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Autoévaluer ses habiletés TIC grâce à InukTIC.

Autoévaluer ses habiletés TIC grâce à InukTIC.
Recommander cette page à un(e) ami(e) Savoir utiliser les technologies de l'information et de la communication (TIC) est devenue indispensable et ceci, dès les premiers stades du cursus scolaire. L'acquisition de ces compétences mais aussi de leur correcte évaluation contribue largement à la bonne réussite de ses études et de sa vie professionnelle. C'est dans ce cadre qu'est né InukTIC, un site destiné aux étudiants dont nous avions déjà brièvement parlé, recensant une multitude de ressources pour parfaire de façon autonome ses compétences en matière de TIC. Un parfait outil d'autoévaluation Utiliser InukTIC c'est avant tout améliorer son autonomie grâce à un accès gratuit à des "ensembles de formations" pour développer ses connaissances basiques en TIC. InukTIC s'avère être ainsi un parfait outil d'autoévaluation. Être mieux préparé à l'enseignement supérieur Les avantages d'une telle initiative sont nombreux et à plusieurs niveaux. Le site InukTIC

Pédagogie connexionniste et usages des TICE Pédagogie connexionniste et usages des TICE Julien Llanas Les élèves naviguent à travers internet en passant de site en site et en s'arrêtant plus ou moins longtemps sur chacune des pages qui capte leur attention. Ce parcours est particulier. Le chemin parcouru par l'élève prend donc la forme d'une arborescence et c'est cette arborescence qui constituera le fondement de la connaissance ou de l'opinion qu'il aura sur le sujet en question. Trois facteurs sont importants pour la constitution de l'arborescence de surf chez l'élève. Par conséquent ces trois points sont primordiaux pour le développement d'une pédagogie connexionniste adaptée à l'usage d'internet. Il est évident que la pratique du surf sur internet devient de plus en plus familière aux élèves et occupe de plus en plus de temps dans leur journée. Cet article s'inspire des thèses connexionistes en développement dans les recherches en en sciences cognitives, neurosciences, psychologie, philosophie de l'esprit et e-learning.

Apprendre de façon visuelle/spatiale “Apprendre, pour ceux qui le font de façon visuelle-spatiale, est quelque chose de soudain et se fait à partir de regroupements de données saisis de manière intuitive plutôt que dans le regroupement progressif d’éléments isolés, de petites étapes ou d’habitudes acquises par la pratique. Par exemple, ils peuvent apprendre toutes les multiplications comme un ensemble sur une table de multiplications beaucoup plus facilement et rapidement que s’ils avaient mémorisé chaque donnée séparément. Organiser: La perspective visuelle/spatiale est le principe d’organisation.Le perfectionnisme pour ceux qui apprennent de façon visuelle/spatiale correspond à un espace bien ordonné et élaboré dans lequel chaque objet est à sa place et de façon harmonieuse.Ils ne sont pas à l’aise et peuvent même être agités lorsqu’ils sont face à des situations incomplètes ou instables. Observer/Expérimenter: Les stratégies pour apprendre Prendre des habitudes en étudiant Utilisez la technologie: Pendant les cours Voir aussi

Théorie de la connaissance et modèle pédagogique ? Nathalie Bulle, sociologue de l’éducation, auteur récemment de L’École et son double, essai sur l’évolution pédagogique en France, Paris, Hermann, 2009 (rééd. 2010) était l’invitée de cette séance. L’objectif de son exposé a été de montrer qu’il existe une étroite relation entre les théories de la connaissance (l’épistémologie) et l’apprentissage scolaire. Dans un premier temps, elle a souhaité mettre en évidence les deux grandes théories de la connaissance qui sous-tendent ces deux conceptions pédagogiques : Transmettre Apprendre.La pensée occidentale s’est construite sur une opposition entre une pensée empirique, où la connaissance est essentiellement un mode d’expérience, et une pensée théorique où la connaissance se construit à partir de modèles. Pour l’Occident, la pensée platonicienne de la connaissance et de l’éducation a été particulièrement influente. L’éducation vise le développement intellectuel qui ouvre l’accès à la connaissance du bien. inShare0

