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Ebola, Sida, Malaria, Choléra... héritage des plans d'ajustement structurels.

Ebola, Sida, Malaria, Choléra... héritage des plans d'ajustement structurels.
Alors que, à n’en pas douter, cette énième épidémie d’Ebola qui se répand actuellement en Afrique de l’Ouest revêt un tour de gravité jamais atteint pour cette maladie ; Alors que les chancelleries occidentales, tout en pleurant comme le crocodile devant sa victime morte, et selon la formule consacrée, "prennent toutes les précautions d’usage pour protéger leurs ressortissants" ; Alors que le Paludisme, le Sida, le choléra, la rougeole... continuent de tuer en silence et par millions, dans tous les pays pauvres et principalement en Afrique, (1) ; Alors que, une fois de plus, au prétexte de l’épidémie en cours, le continent, souffrant dans sa chair, est menacé de "mise en quarantaine" internationale généralisée, de disparition de ses dernières conditions sanitaires, de dislocation de ses infrastructures sur place, de pénuries d’approvisionnement en tout genre... Négligences et "demande non solvable..." Un continent ruiné par le racket de la Dette François Charles

Mecanisme de la dette publique, néoliberalisme et pouvoir de classe Une des forces de l'argument du remboursement de la dette publique est l'apparente neutralité de la mesure. Rembourser la dette n'est qu'une question comptable dépourvue de tout agenda caché. « Il nous faut rembourser la dette car un État ne peut vivre au delà de ses moyens ». Imparable comme position. Pourtant, en creusant un peu, il est clair que l'analyse comptable permet d'occulter une vision en termes de classe, pourtant au cœur de la gestion de la dette telle qu'elle se fait depuis plusieurs décennies. New-York, nous voici ! Si l'on évoque fréquemment la crise de la dette des pays du Sud au début des années 80, c'est pourtant à New York que va débuter un processus de dépossession des classes populaires via la dette. Étape suivante : le tiers monde Après New-York, c'est le Mexique qui aura le triste privilège d'ouvrir le bal de l'austérité. Une gestion de la dette au service du 1 % Un autre point de discordance |17| par rapport à la théorie est le choix des priorités budgétaires.

L’escroquerie de la dette publique signe la mort de la démocratie [Note perso] Le Webbot donne le 15 novembre pour un nouveau peak ... et la mi décembre pour le raz de marée final .. les "peaks" peuvent être aussi bien économiques, qu'émotionnels que terrestres ... watch out ! Rappel : L’Italie a € 2 000 milliards d’euros de dette . C’est un montant supérieur au total de la dette détenue par la Grèce, l’Irlande, le Portugal et l’Espagne réunies ! C'est pas faute d'avoir un maximum de gens qui le disent et qui l'expliquent, pas faute de voir la vague qui va arriver sur la France dans pas long (êtes vous prêt ?) , pas faute de voir les signes et .... et quoi ? Excellent article d'Olivier Bonnet : C’est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! D’une seule phrase découle l’absolue spoliation dont est victime 99% de la population : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France« . Qui gouverne ? Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Mais les éminents confrères ?

Comment TOUS nos politiques ont trahi la France depuis 1973: Pierre-Yves Rougeyron, interrogé par Pierre Jovanovic Accueil » Argent et politique, complots et théories, Géopolitique, Manipulation, Réflexion » Comment TOUS nos politiques ont trahi la France depuis 1973: Pierre-Yves Rougeyron, interrogé par Pierre Jovanovic Tous des traitres depuis De Gaulle! Je n’ai pas pu auparavant vous présenter de manière plus détaillée ce livre que j’ai eu la chance d’avoir entre les mains, faute de temps, mais me rattrape ce soir avec une interview que TOUS les français devraient voir, à défaut de pouvoir lire le livre. Je tiens rarement de tels propos, mais nous avons là une interview À VOIR ABSOLUMENT! Pour les intéressés:

Comment le FMI et la Banque mondiale ont pris le contrôle de la Tunisie - Dette illégitime Le FMI a décidé d’appliquer ses célèbres méthodes en Tunisie. Un document confidentiel, révélé fin mars par des médias tunisiens, a provoqué l’embarras des responsables politiques. En échange d’argent frais de la part du FMI [1], ceux-ci se sont engagés sur un planning de réformes structurelles, à un rythme effréné. Au programme : augmentation du prix des carburants, baisse des impôts pour les entreprises, déplafonnement des taux d’intérêt (pour permettre aux banques d’améliorer leur rentabilité), audit des entreprises publiques de l’énergie – gaz, électricité et raffinage des produits pétroliers... Ce qui laisse présager des privatisations. La recette, elle, semble avoir été préparée par les institutions financières internationales. Une dette héritée de la dictature Pourquoi un tel traitement ? La Tunisie doit-elle honorer ces dettes ? Qui a peur d’un audit ? La France reconnaîtra-t-elle ses erreurs ? Deauville, mai 2011. Agnès Rousseaux

