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Guide méthodologique du travail en commun

Guide méthodologique du travail en commun
Quel que soit notre métier, Internet représente une révolution majeure et bouleverse nos façons d’exercer notre profession. Se connecter au réseau des réseaux nous permet de multiplier le nombre de nos partenaires, de collecter toujours plus d’informations, d’échanger des expériences, de construire en commun des connaissances. Pour cela, il faut apprendre à travailler en commun. Sa mission de centre de ressources inter-régional l’a conduit à rechercher les moyens de participer à l’évolution des modes de travail, d’analyse et de prise de décision. Le "Guide méthodologique du travail en commun" s’articule autour de sept thèmes : collecter de l’information sur Internet ;stimuler les idées ;analyser l’environnement ;élaborer une stratégie collective ;aider à la décision ;planifier le projet ;animer une réunion. Chaque thème se décompose ensuite en un certain nombre de fiches. Niveau : Professionnel

Association Tiriad - Territoires et usages numériques coopératifs Outils interactifs pour la formation à la concertation - Présentation générale Introduction Le cours « Outils interactifs pour l'enseignement de la gestion concertée des ressources et des territoires » porte sur l'utilisation de l'interactivité dans l'enseignement supérieur, en particulier pour la gestion concertée des ressources naturelles et des territoires. Les exemples et outils interactifs de ce cours s'appuient sur des expériences de concertation pour la construction de projets de territoires, la gestion de l'eau et la planification urbaine. L'interactivité est entendue ici comme toute pratique de formation dans laquelle les étudiants peuvent apporter leurs connaissances, expérimenter l'objet d'étude (ici, la concertation) pour mieux l'appréhender et pour améliorer leurs capacités à le mettre en œuvre. Le besoin pour un tel cours a été identifié sur la base : Le constat est partagé : les étudiants ne mettent que très rarement en pratique les éléments théoriques qui leur sont enseignés. Dans ce contexte, nous proposons un cours avec les objectifs suivants :

Facebook et le « paradoxe de la vie privée » Scandale : un bug de Facebook rend publics les messages privés de (certains de) ses membres. La rumeur, lancée sur Facebook, relayée par MetroFrance, reprise par la quasi-totalité des médias, (mollement) démentie par Facebook, a généré un vent de panique sur les réseaux sociaux et dans les médias... au point que le gouvernement, via Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin, vient de saisir la CNIL (MaJ : voir aussi l'interview que j'ai accordée à Arte sur ce vent de panique, et l'excellente synthèse de Michaël Szadkowski et Damien Leloup). Facebook, de son côté, dément, avançant que « les messages sont de vieux posts du wall qui ont toujours été visibles sur les profils des utilisateurs [et que] il n'y a pas eu de bug ni de violation de la vie privée », laissant entendre que cette panique collective serait due au fait que "les internautes ont simplement oublié comment ils utilisaient le wall à l'époque". Petits espionnages entre amis Licenciés à cause de Facebook, ou dénoncés par leur "ami" ?

Le "bug" Facebook ne doit pas ralentir l'adoption des réseaux sociaux en entreprise Déjà rétifs à l’adoption d’un réseau social interne, les managers risquent de se braquer encore davantage suite à la rumeur selon laquelle Facebook aurait rendu publics des messages privés. En dehors du fait que ce "bug" serait en réalité le résultat d’une confusion de la part des utilisateurs, ce vent de panique survient au plus mauvais moment. Les réseaux sociaux sont l’objet de tous les mythes, rendus opaques par des individus qui se prétendent experts en la matière et s’arrogent le droit de créer un lexique technique incompréhensible pour décrire l’univers du numérique. Il faut désacraliser les réseaux sociaux et ne pas hésiter à y recourir, car ils sont un excellent moyen pour les entreprises de booster leur compétitivité dans un contexte d’apathie économique. À l’heure actuelle, seules 23 % des organisations françaises disposent d’un réseau social en interne, et parmi elles, 72 % l’ont ouvert il y a moins d’un an selon l’enquête réalisée par SerdaLab au printemps dernier.

