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Le Web Camus

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Jean de la Fontaine Racine Jean Biographie de Racine (Gustave Lanson, «La Grande Encyclopédie», 1885-1902) «Il était fils de Jean Racine, contrôleur au grenier à sel ou procureur au bailliage, et de Jeanne Sconin, qui mourut le 28 janv. 1641 en donnant le jour à une fille. Jean Racine mourut le 6 févr. 1643. Les deux orphelins furent recueillis par les grands parents, le petit Jean par la grand-mère Racine, née Marie Desmoulins, et la petite Marie par le grand-père Sconin. Marie Desmoulins, veuve en 1649, se retira bientôt après à Port-Royal. Port-Royal et surtout la tante Agnès de Sainte-Thècle s'attristaient de ces essais. Il menait alors une fort libre et joyeuse vie avec ses amis Boileau et La Fontaine. La Thébaïde se ressentait de Corneille et de Rotrou; Alexandre révélait l'étude de Corneille et de Quinault. Racine fut reçu à l'Académie française le 12 janv. 1673 : le même mois, peut-être la veille, Mithridate fut joué. Malgré l'aversion du roi pour les jansénistes, Racine restait très attaché à Port-Royal.

Jean Rouaud Pierre Bayle Ce site a été conçu sous la direction scientifique d’Antony McKenna et de Fabienne Vial-Bonacci (Institut Claude Longeon, IHPC, CNRS UMR 5037) ; il a été réalisé par Pierre Mounier dans le cadre de la DSI de l’Université Jean Monnet Saint-Etienne, à partir d’une édition électronique établie dans une base Arcane, conçue et réalisée par Eric-Olivier Lochard (Université de Montpellier 3). A partir de notre texte balisé dans la base Arcane, nous pouvons générer un texte structuré en XML, au format TEI par exemple : cette capacité assure la pérennité de l’édition critique de la Correspondance de Bayle et autorise l’échange éventuel avec d’autres systèmes d’information. Les documents iconographiques et vidéos ont été réalisés par Emmanuelle Perrin (www.arabesques.info). Cette édition critique se réalise au moyen d’une base de données « Arcane », conçue et réalisée par Eric Olivier Lochard avec la collaboration de Dominique Taurisson.

Eluard. Les Nécessités de la vie, 1921 Les fleurs Mes yeux et la fatigue doivent avoir la couleur de mes mains. Quelle grimace au soleil, mère Confiance, pour n'obtenir que la pluie. Je t'assure qu'il y a aussi clair que cette histoire d'amour: si je meurs, je ne te connais plus. Fêtes La Valse est jolie, Les grands élans du coeur aussi, Rues, Une roue valsait éperdument. Air noir La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs, TROUVAILLE. Vieillir Ombre de neige, Coeur blanc, sang pauvre, coeur d'enfant.

Académie française Biographie résumée d'Antonin Artaud Génie pour certains, fou pour d'autres, Artaud fut poète, auteur et metteur en scène de théâtre, comédien, plasticien, c'est-à-dire un homme un peu hors norme. Membre du mouvement surréaliste, il incarna un verbe unique, étrange, toujours aux confins de la folie, sa poésie et son théâtre furent le reflet de son âme et de ses pratiques toxicomanes. L'oeuvre notamment théâtrale d'Antonin Artaud a d'abord été connu par les surréalistes, mais il sera exclu en 1926, suite à son Manifeste sur le Théâtre. Antonin Artaud est né en 1896 à Marseille, dont il dit n'y avoir fait que passé « parce qu'en réalité je ne suis jamais né et qu'en vérité je ne peux pas mourir » (lettre à Marthe Robert du 29 mars 1946). Son goût pour l'opium a débuté en 1919 et il vient à Paris en 1920. En 1923, il fait éditer ses premiers poèmes «Tric Trac du ciel». En 1927, il fonde avec Roger Vitrac et Robert Aron le Théâtre Alfred-Jarry.

Villiers de L'Isle-Adam Écrivain français. Notice du supplément d'un dictionnaire célèbre publié au lendemain de la mort de Villiers: un écrivain "tourmenté", "bizarre", "étrange"... Philippe-Auguste-Mathias, comte de Villiers de l’Isle-Adam, écrivain français, né à Saint-Brieuc le 7 novembre 1838. Il est mort à Paris le 18 août 1889. Il appartenait à l’une des vieilles familles de France et comptait parmi ses ancêtres le Villiers de l’Isle-Adam, qui fut grand-maître de l’ordre de Malte. source : Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle : français, historique, géographique, mythologique, bibliographique, littéraire, artistique, scientifique, etc. Un jugement plus subtil de l'écrivain Remy de Gourmont (...) Complexe, mais on peut le voir un double esprit. Villiers se réalisa donc à la fois par le rêve et par l’ironie, ironisant son rêve, quand la vie le dégoûtait même du rêve. Le réel, il l’a, en un très ancien brouillon de page à L’Eve future, peut-être, ainsi défini : Oeuvres complètes 2.

Charles-Augustin Sainte-Beuve Sainte-Beuve (Charles Augustin de), né à Boulogne-sur-Mer le 23 décembre 1804, mort à Paris le 13 octobre 1869. Sa famille était originaire de Mareuil en Picardie . Sa mère était veuve depuis deux mois et demi quand il vint au monde : il attribuait à ce deuil maternel sa disposition mélancolique. En 1821, son ancien professeur de rhétorique, Dubois, le fit entrer au Gloire : il y signait des initiales S. de Victor Hugo (éd. de 1816) : ce fut le point de départ de leur étroite liaison, dont l'œuvre de Victor Hugo (cf. Cependant son universelle curiosité lui faisait visiter les mondes les plus divers. Cependant il était resté au Globe, journal libéral et philosophe : il y fit des articles politiques assez vifs et avancés pour le temps. « J'ai le sentiment de ces choses, écrivait-il, mais je n'ai pas ces choses mêmes». Ses liaisons avec les catholiques se dénouèrent peu à peu; et sa rupture avec V. Déjà Volupté le montrait préoccupé du jansénisme. Sainte-Beuve.

Auteurs contemporains Le site littéraire Les actualités concernant Edmond Rostand Affichage Auteurs Huysmans Joris-Karl Mon cher André, quelques lignes de réponse à vos reproches (...) Huysmans ne s'efforce pas vers la Vérité, comme vous le croyez, mais vers le Succès, ce qui est exactement le contraire. Il semble n'avoir jamais pu se dessoûler de la victoire imprévue de Là-Bas, mauvais livre qui l'a rendu célèbre. A dater de ce jour, des Esseintes, jusqu'alors altier, s'est mis à compter soigneusement... Duel (...) Le texte présenté sur cette page a d'abord paru dans le journal Gil Blas de Juillet 1893 à Avril 1894, puis fut repris avec d'autres dans le recueil Histoires désobligeantes (Dentu, 1894 et Crès, 1914). Porc Texte publié en guise de préface au premier tome de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne (juillet 1900- avril 1904), Paris, Mercure de France, 1905. Monnaie Charge féroce et délicieuse contre l'avarice et l'hypocrisie. Pauvreté Bloy Léon Jardin Absolu Art La colère d'un grand artiste scandalisé par la médiocrité de la littérature de son temps. Vieillesse Goncourt (frères)

Jean-Paul Sartre

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