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Tout va mieux: Si j'aurais su...

Tout va mieux: Si j'aurais su...
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La plus belle chose au monde Fiou. Je vous poste quelques liens à ce propos : ChildfreeChildfree ou le choix de ne pas avoir d’enfants Toutes les femmes ne veulent pas forcément des enfants Femmes sans enfants, femmes suspectes. Et sinon… Vous aurez Peut-être remarqué que j’étais parmi les 30 sélectionnés de la Révélation Blog ! Si vous avez le temps ça me ferait vraiment extrêmement plaisir que vous votiez – juste aujourd’hui ou chaque jour jusqu’en janvier ! Commencer les cours avant 8h30 est mauvais pour la santé des collégiens et des lycéens Commencer les cours avant 8h30 du matin est mauvais pour la santé des collégiens et des lycéens, selon une recommandation officielle de l’Académie américaine de pédiatrie. Au début de la puberté, la phase d’endormissement se décale d’environ deux heures plus tard, et les emplois du temps scolaires devraient donc s’adapter à ce changement de rythme biologique. «Faire commencer les cours plus tard est une importante mesure de santé publique», explique l’association de pédiatres. En moyenne, les lycéens américains débutent les cours à 8 heures du matin, comme la plupart des Français. Selon un sondage, 59% des collégiens et 87% des lycéens américains dorment moins que les 8,5 heures recommandées. Ce problème touche aussi les jeunes Français: à 15 ans, près d'un adolescent sur quatre dort moins de 7 heures par jour, d’après l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes). Commencer à 8h30 ou 9 heures est considéré comme acceptable, mais 8 heures est trop tôt.

Je ne veux pas d’enfant Mauvaise blague… J’ai 32 ans et je ne veux pas d’enfant. J’en suis sûre, si je regrette j’y penserai quelques jours, mais je ne pourrai rien y faire, alors je ferai autre chose. C’est exactement ce que je veux, je veux faire autre chose, je ne veux pas d’enfant. Depuis quatre ans j’arpente le pays de gynéco en gynéco, avec la brochure « stérilisation à visée contraceptive » à la main. Je ne veux pas de contraception, je ne veux pas être une machine à produire des enfants, il existe des moyens pour arrêter cette fonction, je veux une stérilisation. Il y a quatre mois de ça, un chirurgien gynécologue de l’hôpital Arnaud de Villeneuve à Montpellier a accepté de me faire cette opération. Un des problèmes c’est de ne pas avoir le contrôle sur son corps, le tout pouvoir que s’octroie le corps médical sur le corps des femmes, en particulier, mais finalement, le corps de tout le monde. L’hôpital, la hiérarchie du chirurgien décide de donner son avis, comme des dizaines d’autres gynécologues.

Les Moso, une des dernières sociétés matriarcales À l'ombre des contreforts de l'Himalaya, près du lac Lugu, à la frontière des provinces du Yunnan et du Sichuan, vit le peuple Moso. Ils forment une société matrilinéaire et matrilocale, l'une des dernières connues à ce jour. Les enfants sont rattachés au groupe parental maternel, qui les élève, leur transmet nom et traditions. Les femmes sont au centre de cette société complexe et ne quittent pas leur famille. Elles pratiquent une forme de "mariage libre" : les femmes choisissent leurs partenaires et en changent à leur guise. Cette ancienne société aux valeurs si "modernes" est exigeante. Au milieu de ces intérêts divers et omniprésents, il y a les femmes elles-mêmes. Comme pour beaucoup de communautés isolées de par le monde, l'appât du gain touristique a un coût. Les Moso les plus jeunes ont mieux intégré les codes culturels chinois. Les portraits de Klüppel donnent à voir des femmes fortes et dignes, et une autre forme de réalité.

J'ai testé pour vous... être doctorante en archéologie Elodie MK aka PikWik arrive à la fin de son doctorat d'archéologie. Elle nous raconte le long chemin à parcourir avant d'enfin pouvoir exercer ce métier qui est assez loin des idées qu'on s'en fait. À lire aussi : J’ai testé pour vous… les études d’archéologie Aujourd’hui encore, j’ai du mal à dire que je suis archéologue. Je suis pourtant incapable de me rappeler d’où m’est venue cette passion. Mon parcours estudiantin Autant vous dire que les cours d’histoire en sixième ont été un pur régal : les Égyptiens, les Grecs, les Romains… Autant de civilisations, de cultures qui m’ont fait rêver ! À lire aussi : Le « Secrets d’Histoire » Tour, sur les traces de Stéphane BernJe suis interprète langue des signes française-français — TémoignageJ’ai testé pour vous… être étudiante en stylisme Je rêvais aussi de devenir architecte d’intérieur, styliste, propriétaire de chevaux, écrivaine, etc. Le bac en poche, je suis partie à l’université. En vrai, ça ressemble à ça : Le terrain Les fourmis Le doctorat