Le parlement grec annule le droit à l’enseignement gratuit pour tous Home » Nouvelles internationales » Europe du Sud » Grèce Par Robert Stevens 3 avril 2013 Jeudi 28 mars, le parlement grec a adopté une loi, nommée Plan Athéna, qui vise à démolir l’enseignement supérieur gratuit et fourni par l’Etat. La loi a été passée de force en violation flagrante de la constitution grecque qui ne permet pas l’abolition des universités. La loi a été adoptée avec 148 voix pour et 125 contre. Athéna a pour conséquence la fermeture immédiate de quatre universités (soit dix pour cent des 40 restant). Environ 20 pour cent des instituts supérieurs d'enseignement technologique de Grèce seront également abolis et un certain nombre d’autres fusionneront pour devenir des facultés privatisés. Depuis que le Plan Athéna – qui porte cyniquement le nom de la déesse grecque de la sagesse – a été pour la première fois annoncé en janvier, des dizaines de milliers d’étudiants et de jeunes ont protesté pour empêcher son adoption.

Insider] Moi, chef-comptable dans une multinationale Vous avez été plusieurs à répondre à mon appel à témoignages sur la crise – je vous en remercie.Voici donc le premier témoignage, d’insider… N’hésitez pas à me contacter, il n’est pas trop tard si vous voulez témoigner… Je travaille dans un grand groupe, coté en bourse, qui possède une filiale dans chaque pays européen. Je travaille dans une des filiales comme chef-comptable. Depuis la crise, je constate que l’entreprise qui m’emploie s’est financiarisée. Désormais, j’oublie parfois l’activité de base de mon employeur. 1. Le but actuel, c’est d’avoir des liquidités à tout prix… quel que soit le prix à payer. Dans notre filiale, nous devions procéder à une énorme dépense d’argent. Me voilà comme chef comptable à proposer deux solutions au directeur financier : A) Payer sur fonds propres : diminution de notre compte en banque et pas d’endettement supplémentaire. Dans ces critères, les intérêts bancaires ne sont pas repris. 2. Cet expert recevait 9 000 € par an. Pourquoi ? 3. 4. Pourquoi ? 5.

Origine de la dette de l'Europe Quand Goldman Sachs aidait la Grèce à tricher pour 600 millions d’euros Goldman Sachs avait échangé de la dette grecque à un taux fictif en 2001, permettant à Athènes de maquiller ses comptes publics. Aujourd’hui le pays fortement endetté doit 600 millions d’euros à la banque américaine. Le coup de main de Goldman Sachs à la Grèce pour maquiller ses comptes lui aura rapporté quelque 600 millions d’euros, révèlent Nick Dunbar et Elisa Martinuzzi, dans un article de l’agence Bloomberg. Les deux journalistes ont recueilli les confessions de Christoforos Sardelis, chef du bureau de gestion de la dette à Athènes entre 1999 et 2004, et de son successeur Spyros Papanicolaou. Pour la première fois, l’accord qui a lié la banque d’investissement à l’Etat grec dès 2001 est évoqué publiquement par des personnes directement impliquées dans le dossier. « Une histoire sulfureuse » Goldman Sachs declined to comment about how much it made on the swaps. That didn’t work out well for Greece either.

Hollande à Athènes : pas une simple visite de courtoisie Accueil » Argent et politique, Géopolitique » Hollande à Athènes : pas une simple visite de courtoisie La Grèce n’a plus un rond, la population ne peut plus se soigner convenablement, nous sommes face à un scandale sanitaire titanesque, et notre « président normal » va tenter de fourguer des frégates multi-missions pour sauver une société française sur le déclin, la DCNS. Le souci, la Grèce n’a plus un rond, donc pas de souci, au lieu de leur vendre, Hollande va faire de la location-vente! Reste le grand mystère qui dépasse même celui du triangle des Bermudes: comment la Grèce va-t-elle payer? Le 19 février, le président français est en Grèce pour adresser « un message de confiance et de soutien » à un pays durement touché par la crise économique et la politique d’austérité.

Qui est responsable de l'endettement record de la Corrèze? Le débat sur la dette record de la Corrèze - a-t-elle explosé sous la gestion de François Hollande ou l'a-t-il au contraire stabilisée ? - s'est invité dans la campagne qui a fait de la réduction des déficits publics un thème majeur. La dette de la Corrèze, 240.000 habitants, dirigée depuis 2008 par le candidat PS devrait atteindre 363 millons d'euros fin 2012, soit un peu plus de 1.500 euros par habitant, confirmant son rang de "département le plus endetté de France". Dans son rapport (2010), la Chambre régionale des comptes du Limousin avait déjà décerné ce titre à la Corrèze, avec une dette de 1.164 euros/hab en 2009, un taux représentant "le triple de la moyenne nationale (371 euros)" et qui plaçait le département parmi les six ayant un endettement supérieur à 900 euros/hab. Le directeur général des services au Conseil général, Dominique Ceaux, confirme que la dette a été multipliée par dix entre 2001 (35 millions d'euros) et 2012.

