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Des professionnels passionnés parlent de leur métier - Bloomr

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Les désorientés d’Admission post-bac témoignent Le Monde | • Mis à jour le | Par Eric Nunès Pour les 617 000 bacheliers de l’édition 2015, le bac est un sésame pour l’enseignement supérieur qui leur ouvre le droit à une place à l’université ou dans une école. Dans le rôle du grand coordinateur qui doit diriger au mieux ces centaines de milliers de lycéens : le logiciel d’orientation Admission post-bac (APB). Début août, ils étaient pourtant encore 7 500 sans affectation, à attendre qu’une place, en accord avec leurs souhaits, leur soit proposée. « Tous les ans, une fois les trois tours d’APB passés, il reste des jeunes qui n’ont pas obtenu satisfaction », reconnaît-on au secrétariat d’État chargé de l’enseignement supérieur. Son orientation, Océane la voyait très clairement : une classe préparatoire aux grandes écoles (CPGE). Lire aussi : 7 500 bacheliers attendent encore une place à l’université Six vœux minimum En effet, dans les secteurs d’orientation sous tension, il est fortement conseillé de faire six vœux.

Bienvenue sur Inspire Adrep - Animation et Développement des Relations École-Profession MRJC - Association de jeunesse et d’éducation populaire, gérée et animée par des jeunes Orientation post-bac : sortir des affres du choix et dédramatiser Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Séverin Graveleau « On voit l’échéance se rapprocher, on se rend dans une multitude de salons d’orientation, on en parle à tout le monde. Mais rien n’y fait, on est perdu ». C’était il y a trois ans mais Antoine de Montebello se souvient du « stress d’APB » comme si c’était hier. Bon élève en terminale, il se rappelle avoir eu l’impression « d’être incapable de se repérer parmi la multitude d’offres » dans l’enseignement supérieur. Il imaginait alors vaguement « vouloir travailler dans l‘audiovisuel », une option dévalorisée dans le lycée privé catholique parisien dans lequel il terminait sa scolarité, autant que l’idée d’intégrer une école (privée) de commerce post-bac, l’Iéseg à Paris, absente du portail APB. C’est ce qu’il a fait, en février 2013, en allant, comme le font chaque année des dizaines d’autres élèves anxieux, frapper à la porte du Centre d’orientation et d’examen psychologique (Corep) de Paris. Et le plaisir d’apprendre dans tout ça ?

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