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"Critique de l'économie politique"

Jean-Marie Harribey Taxer le soleil, le travail ou taxer la bêtise ? de Jean-Marie Harribey, le 17 mars 2014 Mon attention a été attirée par un article du Monde de l’Éco&Entreprise daté du 15 mars 2014, intitulé « Quand l’État taxait le soleil » et signé par Jean-Marc Daniel. Il raconte les débuts de l’invention de la fiscalité sur le patrimoine au moment de la Révolution : dans les villes, la richesse se mesurait au nombre des portes et fenêtres des habitations et des demeures de luxe. Lire l’article » Comment bifurquer : financer la transition écologique de Jean-Marie Harribey, le 12 mars 2014 La transition est devenue aujourd’hui l’idée reprise par beaucoup de monde depuis les écologistes jusqu’aux sphères du pouvoir. Lire l’article » C’est le moment de bifurquer de Jean-Marie Harribey, le 23 février 2014 Gérard Duménil et Dominique Lévy viennent de publier La grande bifurcation, En finir avec le néolibéralisme (Paris, La Découverte, L’Horizon des possibles, 2014). Lire l’article » Lire l’article » Vive la RTT !

Jean-Marie Harribey Début de désintox de la désintox de Jean-Marie Harribey, le 6 mai 2017 Le débat pitoyable entre les deux tours de l’élection présidentielle aura eu un mérite : celui de montrer que l’essentiel ne se joue pas sur l’économie. Les raisons de s’opposer à tout prix à l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite portent avant tout sur les principes (les valeurs comme on dit aujourd’hui) sur lesquels se fonde une société vivable. Lire l’article » Audrey Vernon souhaite un bon anniversaire à Karl Marx de Jean-Marie Harribey, le 5 mai 2017 Ce matin, sur France Inter, Audrey Vernon a fait oeuvre pédagogique. Paris, le 5 mai 2017 Lire l’article » Haro sur les dépenses publiques de Jean-Marie Harribey, le 26 avril 2017 Le candidat auto-proclamé quasiment vainqueur de la présidentielle dès le soir du premier tour nous a servi ce soir-là un discours aussi creux qu’interminable. Lire l’article » Quelle unification syndicale ? de Jean-Marie Harribey, le 11 avril 2017 Lire l’article » De la méthodologie d’un sondage

Le blog de Jean-Marie Harribey | The international Attac network L'année 2010 s'achève. Elle fut pour moi très marquante. D'abord, depuis douze mois, je suis à la retraite, et ce n'est pas rien quant on passé sa vie à ramer à contre-courant de l'économie dominante. Bonne année 2011.Jean-Marie Harribey, 31 décembre 2010 Si sérieux, s’abstenir Capitalisme, Libéralisme : quelles différences entre ces deux notions ? Interview de Jean-Marie Harribey, Professeur d’économie à l’université de Bordeaux sur AligreFM (émission Des sous et des hommes) le 15 novembre 2002 Mis en ligne sur le site Altermonde-sans-frontière par Pascale Fourier le 2 octobre 2003 Pascale Fourier : Quelle est la différence entre libéralisme et capitalisme ? Jean-Marie Harribey : Ces deux termes au cours des dernières années ont souvent été pris l’un pour l’autre et cette assimilation, pour ne pas dire cette confusion, est le fait à la fois des tenants du système comme de ses adversaires, ce qui rend cette confusion d’autant plus surprenante. Le libéralisme est d’abord une philosophie politique née, pour aller vite, à la suite du siècle des Lumières, une philosophie politique qui assure la primauté de l’individu et déclare tous les individus libres et égaux. Pascale Fourier : Le libéralisme mène-t-il forcément à la mondialisation ? Pascale Fourier : Cela suppose donc une extension aussi dans l’espace ?

Reading Marx’s Capital with David Harvey Dessine-moi une économie - Blog LeMonde.fr Les différences entre capitalisme et libéralisme Extraits : Pascale Fourier : Quelle est la différence entre libéralisme et capitalisme ? Jean-Marie Harribey : Ces deux termes au cours des dernières années ont souvent été pris l’un pour l’autre et cette assimilation, pour ne pas dire cette confusion, est le fait à la fois des tenants du système comme de ses adversaires, ce qui rend cette confusion d’autant plus surprenante. Le libéralisme est d’abord une philosophie politique née, pour aller vite, à la suite du siècle des Lumières, une philosophie politique qui assure la primauté de l’individu et déclare tous les individus libres et égaux. Le capitalisme n’est pas une philosophie politique et n’est pas non plus une doctrine économique : c’est un système, c’est-à-dire une organisation de la société qui trouve sa légitimation dans le libéralisme à la fois dans sa version philosophie politique et dans la doctrine économique.

