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Art, action politique, résistance culturelle

artivisme L’artivisme est l’art d’artistes militants. Il est parfois l’art sans artiste mais avec des militants. Art engagé et engageant, il cherche à mobiliser le spectateur, à le sortir de son inertie supposée, à lui faire prendre position. C’est l’art insurrectionnel des zapatistes, l’art communautaire des muralistes, l’art résistant et rageur des féministes queers, l’art festif des collectifs décidés à réenchanter la vie, c’est l’art utopiste des hackers du Net (hacktivistes d’une guerilla teckno-politique), c’est la résistance esthétique à la publicité, à la privatisation de l’espace public… Dans cette galaxie, on trouve JR, Zevs, les Yes Men, les Guerilla Girls, Critical art ensemble, Reclaim the streets, Steven Cohen, Reverend Billy, etc. Sur près de 200 pages largement illustrées, Artivisme dresse un état des lieux des pratiques contemporaines d’art radical. Le site : www.artivisme.tv

Cycle art [espace] public 2011 Artiviste, que fais-tu ? En quoi l'art en espace public est-il politique ? En 2010, les treize rencontres que nous avons organisées, et les propositions artistiques qui les accompagnaient, nous ont permis de valider une hypothèse : le caractère politique de l'art en espace public tient souvent moins aux contenus portés dans l'espace public par les artistes qu'aux dispositifs d'espace public qu'ils inventent, et notamment à leur capacité à susciter de nouveaux "partages du sensible", bousculant l'ordre des évidences et les configurations constitutives de notre monde commun. La 5ème saison du cycle art [espace] public sera l'occasion de poursuivre et de préciser cette analyse. Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi, Artivisme. 1. Inscrivez-vous ! 2. Il n’y a pas de limite entre art et activisme mais des jonctions, des interstices. « UTOPISTE DEBOUT », « RÊVE GÉNÉRALE », « JE LUTTE DES CLASSES »... La guérilla pâtissière sévit. Revue de presse : Le Monde - Bonnes Nouvelles

humeurs musicales » Artivisme : Art de destruction massive « La créativité est par essence révolutionnaire. » En 1967, dans son Traité de savoir-vivre à l’usage des jeunes générations, le Belge Raoul Vaneigem résumait déjà parfaitement la conception ludique, hors cadre et transgressive que pouvait (et devait) revêtir la culture. Une philosophie aujourd’hui partagée et diffusée sous les traits divers de l’Artivisme. En 200 pages aussi riches en images qu’en références philosophiques et culturelles, Stéphanie Lemoine et Samira Ouardi dressent dans leur livre le portrait d’un mouvement qui ne se désigne pas comme tel mais qui semble pourtant bien présent et palpable. Les auteures contextualisent ainsi des pratiques individuelles ou collective en leur donnant une portée politique, au sens noble du terme. Nous avons décidé de leur donner carte blanche sur Sourdoreille, sous forme de trois « leçons d’artivisme ». La première aura lieu dès mardi. Tout d’abord, qu’est-ce que l’artivisme ? Et la musique dans tout ça ? - Musique et artivisme

Défense d'Afficher ! | Collectif de graphistes et autres artivistes en Midi-Pyrénées Art subversif Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'artiste subversif est censé prendre un rôle révolutionnaire notamment par le détournement de la représentativité admise consensuellement, que ce soit au niveau académique ou institutionnel. L'art subversif est souvent exposé dans des lieux publics, car ceux ci facilitent l'anonymat et l'exposition à un large public sans autorisation. L'art urbain en particulier utilise ces moyens. Exemples d'artistes ayant réalisé de l'art subversif[modifier | modifier le code] Dans le domaine de l'art urbain : Banksy, Shepard Fairey. Annexes[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Subversion Liens externes[modifier | modifier le code] Portail de l’histoire de l’art

Le retour d’un cinéma de lutte - Documentaires Cette année, les États généraux du documentaire consacraient un séminaire à l’« amateur », mis sur le devant de la scène par le développement des technologies de la communication, avec Internet à l’avant-poste. Dans différents champs d’expression, dont la vidéo, cet « amateur » (une terminologie particulièrement impropre et délicate à manier) occupe désormais une place de choix sur la scène médiatique, validée principalement par son audience. Par la singularité de sa démarche, il favorise aussi l’éclosion de nouveaux gestes, de nouvelles formes, à l’écart des voies déjà ouvertes. Ce réel offre à tous, amateurs ou non, un champ d’observation, d’analyse et d’interprétation infini, qui semble inspirer un nombre croissant de réalisateurs. De la Birmanie… Parmi les films de révolte, Burma VJ est un curieux objet réalisé par Anders Østergaard dans le sillage de la révolte des moines bouddhistes en Birmanie, fin 2007. … à la place Tahrir En passant par le Larzac À l’antipode des micro-trottoirs

NEWS - Association Mômes du Monde collectif artivist Art et politique, que l’action redevienne sœur du rêve L’art « engagé » est souvent soupçonné de trahir la cause… de l’art. Certes, il y eut des exemples destructeurs de créations soumises à des dogmes officiels, et des œuvres réduites à l’expression d’une thèse. Mais les choix esthétiques s’inscrivent toujours, même quand ce lien est nié, dans un ensemble de valeurs politiques : l’engagement se traduit réellement dans l’œuvre quand il interroge aussi les moyens artistiques. Les politiques, dans nos démocraties éclairées, ne parlent plus guère de l’art. Pendant près de deux siècles, tandis que s’affirmait la question sociale, deux conceptions du rôle de l’art se sont affrontées. Kash Leone, ouvrier chez Peugeot société anonyme (PSA) et rappeur, écrit Ça peut plus durer, qui devient un clip, très regardé, où sa colère et son ironie se conjuguent à un reportage sur la fermeture du site d’Aulnay-sous-Bois. « Une chose plus forte que la poudre à canon » Au XIXe, ces oppositions se durcissent. Certains apporteront des réponses concrètes.

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