont les résultats d'une grande étude menée par une équipe de psychologues affiliés aux universités de San Diego et de Floride, sur la base de deux enquêtes rassemblant 506.820 individus. Comment expliquer ce phénomène? En outre, la hausse spectaculaire du taux de suicide et des symptômes dépressifs chez les adolescents coïncide avec le boom des appareils connectés et de la fréquentation des réseaux sociaux. Manque d'appartenance et pesanteur Une consommation qui semble particulièrement délétère à la santé mentale des adolescentes, qui voient sur la période une hausse significative des symptômes et des passages à l'acte suicidaires.

Ecoutons ce que les enfants ont à nous dire. Adolescents en France le grand malaise. Consultation nationale, 6-18 ans, 2014, UNESCO
by diffusion.ireps.pch.86 Oct 15

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