Reading Marx’s Capital with David Harvey » Reading Capital Courses: Reading Marx’s Capital Volume 1 with David Harvey – 2019 Edition A close reading of the text of Karl Marx’s Capital Volume I in 12 video lectures by Professor David Harvey. Recorded at The People’s Forum in New York City in 2019. Links to the complete course: YouTube Playlist Podcast available on Spotify, iTunes, PodBean, and RSS. Course Materials: Reading Marx’s Capital Volume I with David Harvey – 2007 Edition A close reading of the text of Karl Marx’s Capital Volume I in 13 video lectures by Professor David Harvey. YouTube Playlist Subscribe to a course as a video or audio podcast: Help make this Capital v1 course accessible in other languages: join our translation project These lectures were the inspiration for the book: A Companion to Marx’s Capital published by Verso in 2010. Reading Marx’s Capital Volume 2 with David Harvey A close reading of the text of Karl Marx’s Capital Volume 2 (plus parts of Volume 3) in 12 video lectures by Professor David Harvey (2012). YouTube Playlist

BUG BROTHER | Qui surveillera les surveillants ? Qui sont les bobos ? Ils se promènent en couple le long du canal Saint-Martin avec une poussette à trois roues, en parlant de leur dernier voyage en Croatie. Chez eux, un loft sur cour dans une ancienne manufacture, les meubles patinés chinés en brocante côtoient les fauteuils design. Les enfants ont des jouets éducatifs en bois et des doudous équitables. Ils vont au marché bio. Les bobos, on en connaît non ? Vous en êtes peut-être un. Un sorte de bourgeois high-tech L’apparition du bobo date de 2000, dans un livre du journaliste américain David Brooks. « C’est un bouquin très léger, sans prétention scientifique ni système de preuve ou d’enquête », estime le sociologue Bernard Lahire, qui voit dans le terme « bobo » un jeu de mots originel sur le terme de « hobo » (SDF américain). « On y trouve tout et son contraire : David Brooks parle de disparition des classes sociales tout en décrivant l’émergence d’une nouvelle classe. Boboïsation et gentrification Se distinguer du beauf et du bourgeois mainstream

Les Bobos - David Brooks - MONTRÉAL - VOIR.CA : À nouvelle économie, nouvelle idéologie. C’est un peu ce qui pourrait résumer l’entreprise de David Brooks, cet écrivain new-yorkais, ancien journaliste au Wall Street Journal. Dans Bobos in Paradise, paru l’an dernier et aujourd’hui traduit en français, Brooks fait le portrait d’une nouvelle classe sociale, née d’un mélange de "bourgeoisie" et de "bohème", d’où le surnom, assez laid d’ailleurs, de Bobos. À nouvelle économie, nouvelle idéologie. C’est un peu ce qui pourrait résumer l’entreprise de David Brooks, cet écrivain new-yorkais, ancien journaliste au Wall Street Journal. D’où viennent les Bobos? Ce culte de l’individu et du souci de soi, mêlé au plaisir de l’argent (et de tout ce qu’il représente), c’est exactement l’effet bobo: on achète beaucoup, mais toujours bio et sans danger pour les animaux. Le point fort du livre de Brooks, c’est son talent pour croquer différents portraits de cette idéologie bobo.

Un plouc chez les bobos Zoom sur le Revenu d'existence | L'actualité du site Jeudi, 24 Mars 2011 15:04 Nous avons rencontré Yoland Bresson, économiste, professeur émérite à l'Université Paris 12 et président de l'Association pour l'Intauration d'un Revenu d'Existence, dont il prône une mise en place progressive. Yoland Bresson est un pragmatique. Pour qu'une idée révolutionnaire ait toutes les chances de s'installer durablement dans les esprits, il faut aussi qu'elle soit, dès le départ, bien ficelée. Il ne s'agit pas de faire de la redistribution, mais de modifier en profondeur l'organisation de cette distribution. L'amorce est modeste : dans un premier temps ce revenu, distribué à tous de la naissance à la mort et dont le montant n'excèderait pas 400 €, n'aura pas vocation à se substituer à l'existant mais à lui apporter un "plus". A vous de juger : <div style="background-color:red;color:white;width:160px"><strong>JavaScript est désactivé! L'avis de Yoland Bresson sur le "revenu citoyen" de Dominique de Villepin : Pour en savoir plus, voir :

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