Ligature des trompes : témoignage d'une jeune femme sans enfants Aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours su que je ne voulais pas d’enfants. Même quand j’étais gosse, je n’ai jamais aimé les gosses ! Il y a beaucoup de childfree (personnes sans enfants par choix) qui s’empressent de dire « Je n’en veux pas, mais j’aime les enfants, hein ! ». Pour l’anecdote, ma mère était assistante maternelle, elle a commencé quand j’étais en primaire. J’ai aussi une peur, une peur panique même, de me retrouver avec un être qui me pousse dans le ventre. Quelques semaines avant mon opération (teasing de la suite), j’en ai fait des cauchemars : un docteur m’annonçait que j’étais en cloque, que c’était trop tard pour revenir en arrière… horrible. La tokophobie, ou peur de la grossesse La peur intense de la grossesse a un nom, c’est la tokophobie. Il s’agit d’une des raisons, parmi de nombreuses autres, pour lesquelles Anne n’a jamais désiré d’enfant. Avant la ligature des trompes, une contraception « par défaut » Ma colère m’a servi de moteur. J’avais 27 ans.

10 femmes oubliées par les manuels scolaires qui ont pourtant révolutionné la science Ces 10 femmes d’exception ont eu une incidence significative sur diverses avancées scientifiques dans des domaines tels que la paléontologie, la médecine, la physique… et pourtant elles sont encore méconnues. le DGS vous offre donc une chance de découvrir ces femmes qui ont grandement participé à l’évolution scientifique au cours de l’Histoire. Lire aussi Ces batteries révolutionnaires pourraient fonctionner des milliers d’années sans être rechargées Elle n’avait que 12 ans lorsqu’elle et son petit frère ont découvert un squelette d’ichtyosaure près de leur ville natale en Angleterre, dès lors elle se passionne pour cette science qui étudie les fossiles. Même si ses recherches ont été utilisées par les scientifiques de son époque, elle n’a jamais été admise au sein des milieux scientifiques officiels, et on n’a jamais cité son nom même en parlant de ses découvertes. Lire aussi Des chercheurs parviennent à « déballer » des momies d’animaux en 3D

Voilà ce que ça donne quand des astronautes s'amusent avec une bulle d'eau et une GoPro Les astronautes à bord de la Station spatiale internationale (ISS) suivent un tel entraînement qu'une fois là-haut, ils s'habituent sûrement à ces drôles de conditions. Mais personne ne peut être suffisamment blasé pour ne plus être émerveillé par les règles de physique incroyables de la microgravité. A l'intérieur de la bulle d'eau, voilà ce que voit la caméra GoPro! | Capture de la vidéo de la Nasa Du coup, les astronautes de la Nasa Steve Swanson et Reid Wiseman, ainsi qu'Alexander Gerst, de l'Esa, ont réalisé la vidéo que nous ferions tous si nous étions là-haut. Ils ont étudié la surface de l'eau en micro-gravité. Et puisque la Nasa travaille sur un projet qui consiste à filmer l'espace en 3D, les astronautes ont utilisé l'une de ces caméras en 3D pour filmer toute cette histoire de blob d'eau. Et en plus, David Bowie vient de redonner son feu vert pour que la version de Space Oddity de Chris Hadfield, l'astronaute canadien, revienne sur YouTube.

Mouvement "childfree" : Je ne veux pas d'enfant, c'est grave ? Je leur dis que c’est ma décision et mon corps, mais je sens que c’est un sujet tabou et ils se fâchent », se désole la première. « Ça me fait penser aux discussions sur l’IVG. C’est comme la religion et la politique, on ne peut pas en parler à tout le monde, renchérit la seconde. Plus on se rapproche des 30 ans, plus ils sont lourds. » Aperçu d’une conversation cathartique sur un groupe Facebook dédié à la stérilisation volontaire. Ces deux jeunes femmes ne veulent pas d’enfants et le revendiquent. Comme cette amie de Camille, 28 ans, qui l’éloigne volontairement de l’enfant de son copain : « Elle avait peur que je lui fasse du mal, que je sois méchante avec lui. » Comme cette inconnue qui balance à la tête d’Edith Vallée, spécialiste de la question childfree et elle-même sans enfants, qu’elle est « comme Véronique Courjault ». Je me dis que je ne suis pas un alien. Derrière cette violence épisodique, une constante : l’incompréhension. © giphy.com * Ce prénom a été modifié.

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