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Référendum sur l'indépendance de l'Écosse

Référendum sur l'indépendance de l'Écosse
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] C'est le troisième référendum sur le statut de l'Écosse au sein du Royaume-Uni, après ceux du 1er mars 1979 et du 11 septembre 1997. Statut actuel de l'Écosse[modifier | modifier le code] Emplacement de l'Écosse, en rouge, par rapport aux trois autres nations constitutives du Royaume-Uni, en beige clair. Néanmoins, depuis 1998, l'Écosse jouit d'une grande autonomie, étant dotée de son propre gouvernement et d'un parlement, qui ne peuvent toutefois contrevenir aux principes de la souveraineté britannique. Référendum sur l'indépendance[modifier | modifier le code] Enjeux du référendum[modifier | modifier le code] Agriculture[modifier | modifier le code] En 2013 en tant que membre de l'Union Européenne, les paysans écossais ont reçu 583 millions de livres sterling de subventions de l'Union Européenne dans le cadre de la Politique Agricole Commune (PAC). Protection de l'enfance[modifier | modifier le code]

Référendum en Écosse : Londres promet des réformes Pour la première fois depuis le début de la campagne référendaire, les partisans de l'indépendance de l'Écosse arrivent en tête des intentions de vote dans un nouveau sondage publié ce matin. Et en réponse à ce changement de tendance, le gouvernement britannique promet plus d'autonomie à la région. Le coup de sonde mené pour le Sunday Times donne 51 % des intentions de vote au camp du oui, contre 49 % pour le camp du non. La marge d'erreur est de 3 %, ce qui laisse croire que les deux camps sont pratiquement à égalité. D'autres sondages ont démontré une tendance semblable ces derniers jours. Selon Alistair Darling, directeur de la campagne du non, ce nouveau sondage montre que le résultat du référendum sera « très serré ». « Nous nous réjouissons de cette bataille. En réponse au sondage, le gouvernement britannique a indiqué qu'il comptait donner plus d'autonomie à l'Écosse en matière de dépenses, de taxation et d'aide sociale, si le non l'emporte lors du referendum. Écosse

Comment s'organise le référendum d'indépendance écossais ? Aboutissement d'un processus de deux ans, les Ecossais sont appelés à voter, jeudi 18 septembre, pour répondre à la question : « Souhaitez-vous que l'Ecosse devienne un pays indépendant ? » Alors que les camps du « yes » et du « no thanks » battent campagne jusqu'au dernier moment, difficile de savoir qui l'emportera. Trois derniers sondages publiés dans la soirée de mardi donnent toutefois les partisans du « non » vainqueurs. Lire notre décryptage : Si l’Ecosse devenait indépendante… S'agit-il du premier référendum écossais ? Il ne s'agit pas du premier référendum à mobiliser les électeurs écossais. En 1997, les Ecossais s'étaient exprimés en faveur d'un Parlement national, conférant un statut particulier à cette partie de la couronne britannique. En 1979, un premier scrutin avait déjà porté sur cette question d'un Parlement, mais le pourcentage d'électeurs réunis avait été trop faible pour pouvoir valider le vote. Qui vote ? Comment s'organise le scrutin ?

Indépendantisme écossais Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Walter Thomas Monnington : Unité parlementaire de l'Angleterre et de l'Écosse, palais de Westminster. L'indépendantisme écossais (anglais : Scottish independence, scots : Scots unthirldom[1], gaélique écossais : Neo-eisimeileachd na h-Alba) est une idéologie politique qui soutient l'idée que l'Écosse doit faire sécession du Royaume-Uni et redevenir l'État souverain et indépendant qu'elle était avant 1707. Idéologie[modifier | modifier le code] Les revendications indépendantistes se fondent sur l'idée que l'Écosse, possédant une culture vigoureuse qui lui est propre, des systèmes bancaire, juridique et éducatif distincts de ceux de l'Angleterre, devrait à terme faire sécession du Royaume-Uni et recouvrer le statut indépendant dont elle jouissait avant 1707. Contexte[modifier | modifier le code] En 1603, Jacques VI d'Écosse devient aussi Jacques Ier d'Angleterre, mais l'union des couronnes laisse les parlements divisés.

Virus Ebola Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Les deux premières épidémies recensées par l'OMS ont eu lieu en 1976, au Soudan (151 morts pour 284 cas[1]) et au Zaïre (280 décès pour 318 cas). Un cas mortel est identifié au Zaïre en 1977. De nouvelles contaminations surviennent au Soudan en 1979 : 22 décès pour 34 cas. D'autres contaminations humaines massives surviennent dans les années 1990, en 1994 au Gabon (31 décès pour 52 cas) et en Côte d'Ivoire (un cas, non mortel), en 1995 au Zaïre (254 décès pour 315 cas), en 1996 au Gabon (deux épidémies successives, faisant respectivement 21 décès pour 31 cas, de janvier à avril, et 45 décès pour 60 cas, de juillet à décembre). Début 2014, le virus de souche Ebola-Zaïre est à l'origine d'une épidémie en Afrique de l'Ouest[4]. Le virus[modifier | modifier le code] Comme le virus Marburg, le virus Ebola appartient à la famille des Filoviridae (ordre des Mononegavirales).