Dette française: les aveux effarants de Michel Rocard sur la loi de 1973 Fin décembre 2012, au micro d’Europe 1, dans l’émission « Médiapolis », face à des journalistes relativement atones au regard des propos tenus, Michel Rocard a été l’auteur de déclarations effarantes, quoique connues déjà de pas mal de monde, sur les causes de la dette française. Il ne fait que confirmer que la crise de la dette actuelle est bien une création et non le résultat de comportements dispendieux fautifs. Les pigeons ne sont pas ceux que l’on croit. Sieur Rocard revient sur la fameuse loi bancaire de 1973, dite Pompidou ou Rothschild qu’il qualifie de « stupéfiante ». Cette loi , rappelons-le, interdit à la Banque Centrale de prêter directement à la France et l’oblige désormais à prêter d’abord à des banques privées qui reprêteront ensuite à l’Etat français, prélevant au passage des sommes considérables par une simple hausse des taux de crédit. Comment ne pas être scandalisé voire indigné par cette loi et même par le ton morne et blasé de Michel Rocard?

USA: la moitié de la population détient 1,1% de la richesse nationale USA: la moitié de la population détient 1,1% de la richesse nationale WASHINGTON - La moitié de la population des Etats-Unis détient 1,1% de la richesse nationale, selon un rapport du Centre de recherche du Congrès (CRS) disponible en ligne jeudi et apportant une nouvelle preuve de la montée des inégalités dans le pays depuis une quinzaine d'années. Ces chiffres, qui décrivent l'état des lieux en 2010, montrent une nette dégradation du sort de la moitié des habitants les plus pauvres du pays puisqu'ils possédaient 2,5% de la richesse nationale en 2007 et 2,8% en 2001, indique ce rapport intitulé Analyse de la distribution de la richesse entre les ménages de 1989 à 2010. Sur cette période, révèlent les chiffres du CRS, organisme indépendant chargé de documenter et d'éclairer les élus, la part de la richesse détenue par la moitié la plus pauvre du pays a atteint un pic à 3,6% en 1995 (contre 3,0% en 1989). La récession de 2007-2009 et la crise ont contribué à creuser les inégalités.

L'endettement de la France et le libéralisme stratégies planétaires FRANCEL'endettement, bombe à retardement pour imposer le libéralisme Evolution de la dette publique de la France sous les gouvernements successifs de 1981 à 2010En bleu les gouvernements de droite (dominés par l'UMP, ex-RPR), et en rose les gouvernements de gauche (dominés par le Parti Socialiste) INTERNATIONAL - Israel seeks to deploy 20,000 commandos in Greek Cyprus NICOSIA - Anatolia News Agency An Israeli soldier patrols near a building occupied by Israeli settlers in the West Bank city of Hebron. AP photo Israel wants its energy projects in Greek Cyprus to be run by Israelis and is seeking to deploy as many as 20,000 commandos for their protection, Anatolia news agency reported today. Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu and his Greek Cypriot counterpart, Demetris Christofias, met on Feb. 16 to discuss the two countries' joint ventures. Details of the talks between the two leaders were kept secret.Anatolia cited a source it said was close to the Greek Cypriot government who reportedly said Christophias specifically asked Netanyahu to convince Israeli businessmen to halt their investments in Turkish Cyprus during the meeting.

Goldman Sachs a camouflé la dette de la Grèce. Puis parié sur sa faillite De nouvelles révélations accablent la banque d’affaires américaine, qui semble avoir joué sur tous les tableaux, mettant Athènes à genoux. Et l’euro en danger. Quel cynisme! Si l’on en croit le New York Times et l’hebdomadaire allemand Spiegel, ce sont les banques de Wall Street, comme Goldman Sachs, qui ont permis à la Grèce de s’endetter en cachette, bien au-delà des limites fixées par Bruxelles. Et cela, grâce à des montages financiers complexes, qui ressemblent curieusement aux subprimes responsables de la pire crise mondiale des quatre-vingts dernières années. Et ce n’est pas tout. Mais reprenons. Le cercle vicieux C’est donc en toute légalité que Goldman Sachs a empoché une commission de 300 millions de dollars pour avoir monté l’opération. Plus dérangeant encore: la même banque investit dans des «credit default swaps», qui parient sur l’incapacité de la Grèce à honorer les intérêts de sa dette.

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