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La dette de l’Etat en cinq questions

La dette de l’Etat en cinq questions
Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Matthieu Jublin 4,4 % Le « dérapage » budgétaire annoncé par Michel Sapin, mercredi 10 septembre, a fait mauvais effet. Au lieu des 3,8 % annoncés, le déficit public français atteindra 4,4 % en 2014, la faute à un « ralentissement de l'inflation que personne n'avait anticipé », selon le ministre des finances. Lire aussi : Bruxelles s'agace des déficits français, Moscovici assure qu'il n'y aura « pas d'exception » 93,6 % Malgré cet écart dans les prévisions, les déficits parviennent à être stabilisés, voire réduits sur les dernières années. Etre endetté, pour un particulier comme pour l'Etat, cela signifie emprunter de l'argent. 1. La dette publique est composée de la dette de l'Etat, mais aussi des dettes des autres administrations centrales, des collectivités territoriales et des organismes de sécurité sociale. 2. Ce sont donc des institutions étrangères qui, en majorité, prêtent à l'Etat français pour qu'il finance son déficit. 3. 4. 5.

La France proche d'un taux d'endettement de 100% en 2015 Le seuil des 100% à portée de main ? Selon Les Échos, le projets de loi de Finances pour 2015 devrait inscrire une dette publique proche de 98% du PIB en 2015, avant de refluer très légèrement les deux années suivantes. Le gouvernement adapte ainsi ses hypothèses de travail aux nouvelles donnes délivrées la semaine dernière. La semaine dernière, Michel Sapin, ministre des Finances, avait revu à la baisse les perspectives de croissance et d'inflation et revu à la hausse les objectifs de déficits publiques. Lire La dette publique française proche des 2.000 milliards d'euros Les marchés restent toutefois confiants et l'État emprunte toujours à des taux historiquement bas. En début d'année, la Commission européenne avait, de son côté, prévenu que sept pays de la zone euro dépasserait le seuil des 100% du ratio dette publique/PIB.

Artisans et corporations Les règlements des métiers déterminent avec précision les conditions et la durée de l'apprentissage. Ces prescriptions poursuivent un triple but : maintenir un niveau élevé de travail, restreindre la production par la limitation des apprentis, empêcher un maître de développer la production de son atelier aux dépens des ses concurrents. Le présent document explicite un accord intervenu entre un maître orfèvre et le père d'un apprenti. Le contrat, passé devant le voir juré (1) et en présence de témoins, donne d'intéressantes informations sur les pratiques en usage : paiement de l'apprentissage par le père, partage des frais d'entretien ... L'accord prévoit même le mode de dédommagement du maître en cas de décès de l'apprenti !

Pourquoi le déficit de la France est dans la ligne de mire de Bruxelles? La France est au cœur des préoccupations de la Commission (Crédits : shutterstock.com) « En terme de parts de marché, il n'y a pas d'amélioration malgré le crédit emploi compétitivité (CICE). On ne constate pas en France, de rééquilibrage en terme de compétitivité coût, comme en Espagne ou en Italie », a lancé Bruxelles, mardi 5 mars, en guise d’avertissement. D'après la Commission, la France ne respectera pas son objectif de déficit à 3% en 2015 : « Le risque que la France ne respecte pas ses engagements est très sérieux », insiste-t-on à la Commission européenne. JOL Press : La Commission européenne a non seulement pointé du doigt, mercredi, la perte de compétitivité des entreprises françaises, mais s’est aussi vivement inquiétée du dérapage des comptes publics. Eric Heyer : Pour 2014, la Commission européenne fait des prévisions, elle a des économistes à Bruxelles qui font des exercices de prévision comme peuvent le faire les économistes du FMI, de Bercy ou de l’OFCE.

Entreprises - Hausse des créations d'entreprises en 2014, notamment des sociétés Imprimer la page Véronique Batto et Sylvie Rousseau, division Infrastructures et répertoire statistiques, Insee Résumé En 2014, 550 700 entreprises ont été créées en France, soit 2 % de plus qu’en 2013. Tous types d’entreprises confondus, les créations sont en hausse dans la plupart des régions métropolitaines. La grande majorité des nouvelles entreprises n’emploient pas de salarié à leur création : seules 5 % sont employeuses ; hors auto-entrepreneurs, elles sont 10 %. Sommaire Publication Le nombre de créations d’entreprises s’accroît en 2014 Dans l’ensemble des secteurs marchands non agricoles, 550 700 entreprises ont été créées en 2014 après 538 200 en 2013. Avec 165 700 inscriptions en 2014, le nombre de nouvelles sociétés s’accroît de 4 % et leur part dans l’ensemble des créations se maintient à 30 %. Retour au sommaire Le succès des sociétés par actions simplifiées se confirme Regain des créations d’entreprises dans la plupart des secteurs Hausse des créations dans de nombreuses régions

Portail - Pédagogie économique Liens vérifiés le : 24/​08/​2012 Assurance Banque Epargne Info Service (Banque de France /​ ACP /​ AMF) Cette pla­te­forme commune mise en place par 3 ins­ti­tu­tions publiques - la Banque de France, l’Autorité de contrôle pru­dentiel (ACP) et l’Autorité des marchés finan­ciers (AMF)- s’adresse aux consom­ma­teurs de pro­duits et ser­vices finan­ciers. Le site informe et oriente sur toute question concernant les droits des consom­ma­teurs dans les domaines sui­vants : assu­rance, banque, crédit, bourse et pla­ce­ments financiers. Assu­rance Banque Epargne Info Service (abe​-info​service​.fr) Apprendre avec l’INSEE (INSEE /​​ SCÉRÉN-​​​​CNDP) En col­la­bo­ration avec l’Éducation Nationale, l’INSEE propose des res­sources inter­ac­tives et des dos­siers péda­go­giques sur des thèmes variés : la crois­sance, la consom­mation, les échanges exté­rieurs, l’emploi, les entre­prises, l’investissement, le chômage, la parité, les revenus, la mobilité sociale. Dossier pédagogique sur le Franc (BNF)

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