PagePrincipale Formation AnimacoopSe former à animer des projets de manière collaborative ! Le travail collaboratif, oui mais pourquoi ?! Vous souhaitez Introduire ou améliorer le travail collaboratif dans vos projets Découvrir ou approfondir l'animation de réseau Tester et choisir les outils numériques les plus adaptés à vos besoins Vous avez Un projet de structure, de réseau ou sur un territoire L’envie de le mener et de le dynamiser de manière collaborative Vous êtes Salarié-e des secteurs privés (associatif ou entreprise) ou publique Travailleur-se indépendant-e En création d'activité ou recherche d'emploi Bénévole associatif ... La formation Animacoop est faite pour vous ! Une formation à distance et en présence sur 3 mois Une formation à suivre en restant en poste au sein de sa structure ! Animacoop c'est aussi un réseau Une formation unique en France La formation Animacoop est une création initiale de l'association Outils Réseaux.

Comment Twitter et Facebook américanisent la liberté d’expression française Depuis quelques semaines, on assiste à une série de dérives autour de propos discriminatoires sur les réseaux sociaux. Si le phénomène n'est pas nouveau, il gagne en ampleur et en exposition. Les auteurs de ses propos s'abritent principalement derrière l'humour et la liberté d'expression. Capture d'écran du hashtag #Unbonmusulman sur Twitter. #UnBonJuifx-( twitter.com/CosaNostraAmli… — J U L I ABOND JR(@CosaNostraAmlia) October 14, 2012 Seulement, en France, notre liberté d'expression est encadrée par des lois. Dans des pays comme les Etats-Unis, cette liberté est quasiment totale. Crédits : JAMIE SABAU / GETTY IMAGES Une charte ne fait pas office de loi Avec le rapprochement des peuples et des idées qu'a provoqué Internet, la définition de la liberté d'expression s'est globalisée, adoptant tacitement la version américaine. Même si ces chartes ne remplacent pas la législation, elles infléchissent le comportement des internautes. Des recours perçus comme répressifs

Pour les logiciels libres, gratuits et de qualité // Intervention au Conseil Communautaire du Grand Lyon // 10 Septembre 2012 | Europe Ecologie Les Verts Lyon Intervention de Bruno Charles, Vice-Président Europe Ecologie Les Verts du Grand Lyon Mon intervention s’adressera tout autant au Grand Lyon qu’à chacun des Maires de notre agglomération ou peut-être à leur adjoint aux finances. En effet, à l’occasion de ce dossier, je voudrais attirer votre attention sur une décision récente de la société Microsoft qui a en effet décidé d’arrêter la maintenance de sa suite logicielle Office 2003. Cette décision va obliger nos collectivités à acheter la version 2010 de la même suite logicielle pour chacun des postes informatiques, et compte-rendu des évolutions importantes, à former nos agents au nouveau logiciel. Chaque licence coûte 300 euros et comme il y a 3000 postes au Grand Lyon, la dépense à prévoir d’ici 2014 sera de l’ordre de 900 000 euros. Or, il existe plusieurs alternatives libres, gratuites et de qualité équivalente, dont la plus connue et la plus aboutie s’appelle Libre Office.

Pour un droit d’auteur 2.0 L’IABD a été auditionnée par la mission Lescure le 17 octobre 2012. Pour présenter les questions juridiques auxquelles nous sommes confrontés, nous avons choisi de présenter deux sujets très différents, mais qui concernent tous deux des champs d’activité propres à nos métiers : la directive européenne sur les œuvres orphelines et les revues de presse dans le web 2.0 La directive européenne sur les œuvres orphelines Cette directive concerne les œuvres dont les ayants droit ne peuvent pas être retrouvés pour négocier les droits nécessaires pour les utiliser. 1° La recherche diligente des ayants droits Elle s’impose mais elle est extrêmement contraignante. Plusieurs remarques peuvent être faites. On a voulu mettre des gardes fous juridiques. Par ailleurs, dans le projet Hathi Trust lancé aux États-Unis pour préserver le patrimoine culturel, on a inclus les œuvres orphelines. Hathi Trust, enfin, représente un autre moyen d’accéder à la culture. La revue de presse 2.0 ill. Notes :

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