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Luka Rocco Magnotta

Luka Rocco Magnotta
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Luka Rocco Magnotta Le 30 mai 2012, le service de police de la Ville de Montréal diffuse un avis de recherche pan-canadien puis international via Interpol pour son arrestation en tant que principal suspect. Durant la fin du mois de mai 2012, il est considéré comme le fugitif le plus recherché du Canada. Il est arrêté par la police allemande à Berlin le 4 juin 2012, dans un cybercafé. Auparavant, il avait été poursuivi en justice par des groupes de défense des droits des animaux pour avoir posté des vidéos de lui en train de torturer des chatons. Jeunesse[modifier | modifier le code] À partir de 2005, il poste sur des forums et blogs internet (20 sites et 70 pages Facebook), sous 127 pseudonymes différents dénombrés[15], des commentaires dans lesquels il révèle des parties de sa vie[6]. Publication et controverses sur Internet[modifier | modifier le code] Meurtre de Lin Jun[modifier | modifier le code] Le 5 juin 2012, la St.

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L'Allemand qui a dénoncé Magnotta à la police témoigne Frank Rubert au procès de Luka Magnotta à Montréal Photo : Sylvie Gendron Le 4 juin 2012, Frank Rubert a pris le métro de Berlin pour aller rencontrer un collègue de travail. Il venait de déposer Luka Rocco Magnotta à une station de métro, en lui indiquant l'emplacement d'un café Internet situé tout près. C'est à ce moment qu'il a appris en lisant le journal que cet homme, avec qui il partageait son sofa-lit depuis trois jours, était un Canadien qui était recherché pour le meurtre et le démembrement de Lin Jun. Un texte de François Messier

L'enquête préliminaire de Magnotta va bon train L'homme de 30 ans semblait s'être remis de son malaise, qui avait entraîné un ajournement, mardi après-midi. Mais quand la Couronne a présenté de la preuve visuelle, mercredi, l'accusé s'est essuyé les yeux et ne jetait plus que de rares et brefs regards à l'écran. Il a mis sa main devant sa bouche comme s'il avait mal au coeur. La vidéo filmée par Magnotta a été montrée au jury La vidéo enregistrée par Luka Rocco Magnotta après la mort de l'étudiant chinois Lin Jun, le 25 mai 2012, a été présentée jeudi après-midi au jury chargé de déterminer s'il est coupable de meurtre au premier degré et d'outrage à un cadavre. Les 14 jurés ont regardé la vidéo sans broncher, bien que certains semblaient indisposés. Depuis sa cage de verre, l'accusé n'en a rien vu. Plié en deux, il a fixé le sol pendant toute la présentation. Un texte de François Messier La vidéo ne montre pas le meurtre, mais plutôt la profanation du cadavre de Lin Jun.

Affaire Magnotta: quatre témoins d'Ottawa ont été entendus L'audience a commencé avec le témoignage de la détective Chantal Pombert, et s'est poursuivie avec ceux de Geneviève Benoît, inspectrice en matière de sécurité à Postes Canada, de Genny Byrne, responsable des opérations politiques pour le Parti conservateur du Canada, et de Theresa Kelm, détective à Ottawa. Une ordonnance de non-publication nous interdit de dévoiler la teneur de leurs témoignages, comme tous les autres entendus jusqu'ici. La Couronne a fait entendre 25 témoins pendant la première phase de l'enquête préliminaire, qui a débuté le 11 mars. L'exercice est maintenant suspendu et reprendra le 8 avril. Procès Magnotta: les traces de sang dans l'appartement ont été bien mal nettoyées MONTRÉAL - Les jurés au procès de Luka Rocco Magnotta, accusé du meurtre prémédité de l'étudiant chinois Jun Lin, en mai 2012, ont appris mercredi que les policiers montréalais avaient finalement retrouvé la tête de la victime grâce à une information transmise par un avocat de Toronto. L'enquêteur Antonio Paradiso, de la section des crimes majeurs au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), a raconté au tribunal qu'il avait reçu le 1er juillet 2012 par télécopieur un message adressé à son nom. Me Raphael J. Feldstein, qu'il n'avait jamais rencontré, lui indiquait grosso modo la marche à suivre pour «trouver ce qu'il cherchait» au parc Angrignon, dans le sud-ouest de Montréal.

