Stratégies d'intégration des TICE dans les pratiques d'enseignement
Dans une stratégie d'intégration des technologies dans les pratiques pédagogiques et les établissements, on essaie la plupart du temps de mener de front l'équipement, la formation des enseignants et les contenus d'intégration en classe. Mais cette synchronisation simpliste n'est parfois qu'une vue de l'esprit car en réalité plusieurs domaines s'interpénètrent et pour qu'un enseignant adopte l'utilisation des technologies en classe, il doit lui-même en saisir les enjeux au-delà d'une simple maîtrise de certains outils. TPaCK, modèle d'intégration réussie des Tice à l'enseignement D'habitude dans la formation des enseignants, on prend en considération trois domaines qui sont traités de manière indépendante : contenus, pédagogie et technologie. Au Québec, un modèle nommé TPaCK, acronyme anglais qui veut dire Technology, Pedagogy and Content Knowledge vise à articuler technologie, contenus disciplinaires, contexte et pédagogie. Voyez la présentation dynamique de ce modèle : Exemples :
Et si l’on arrêtait d’utiliser des manuels scolaires
Au vu des ressources disponibles en ligne et des pratiques individuelles des enseignants on peut se demander s’il faut encore maintenir des manuels scolaires ? Si l’on fait l’hypothèse que les ressources libres disponibles se multiplient, que la maîtrise des enseignants dans l’élaboration de supports pour leur enseignement augmente et que les élèves ont pris l’habitude eux aussi d’aller chercher leurs ressources, on peut s’interroger sur l’intérêt d’utiliser des manuels scolaires. Cette remarque, qui pourra sembler une provocation envers une « industrie » dont le chiffre d’affaire passe largement par ce marché et qui donc se verrait progressivement diminuer, voire disparaître, n’a pour objectif que de poser une question importante que l’on esquive dans de nombreux débats, tant elle recouvre d’autres éléments qui seraient affectés indirectement par de tels développements. Outre la dimension économique, c’est l’usage qui doit être questionné. Mais cela n’est pas pour demain matin…
Exemples de compétences transversales
Retour Précédent Dans l'enseignement secondaire et supérieur, tant les enseignants que les élèves sont habitués à penser en termes de disciplines : Français, Anglais, Maths, Biologie, Psychologie sociale, etc.. Il arrive que l'un ou l'autre élève/étudiant ne réussisse pas dans une, plusieurs ou toutes les disciplines qu'il y a au programme. On recherche quelle est la cause de ces problèmes. Il arrive que l'on dise : "Il ou elle n'a pas réussi parce qu'il/elle manque de motivation" - qu'est-ce que la motivation ? "Il ou elle a un mauvais niveau en Anglais/Français/etc. parce qu'il/elle ne participe pas" - que veut dire participer ? "Il ou elle n'a pas réussi sa composition parce qu''il/elle a perdu ses moyens" - ne serai-ce pas à cause du stress ? "Untel ou unetelle n'arrive pas à travailler en groupe" - que faut-il pour travailler en groupe ? D'autres étudiant(e)s, tout au contraire, sont motivés, participent bien, ne sont pas victimes du stress et fonctionnement bien en groupe. Communication
La pédagogie et le numérique, des outils pour trancher- Ph Meirieu
Que signifie vraiment « intégrer les TIC » en pédagogie
Posons-nous la question suivante : comment un enseignant qui désire intégrer les technologies à sa pédagogie doit-il procéder ou quelles sont les étapes successives et requises visant à l’intégration des TIC par un enseignant ? Il existe quelques modèles qui nous permettent de bien situer les enseignants à l’égard de l’usage des technologies. Un premier modèle expérientiel global est celui proposé par Morin (2010) dans le cadre de son article intitulé « Ma petite histoire d’intégration des TIC en pédagogie » de la revue Pédagogie Collégiale, VOL 23, Numéro 2 (hiver 2010). Vu sous l’angle d’une progression dans le temps, Morin (2010) nous propose une intégration des TIC en six temps très distincts : « En intégrant les TIC à ma pédagogie, je me suis vite rendu compte que la compétence dans le domaine ne se limite pas à la connaissance des outils technologiques. Nos recherches nous ont permis de trouver quelques ébauches de définitions de l’intégration des TIC en pédagogie.
Learning isn’t linear
Flipping is the new black. Flipped classrooms. Flipped learning. And now flipped Bloom’s Taxonomy. Shelley Wright has written a a brilliant post about flipping Bloom’s Taxonomy, complete with wonderful examples of the process in action in Science, Media Studies and English classes. To me, it’s not so much about flipping as about rethinking altogether. Like this: Like Loading...
COMPETICE
Dans son modèle de compréhension pédagogique, Jean Houssaye définit tout acte pédagogique comme l’espace entre trois sommets d’un triangle : l’enseignant, l’étudiant, le savoir. Derrière le savoir se cache le contenu de la formation : la matière, le programme à enseigner. L’enseignant est celui qui a quelques enjambées d’avance sur celui qui apprend et qui transmet ou fait apprendre le savoir. Quant à l’étudiant, il acquiert le savoir grâce à une situation pédagogique, mais ce savoir peut être aussi du savoir-faire, du savoir-être, du savoir agir, du faire savoir… Les côtés du triangle sont les relations nécessaires à cet acte pédagogique : la relation didactique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec le savoir et qui lui permet d’ENSEIGNER, la relation pédagogique est le rapport qu’entretient l’enseignant avec l’étudiant et qui permet le processus FORMER, enfin la relation d’apprentissage est le rapport que l’élève va construire avec le savoir dans sa démarche pour APPRENDRE.
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Utiliser ou intégrer les TIC
Un courriel de Stéphane Lavoie me fait connaître ce tableau qui peut être utile lors de formation en lien avec l'«intégration» des TIC dans l'apprentissage des élèves. Quelle est la différence entre l’utilisation de la technologie et l’intégration de la technologie par un enseignant dans le cadre de ses activités d’enseignement? La réponse à cette question peut se trouver au travers ce tableau comparatif d’Aditi Rao pris sur Teachbytes (que j’ai librement traduit) : Tableau mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons By-NC-SA 3.0 Il s’agit d’une reprise de cet article. J’aime particulièrement la septième. Merci Stéphane pour la traduction! PS: Le modèle SAMR illustre, selon moi. les effets/impacts possibles de l'«intégration» des TIC dans l'apprentissage des élèves: Mise à jour 6 mai 2013: Source: Oui les TIC, mais pas tout le temps et pour tout.
Compare SkyDrive, Google Drive and Dropbox
We compare the features of Windows SkyDrive, Google Drive and Dropbox to help you pick the best file storage and sync service for your specific requirements. You have your files, photos and documents on your home computer that you would like to access from other locations on different devices. Dropbox has been the de-facto choice for long but that could potentially change as Microsoft and Google have just entered the arena with the launch of Windows Live SkyDrive and Google Drive respectively. The three services are very similar – you get online storage (you can access your files anywhere) and file synchronization – edit a document on one computer and the changes are propagated to all your other computers almost instantly. Let’s see how these online drives stack up against each other: Supported Platforms Dropbox is available for Windows, Mac, Linux, iOS, BlackBerry and Android devices. Storage Limits Storage Plans See detailed comparison of pricing plans. Built-in File Viewers File History