Référendum et indépendance: Québec-Écosse, deux luttes, un même destin? Les Écossais seront appelés sous peu à se prononcer sur leur avenir politique par voie référendaire. Une situation qui rappelle celle du Québec, la province s'étant prononcée à deux reprises sur son indépendance, en 1980 et en 1995. De la question mise au vote au contexte politique, comparons les deux cas. Un texte de Bernard Leduc 1. La question mise au vote La formulation de la question référendaire en Écosse est aux antipodes de celle au Québec en 1995 : 8 mots contre 40. Québec Le 30 octobre 1995, les Québécois ont été invités à répondre à cette question : « Acceptez-vous que le Québec devienne souverain, après avoir offert formellement au Canada un nouveau partenariat économique et politique, dans le cadre du projet de loi sur l'avenir du Québec et de l'entente signée le 12 juin 1995? Écosse Le 18 septembre 2014, les Écossais devront répondre à cette question lors d'un référendum : « L'Écosse devrait-elle être un pays indépendant? 2. 3 . 4. Québec James Bond contre Harry Potter Getty

Ecosse: trois semaines après le non, le rêve d'indépendance toujours vivace Trois semaines après le non au référendum d'auto-détermination, le rêve d'une Écosse indépendante "n'est pas mort" à Glasgow, fief du oui, où on pense déjà à "repartir au combat". Les banderoles sont rangées, les affiches à la poubelle et les larmes ont séché. Le 18 septembre, l’Écosse a voté non à l'indépendance, à 55,3%, mais Glasgow a voté oui, à 53,5%. La déception fut grande et la nuit suivante a été chaude et amère, émaillée d'incidents entre camps adverses. Aujourd'hui, le calme est revenu dans les rues de la plus grande ville d'Écosse, l'hiver approche et le référendum, qui a divisé tant de familles et fâché quelques amis, paraît loin. "Ca va, on va pas recommencer", lance un passant, pressé de tourner la page après des mois d'intenses débats. Au Coopers, un pub, on fomente déjà la revanche. "Nous avons perdu mais cela ne signifie pas que le rêve est mort", ajoute Mhairi Black, 20 ans, étudiant en sciences politiques. -'Le climat est enivrant'- La suite ?

Wikipédia Attentat au Parlement: le récit des événements | Philippe Teisceira-Lessard, ... >>> Vos réactions Selon le réseau américain CBS, qui cite des sources des autorités américaines, le nom du suspect abattu serait Michael Zehaf-Bibeau, un Montréalais né au Canada en 1982. Un nombre indéterminé de suspects serait possiblement toujours au large. >>> Une édition spéciale de La Presse + est disponible dès maintenant sur votre tablette Toutes les bases militaires au pays ont été fermées aux visiteurs et les membres des Forces armées canadiennes ont reçu l'ordre de ne plus sortir en public en uniforme, à moins qu'ils ne soient en fonction. >>> Plus de détails sur les victimes >>> Plus de détails sur le tireur Des policiers de l'équipe tactique et des militaires ont été déployés à divers endroits d'Ottawa. Stephen Harper en sécurité Le premier ministre, qui a été évacué de la colline parlementaire, s'est entretenu avec Thomas Mulcair, chef de l'Opposition officielle et Justin Trudeau, chef du Parti libéral. Le premier ministre s'est dit heureux que M. >>> L'évènement en photos

Indépendance : SOS Écosse ! Un vent de folie souffle sur le Royaume-Uni. Le référendum sur l'indépendance de l'Écosse doit avoir lieu le 18 septembre et tout semble indiquer que le non l'emportera. Mais la fébrilité des dirigeants britanniques est telle qu'elle accréditerait presque l'idée d'un scrutin imminent et serré. Depuis des semaines, le gouvernement conservateur souffle le chaud (un peu) et le froid (beaucoup) pour convaincre les 5 millions d'Écossais que le choix d'une indépendance pleine et entière relèverait d'un aventurisme quasi suicidaire. Les arguments ont fait mouche à en juger par la réaction courroucée d'Alex Salmond, chef du gouvernement autonome écossais et auteur du projet de référendum. Que l'ensemble de la classe politique britannique, conservateurs, travaillistes et libéraux démocrates à l'unisson, soit hostile à l'amputation du territoire national n'est que logique.

L'Écosse rejette l'indépendance VIDÉOS - Avec une participation massive au scrutin, les Écossais ont majoritairement rejeté l'indépendance de leur pays par 55% contre 45% des voix. Le suspense est terminé. Après une longue nuit pour les pro et anti, le «non» remporte le référendum sur l'indépendance de l'Écosse, avec un score de 55,3% contre 44,7% pour le camp du «oui», selon les chiffres officiels et définitifs. Pour remporter le référendum, l'un des deux camps devait obtenir plus de 1.852.828 votes. Le camp du «non» en compte 2.001.926 contre 1.617.989 pour le «oui». Ces résultats sont tombés avec retard du fait de l'impressionnant taux de participation, qui s'établit à 84,6%. À Glasgow justement, plus grande ville de l'Écosse, les électeurs ont placé le «oui» en tête avec 53% des voix contre 47% pour le «non». «J'accepte ce verdict du peuple» Le premier ministre écossais Alex Salmond, leader des pro-indépendance, a rapidement pris la parole depuis Edimbourgh, la capitale écossaise.

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