Manager l’attention : un challenge pour l’entreprise de demain Cela faisait longtemps que j’avais prévu d’aborder le sujet et la présentation de Julien Le Nestour au dernier Enterprise 2.0 forum n’a fait que conforter mon intention. Face à la déferlante d’information et au temps qu’il nous faut lui consacrer pour en prendre connaissance, la traiter, la générer, le temps est une variable clé. (D’ailleurs même ignorer l’information prend du temps…). Je reste pourtant persuadé que l’affirmation selon laquelle nous sommes arrivés à un stade où nous n’avons plus le temps est erronée. Nous n’avons pas un problème de manque de temps mais un problème de priorisation. Reste à identifier les critères objectifs de la priorisation. La même logique s’applique lorsqu’il est question d’introduire un outil nouveau dans un contexte où, tout le monde l’admet, la mesure traditionnelle de ROI est plus que nébuleuse. J’ajouterai qu’un dernier niveau de complexité s’offre à nous sur le sujet. Google+

Qu'est ce qu'un bon prof ? - Clermont Gauthier, article Éducation La question des méthodes pédagogiques a toujours soulevé des discours passionnés. Au Québec comme en France, le débat fait rage autour des réformes de l’enseignement. De plus en plus de travaux soulignent l’impact d’un « effet-prof » sur les performances des élèves. À partir de travaux anglo-saxons, le chercheur québécois Clermont Gauthier propose des clés pour un « enseignement efficace », s’appuyant sur une pédagogie explicite. Au passage, il renvoie dos à dos la pédagogie traditionnelle, centrée sur la transmission de savoirs, et les pédagogies « centrées sur l’élève ». Existe-t-il des pratiques pédagogiques plus efficaces que d’autres ?

Pédagogie Freinet et Twitter Comment Twitter peut-il donner envie d’écrire ? Comment marier pédagogie Freinet et Twitter ? Une piste, montrer aux enfants une photo un peu spéciale, avec un objet pas trop facile à identifier, un gros plan sur un élément, une devinette en somme. Et pour la suite ? Prenons l’exemple de la #photodevinette [1], ce jeu collaboratif que @dawoud68 (David Hébert) a lancé, cet été 2011, sur Twitter. 4, 3, 2, 1… c’est parti ! Les premières propositions sont intuitives et ont le mérite d’obliger @dawoud68 à répondre et à orienter la suite des recherches. Et lorsque « ça » gagne, lorsque l’un de nous trouve, chacun des autres a l’impression d’avoir un peu contribué à la solution. Plaisir, construction collective, émulation, apparition progressive d’une solution et d’une réussite, groupe qui s’appuie sur les contributions de tous pour comprendre et résoudre, c’est pas du Freinet, ça ?

Faut-il "flipper" ? Flipping Classroom On parle de tectonique des plaques, de tremblement de territoires, de changement de paradigme, de grand switch dans l'organisation de nos sociétés et voici que l'univers bien clos de la classe (n'évoquait-on pas en France il n'y a pas si longtemps une école sanctuaire construite sur des fondamentaux ?) se renverse avec ce « nouveau » concept de « Flipping class ». Vraiment si renversant ? Pour de nombreux enseignants la notion n'a rien de bien nouveau : afin d'échapper à la « leçon » magistrale, ou ce qu'on appelle la lecture en université, il y a mille façons de mettre en activité un groupe d'élèves ou d'étudiants : recherches en bibliothèque ou sur internet, projets, discussions, travail en ateliers à partir de documents de tous types qui peuvent avoir été consultés préalablement à la séance. De quoi parle-t-on au juste ? La classe : un monstre fossile Quand un état ou une institution s'empare du concept La classe dont les enseignants sont des acteurs essentiels

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