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Guide méthodologique du travail en commun

Guide méthodologique du travail en commun
Quel que soit notre métier, Internet représente une révolution majeure et bouleverse nos façons d’exercer notre profession. Se connecter au réseau des réseaux nous permet de multiplier le nombre de nos partenaires, de collecter toujours plus d’informations, d’échanger des expériences, de construire en commun des connaissances. Pour cela, il faut apprendre à travailler en commun. Sa mission de centre de ressources inter-régional l’a conduit à rechercher les moyens de participer à l’évolution des modes de travail, d’analyse et de prise de décision. Le "Guide méthodologique du travail en commun" s’articule autour de sept thèmes : collecter de l’information sur Internet ;stimuler les idées ;analyser l’environnement ;élaborer une stratégie collective ;aider à la décision ;planifier le projet ;animer une réunion. Chaque thème se décompose ensuite en un certain nombre de fiches. Niveau : Professionnel

Kill Your Meeting Room — The Future's in Walking and Talking | Wired Opinion “Sitting has become the smoking of our generation.” I argued this in my recent talk at TED2013 and elsewhere while advocating for the concept of “walking meetings” (or as I informally call them, “walkntalks”). Simply put: We spend more time sitting (average 9.3 hours a day) than sleeping (7.7 hours) — and it doesn’t even occur to us that this is not OK. So instead of using a standing desk, doing sitting meetings over coffee, or meeting in some fluorescent-lit conference room, I do one-on-one meetings as walks. It resolves the tradeoff between “taking care of health” and “getting stuff done.” The solution seems so obvious, yet it raises all sorts of “But…” questions: “How do you take notes?” It’s interesting that we immediately turn to technology here, that all of these obstacles revolve around technology. Nilofer Merchant has gone from admin to CEO to board member of a NASDAQ-traded company along her 20-year career. Do We Really Need to Take Notes in Meetings?

Pourquoi les Japonais ferment les yeux en réunion? Bon nombre d’Américains se demandent pourquoi les Japonais s’endorment constamment lors de réunions professionnelles. Détrompez-vous, ils ne dorment pas, au contraire, lorsqu’ils ferment les yeux c’est signe qu’ils sont particulièrement attentifs à ce qui est dit, selon un article du Japan Intercultural Consulting. Pour les Japonais, fermer les yeux permet de se concentrer sur ce qui est dit et de se débarrasser d’éléments visuels qui pourraient les distraire et donc d’accéder à une meilleure compréhension, selon l’article –et ceci d’autant plus, lors de réunions professionnelles en anglais et non dans leur langue maternelle. Contrairement aux Américains, les Japonais n’ont pas l’habitude de soutenir du regard les personnes en train de parler. Souvent, les cadres dirigeants de l’entreprise ferment les yeux lors des réunions de travail en inclinant souvent un peu la tête comme s'ils faisaient un petit somme. «Ne soyez pas énervé des silences, pauses en plein milieu d’une conversation.

Don't start group discussions by sharing initial preferences When groups of people get together to make decisions, they often struggle to fulfil their potential. Part of the reason is that they tend to spend more time talking about information that everyone shares rather than learning fresh insights from each other. In a forthcoming paper, Andreas Mojzisch and Stefan Schulz-Hardt have uncovered a new reason groups so often make sub-optimal decisions. Mojzisch and Schulz-Hardt began their investigation with a carefully controlled simulation of a real group discussion. Participants needed to consider the information available to the entire group if they were to identify the optimum candidate. A final study tested these effects in a real, face-to-face group decision-making situation. 'The take-home-message of our study is simple,' Mojzisch told the Digest. Andreas Mojzisch, & Stefan Schulz-Hardt (2010). PS.

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