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Storytelling with Google Maps

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Schémas narratifs [Larivaille, Stein...] Pour l'analyse des récits, l'utilisation « du » schéma narratif est une compétence requise dont la maîtrise est considérée comme primordiale. Aucune séquence n'en fait l'économie. Pourtant cette notion n'est pas sans soulever de nombreuses difficultés didactiques. La moindre n'est pas que l'on traite toujours « du » schéma narratif, et donc que l'on donne à croire que la notion est universelle, intangible... vérité « scientifique » incontestable. 1. SCHÉMA NARRATIF d'après Paul Larivaille Ce modèle du récit est bien connu et largement utilisé dans le contexte scolaire. Appelé « schéma narratif » ou « schéma quinaire », il est largement répandu dans les manuels et, donc, dans les pratiques scolaires. Or le modèle quinaire est très loin d'être le seul disponible dans la vaste littérature théorique sur l'analyse des récits. Ce schéma n'est que rarement présenté dans toute sa complexité d'utilisation. 2. Les recherches anglo-saxonnes ont conduit, à partir des travaux de Kintsch, T.

Le "schéma narratif canonique" [Greimas] Suivez-nous Greimas Le schéma narratif canonique (SNC) permet d’organiser les éléments d’une action dans une structure dotée de cinq composantes. (1) La composante de l’action se décompose elle-même en deux composantes, soit (2) la compétence, dont relèvent les conditions nécessaires à l’accomplissement de l’action : vouloir-faire, devoir-faire, savoir-faire, pouvoir-faire, et (3) la performance, réalisation effective de l’action rendue possible par l’acquisition de la compétence. (4) La manipulation est, quant à elle, la composante spécifique au vouloir-faire et au devoir-faire. Enfin, (5) la sanction est relative à l’évaluation de la réalité de la réalisation de l’action et à la rétribution appropriée (récompense ou punition) que s’est attiré le sujet de l’action. Voici un exemple d’action sous-tendue par le SNC : le Roi demande (manipulation : devoir-faire) au Prince de sauver la Princesse (action). Nous avons parlé plus tôt d’organisation logique, temporelle et sémantique. 1. 2. 3.

Three-act structure Three- act structure Plot Line Graph by Wendell Wellman The three-act structure is a model used in writing, including screenwriting, and in evaluating modern storytelling that divides a fictional narrative into three parts, often called the Setup, the Confrontation and the Resolution. Structure[edit] The second act, also referred to as "rising action", typically depicts the protagonist's attempt to resolve the problem initiated by the first turning point, only to find him- or herself in ever worsening situations. Interpretations[edit] In Writing Drama, French writer and director Yves Lavandier shows a slightly different approach.[2] He maintains that every human action, whether fictitious or real, contains three logical parts: before the action, during the action, and after the action. SJ Murray, a documentary film maker, feature film writer, and professor at Baylor University, explores why the three act structure matters in her book, Three Act What? See also[edit] References[edit]

hero's journey "A Practical Guide to Joseph Cambell’s The Hero with a Thousand Faces" by Christopher Vogler © 1985 “There are only two or three human stories, and they go on repeating themselves as fiercely as if they had never happened before.” In the long run, one of the most influential books of the 20th century may turn out to be Joseph Campbell’s THE HERO WITH A THOUSAND FACES. The book and the ideas in it are having a major impact on writing and story-telling, but above all on movie-making. Filmmakers like John Boorman, George Miller, Steven Spielberg, George Lucas, and Francis Coppola owe their successes in part to the ageless patterns that Joseph Campbell identifies in the book. The ideas Campbell presents in this and other books are an excellent set of analytical tools. With them you can almost always determine what’s wrong with a story that’s floundering; and you can find a better solution almost any story problem by examining the pattern laid out in the book. There’s nothing new in the book.

Monomyth Joseph Campbell's monomyth, or the hero's journey, is a basic pattern that its proponents argue is found in many narratives from around the world. This widely distributed pattern was described by Campbell in The Hero with a Thousand Faces (1949).[1] Campbell, an enthusiast of novelist James Joyce, borrowed the term monomyth from Joyce's Finnegans Wake.[2] Campbell held that numerous myths from disparate times and regions share fundamental structures and stages, which he summarized in The Hero with a Thousand Faces: A hero ventures forth from the world of common day into a region of supernatural wonder: fabulous forces are there encountered and a decisive victory is won: the hero comes back from this mysterious adventure with the power to bestow boons on his fellow man.[3] A chart outlining the Hero's Journey. Summary[edit] In a monomyth, the hero begins in the ordinary world, and receives a call to enter an unknown world of strange powers and events. The 17 Stages of the Monomyth[edit]

Scénario-Buzz | L'écriture entre les lignes Comment présenter son projet: le synopsis et la note d’intention Un scénariste qui s’attaque à un projet de sa seule initiative prend le risque considérable que son scénario finisse son existence sur une étagère. Convaincre un producteur d’investir sur son script est une démarche longue et frustrante, et, pour qu’elle ait une chance d’aboutir, l’auteur doit mettre toutes les chances de son côté. La première étape consiste à préparer le dossier qui accompagnera, présentera, mettra en valeur le scénario, et souvent même, le remplacera dans le processus de négociation. Après des mois de recherches, de documentation, de réflexion et de préparation, le scénariste peut enfin se lancer dans la phase d’écriture. C’est une pièce maîtresse du dossier car, dans la plupart des cas, elle remplacera le scénario. LE SYNOPSIS est un court texte (une ou deux pages pour un court-métrage, entre cinq et dix pour un long métrage) qui résume l’intrigue du film, le déroulement de l’histoire. C’est l’autre grande alliée du scénario. _dénigrer les films du même genre

Le concept de fiction Dans ce cours vidéo gratuit, vous apprendrez comment bien commencer l'écriture d'un scénario. C’est parti ! Ce premier tutoriel vidéo (totalement gratuit) est un cours sans prétention qui donne les premières clés pour commencer à écrire. Si vous êtes déjà un scénariste professionnel, vous n’y apprendrez rien de nouveau -- ni dans les deux ou trois cours suivants d’ailleurs --, mais ces premiers tutoriaux constituent la première pierre d'Ecrire avec le high concept (programme du séminaire), un cours qui vise à apprendre des techniques plus avancées qui je l’espère, vous permettront d’être plus efficace. Dans ce didacticiel vidéo, nous avons appris que : On ne doit pas concevoir un scénario original dans l’ordre chronologique de la narration. Nous avons également appris dans ce tutoriel que pour écrire un scénario, il faut d'abord travailler son concept par oral.