Magnotta diagnostiqué schizophrène paranoïde en 2005 Une lettre rédigée par le psychiatre de Magnotta figurait au dossier du tribunal qui a condamné l'homme pour fraude en 2005. Selon la lettre du spécialiste, il souffrait d'un trouble psychiatrique majeur. Le docteur Thuraisamy Sooriabalan, du Rouge Valley Health System, à Toronto, y indique que Magnotta souffrait de schizophrénie paranoïde depuis au moins l'an 2000, et qu'il avait été hospitalisé à plusieurs reprises. Luka Rocco Magnotta, «symbole d'un processus de décivilisation» FIGAROVOX/CHRONIQUE - Chaque semaine, Mathieu Bock-Côté analyse, pour FigaroVox, l'actualité vue du Québec. Il revient cette semaine sur le cas Luka Rocco Magnotta, le «démembreur de Montréal», dont le procès se tient actuellement. Mathieu Bock-Côté est sociologue (Ph.D). Il est chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Il est l'auteur de plusieurs livres, parmi lesquels Exercices politiques (VLB, 2013), Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) et La dénationalisation tranquille: mémoire, identité et multiculturalisme dans le Québec post-référendaire (Boréal, 2007).

Sur les traces de Luka Rocco Magnotta «Il aurait pu nous retracer» Étienne Clotis vit à 6000 km du Canada. Pourtant, il hésite encore à se faire photographier par peur de la vengeance de Luka Rocco Magnotta. «S'il est libéré, je vais regretter de l'avoir fait», dit-il. Jamais le jeune Français n'oubliera le voyage en avion qui l'a ramené vers Paris après trois semaines de vacances au Québec en mai 2012. Pas plus qu'il n'oubliera le choc en apprenant qu'il avait passé sept heures assis à côté de Luka Magnotta.

Luka Rocco Magnotta, le «dépeceur de Montréal», face à la justice Le procès de Luka Rocco Magnotta, accusé d'avoir tué un étudiant chinois dans des conditions atroces avant de diffuser la vidéo de son crime sur internet, s'est ouvert ce lundi au Canada. Le tueur présumé a plaidé non coupable. En mai 2012, sa traque avait mobilisé les autorités de Montréal jusqu'à Berlin, en passant par Paris. Plus de deux ans après, le Canadien Luka Rocco Magnotta, surnommé le «dépeceur de Montréal», se retrouve depuis ce lundi face à la justice de son pays: il est accusé d'avoir tué et découpé un étudiant chinois avant de diffuser les images sordides de son crime sur internet... mais aussi d'avoir envoyé les mains et les pieds de sa victime par la poste dans des écoles et des partis politiques.

Magnotta admet avoir tué Lin Jun Son avocat, Me Leclair, tentera de démontrer qu'il ne peut être tenu responsable de ses actes en raison de troubles mentaux. C'est sur cette note spectaculaire que le procès de M. Magnotta s'est ouvert, lundi matin, à Montréal. Live Blog Début du procès de Luka Rocco Magnotta En vertu de l'article 16 du Code criminel canadien, la responsabilité criminelle d'un accusé n'est pas engagée, si celui-ci était atteint de troubles mentaux qui le rendaient incapable de juger de la nature et de la qualité de l'acte criminel, ou de comprendre que cet acte était mauvais au moment où il l'a commis. Planifié et délibéré

Andy Blatchford (La Presse Canadienne) - Le procès de Luka Rocco Magnotta débutera dans 16 mois à Montréal - L'Express de Toronto Crimes Par Andy Blatchford (La Presse Canadienne) – Semaine du 30 avril au 6 mai 2013 29 avril 2013, 18h MONTRÉAL _ Le procès de Luka Rocco Magnotta s'ouvrira le 15 septembre 2014, soit plus de deux ans après son arrestation en lien avec le meurtre de l'étudiant universitaire Jun Lin en mai 2012, et devrait durer de six à huit semaines. Cette date a été fixée lundi au palais de justice de Montréal. Luc Leclair, le principal avocat de Magnotta, souhaitait que le procès commence plus tôt, demandant même au juge André Vincent s'il était possible d'amorcer le tout dès avril 2014.

La défense étale la vie sexuelle de Lin Jun C'est ce que l'avocat de la défense Luc Leclair a tenté de faire ressortir en questionnant l'ex-petit ami de la victime, Lin Feng, hier, au procès de Luka Rocco Magnotta. L'avocat a commencé son contre-interrogatoire en offrant ses condoléances au témoin, et en expliquant qu'il ne s'agissait pas du procès de Lin Jun, mais qu'il devait lui poser des questions pour aider à établir l'état d'esprit de son client. Lin Feng, un homme de 35 ans à la taille élancée et au crâne rasé, est venu de Chine pour témoigner au procès de celui qui est accusé d'avoir tué et dépecé son ex-ami de coeur, le 25 mai 2012.

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