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Moderne Saint Phalle, la preuve par cinq

Moderne Saint Phalle, la preuve par cinq
L'immense artiste des Nanas monumentales avait tout compris à son époque «J’ai eu la chance de rencontrer l’art parce que j’avais, sur le plan psychologique, tout ce qu’il faut pour devenir une terroriste. Au lieu de cela j’ai utilisé le fusil pour une bonne cause, celle de l’art»: voilà comment se définissait Niki de Saint Phalle, née Catherine Marie-Agnès fille d’une bonne famille bourgeoise de Neuilly. L’inceste paternel, une profonde dépression et des électrochocs la murent dans un profond mal-être que seule la découverte de l’art décadenasse. Dès lors, elle ne cesse de créer pour se purger. Les tirs à la carabine, les Nanas monumentales, sa correspondance illustrée ou encore son Jardin des Tarots, son chef d’œuvre orchestré avec l’aide de son amoureux Jean Tinguely, sont autant de pièces du puzzle Saint Phalle. 1.La mode, la mode, la mode À vingt ans à peine, mariée au poète Harry Mathews, elle gagne sa vie entre Paris et New York comme mannequin. 2.Pop Niki 3.Féministe enragée

Niki de Saint Phalle, l'autodidacte engagée - Archives vidéo et radio Ina.fr Performance // MEAT: A Theatrical Microcosm of Berlin Article and images by Linus Ignatius in Berlin; Friday, Apr. 11, 2014 I am standing on the corner of Kurfürstendamm and Albrecht-Achilles-Straße, kicking the ground. I have just left MEAT, a conceptual theater piece installed in the Schaubühne studios, directed by Swedish artist Thomas Bo Nilsson. Inside the installation – which runs twenty-four hours a day, for ten days straight – a microcosm of Berlin continues to throng, complete with its own economy and social infrastructure. You receive a four-hour wristband and enter the installation. Behind the curtain sixty performers populate an ant farm of disparate, stylized spaces. Throughout my stay I become increasingly enmeshed in the meandering plot of the show: falling in with a band of drag queens and picking sides in their gossip wars; investigating the disappearance of a beloved member of the community; and, of course, chasing around my Italian rentboy. The door opens and he emerges, looking the same but somehow different.

untitled Honestly WTF Journal in Progress movie Journal, In Progress is the accumulation of a Polaroid self-portrait made everyday from January 1994 through January 2009. Together the unassuming and approachable images present a narrative time line measuring growth, change and regression. Individually, they address issues of the body and identity in a direct and non-glamorous way. The 4” x 4” Polaroids are arranged chronologically in vertical strips of 17 equaling the subject’s height of 5’6”. Together the images depict universal experience; their raw, personal and sometimes frivolous nature demythologizes the self with humor and vulnerability. Journal has been shown in its entirety and in segments. In 2010, the entire project was made into a movie, 15 years in 15 minutes.

Pour ou contre la deuxième Fête du graphisme ? Michel Bouvet, son organisateur, s'explique - Sortir Entre précarité et manque de reconnaissance, le contexte est morose chez les graphistes français. Pour autant, Michel Bouvet veut donner à sa profession la visibilité qu'elle mérite. Deuxième édition pour la Fête du graphisme, du 7 janvier au 4 mars 2015 dans tout Paris. Avec des affiches du monde entier posées sur les abribus de la capitale et exposées sur les Champs-Elysées, une sélection de revues alternatives, des ateliers, des rencontres, des projections… Cette manifestation ambitieuse, où une profession peu connue va à la rencontre du grand public, ne fait pourtant pas l'unanimité chez les graphistes. Qu’attendez-vous de cette fête ? Outre des affiches, que pourra-t-on voir ? Sur le plan économique, le métier de graphiste n’est pas à la fête… Justement. Dans la manière dont cette fête est présentée, le grand public ne risque-t-il pas de confondre graphisme et communication ? Le graphisme, c’est aussi un engagement dans la société… Bien sûr.

Il y a un Rembrandt dans mon placard Après quinze ans de silence, Patrick Vialaneix a décidé de se rendre. Le 19 mars, il a raconté son histoire à un avocat de Marmande (Lot-et-Garonne), qui n’a pas voulu le croire. Patrick lui a montré les photos, et l’avocat a dû admettre qu’il disait vrai. Les gendarmes, à leur tour, se sont montrés sceptiques. Pendant six heures, Patrick leur a conté sa vie. Jusqu’à minuit. Patrick est ensuite retourné voir son psychiatre pour lui révéler ce qu’il a toujours tu : la cause profonde de ses angoisses. Patrick nous reçoit dans sa maison, au cœur de la forêt des Landes. Nous nous installons dans le jardin. Patrick a 13 ans. « Quelque chose s’est passé avec l’enfant, dit-il. Le soir du 13 juillet, veille de fête nationale, il retourne au musée dans l’intention de s’y laisser enfermer. A la fermeture du musée, vers 19 heures, le conservateur monte passer des coups de fil dans son bureau. Le vol du musée de Draguignan fait la une de la presse régionale. Vrai Rembrandt ou pâle imitation ?

Le Top 5 des expos à ne pas manquer cette année David Bowie, Andy Warhol, Jean-Paul Gaultier… Tous feront l’objet cette année de grandes rétrospectives parisiennes à ne surtout pas louper. Dans l’ombre d’Andy Warhol A partir du 2 octobre, le Musée d’Art Moderne de Paris présentera Shadows, la plus vaste série jamais réalisée par Andy Warhol et certainement la plus abstraite. Les 102 toiles qui constituent cette oeuvre – achevée en 1978 – offrent une méditation sur ce qui l’a toujours habité, son angoisse de la mort. Les tableaux ont été conçus à partir de deux photos prises dans l’atelier de l’artiste, puis sérigraphiées en dix-sept couleurs. Cent trente mètres de longueur sont nécessaires pour exposer cette série ombreuse qui sera mise en relation avec d’autres œuvres de Warhol créées entre les années 1960 et 1980, comme les Fleurs, le portrait de Mao ou les Chaises électriques. La planète mode de Jean-Paul Gaultier Une marinière et une coupe en brosse platinée, une seule image vient à l’esprit : celle de Jean-Paul Gaultier.

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