― Structure narrative | CinemaTICE ― Structure narrative EXERCICES en LIGNE =>> CinemaTICE-La-narration On trouve dans de nombreuses formes littéraires une structure narrative équivalente, qui suit un processus de développement de l’histoire quasi identique ; ainsi, dans la nouvelle, le roman ou le conte. Le premier à établir une véritable narratologie du conte est Vladimir Propp, dans « Morphologie du conte » en 1928. Séquence préparatoire : Absence => Interdiction => Transgression => Interrogation => Demande de renseignement => Duperie => Complicité Première séquence : Manque ou méfait => Médiation => Commencement de l’action contraire => Départ du héros => Première fonction du donateur => Réaction du héros => Transmission => Déplacement, transfert du héros => Combat du héros contre l’antagoniste => Marque => Victoire sur l’antagoniste En 1966, Algirdas Julien Greimas (cf. revue Image & Narrative) regroupe les 31 fonctions définies par Propp dans un schéma actanciel. Like this: J'aime chargement…

les bonnes fins et celles à banir 17 mai 2008 : En impro, dans les entrainements, on bosse toujours les personnages, les débuts d’impro, l’écoute etc... Mais jamais les fins d’impros. Les fins qui nient (du verbe nier) ce qui s’est produit avant sans que les autres joueurs ne soient au courant sont à éviter, du style rationaliser l’impro en la ramenant à la réalité : "Se sont des enfants qui jouent en récréation" "Se sont des fous dans un asile" Les bonnes idées de fins sont en général les fins qui combinent tous les éléments depuis le début de l’impro : L’impro cyclique : la fin ressemble au début (voyage dans le temps ou flash back)L’impro initiatique : les personnages ressortent grandis par l’aventure (plus sages, plus forts)L’impro cyclique initiatique : la fin ressemble au début mais le personnage a appris de l’impro et va donc affronter la suite d’une façon que le spectateur imagine être "meilleure" (le timide va vivre sa vie à pleine dent, le pingre va être généreux etc...)

LA SYNTAXE NARRATIVE d un recit On peut étudier la syntaxe d'un récit comme celle d'une phrase. Tout récit enchaîne les uns aux autres des actes humains, des événements et des situations. Certains de ces éléments ont une importance singulière dans la logique du récit et forment des phases essentielles de son développement. On peut distinguer ainsi les séquences cardinales des séquences secondaires, ornementales, qu'on peut supprimer sans modifier le sens du récit de base. Tomachevski (in Théorie de la Littérature) distinguait déjà deux sortes de motifs, i.e. pour lui les plus petites unités syntaxiques d'un récit, les éléments indécomposables : « Les motifs d'une oeuvre sont hétérogènes. Voici quelques grilles d'analyse, différentes et complémentaires, plus ou moins généralistes, permettant l'approche de la logique syntaxique d'un récit. Si l'on part d'un conte merveilleux comme la Belle au bois dormant, on pourrait proposer une analyse structurale, applicable à d'autres types de récit, mutatis mutandis. Parfois C.

Le schéma narratif | La nouvelle littéraire Le schéma narratif pourrait être considéré comme le squelette de l’histoire. Tu peux le considérer comme le résumé de cette dernière ou comme son plan. Il comporte donc les éléments suivants : 1. Au début de l’histoire, on apprend qui est le personnage principal, les circonstances (lieu, époque), la situation des personnages. 2. Quelque chose survient d’un seul coup et provoque une rupture de la stabilité. 3. Il s’agit de toutes les actions qui ont lieu alors : la quête de la belle princesse, la vie d’un homme ayant une cervelle en or, la vengeance d’un homme… Les personnages tentent de trouver un nouvel équilibre. 4. La situation trouve un nouvel équilibre grâce à l’intervention de certaines personnes ou parce qu’elle ne peut plus continuer. 5. L’histoire est terminée. Source J'aime : J'aime chargement…

Fiche de Synthèse - LECTURE : Schémas narratif & actantiel Pourquoi construire des schémas à partir de récits et limites de ces schémas Le schéma narratif Le schéma actantiel L'icône vous permet de retourner au sommet de la page L'icône vous permet d'aller à l'occurrence suivante au sein d'une énumération A. Schématiser, c'est réduire à un squelette pour faire apparaître une structure donc pour prendre de la hauteur par rapport à un ensemble complexe. B. les récits relativement courts ; on peut essayer de les appliquer à des récits longs (romans par exemple), mais ils sont alors souvent difficiles à mettre en œuvre car les séquences narratives (définition en 2/A) sont souvent imbriquées les unes dans les autres dans les récits complexes. C. pour dégager de grands invariants (et éventuellement montrer les écarts que font certains auteurs) pour permettre une lecture plus intelligente des récits (prise de hauteur par rapport à la "petite histoire") pour créer des repères clairs en vue de l'invention de récits (écriture) D. A. B. 1. 2. 3. 4. 5. B.

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