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Portail:Révolution française

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L'Histoire autrement SEHRI - documentaire Le site de l'association S.E.H.R.I. est le premier centre virtuel de documentation (archives, objets, listing) en ligne consacré à la période allant de la fin de l'Ancien-Régime au début de la Seconde Restauration. L'association a été créé en 2007 par Jérôme Croyet, Docteur en Histoire et Archiviste au AD de l'Ain dans le but de combler un manque cruel sur la période. En effet si le thème de la période Impériale a la faveur des français, celui de la Révolution comprend beaucoup moins d'intérêt pour le public alors même que les dernières recherches font toutes état d'une seule et même période, la Révolution et l'Empire ne peuvent être dissociés. Car la SEHRI, est bien une affaire et histoire d'amis et de passionnés. La SEHRI se décline en plusieurs outils internet : Les photos et documents qui forment les archives et les documents de la SEHRI sont mises en ligne dans un but patrimonial et scientifique.

Révolution française Les guerres de la Révolution française, qui ont touché une grande partie de l’Europe continentale, ont propagé les idées révolutionnaires et contribué à l'abolition de la société d'ordres en Europe occidentale, dans les « républiques sœurs » puis dans toute l'Europe[1]. La Révolution française « diffère des autres révolutions par ses exigences universalistes en ce qu'elle est destinée à bénéficier à toute l'humanité[2] ». Dès son commencement, la portée universelle des idées de la Révolution française a été proclamée par ses partisans et l'ampleur de ses conséquences soulignée par ses détracteurs[3]. Considérée par la majorité des historiens comme un des événements majeurs de l'histoire mondiale[4], la Révolution a été un objet de débats[5] ainsi qu'une référence controversée durant les deux siècles qui l'ont suivie, en France et dans le monde[6]. Chronologie et périodisation La France dans les années 1780 La société française Résistance à la monarchie absolue et désir de réforme Été 1789

Les symboles révolutionnaires. - L'ARBR- Les Amis de Robespierre Accueil > Nos outils pédagogiques > Pour le Collège > Les symboles révolutionnaires. Fiche du Musée de la Révolution Française de Vizille dimanche 1er mars 2015 L’usage des symboles remonte à l’Antiquité, leurs formes se codifiant au cours des XVIe et XVIIe siècles. Pour asseoir la légitimité du nouveau régime, les révolutionnaires devaient relever un double défi : d’une part saper la confiance du peuple dans l’Ancien Régime, d’autre part susciter la foi envers le régime républicain. Succédant à une monarchie inscrite dans les esprits à travers les symboles comme la fleur de lys, la couronne, le sceptre, le drapeau blanc, le portrait même du roi, la jeune république parvint très rapidement à se forger ses propres signes de reconnaissance et d’adhésion : Les symboles, entités visuelles plus ou moins simples mais très pédagogiques – elles pouvaient être reconnues facilement par le peuple –, jouèrent un rôle de premier plan dans ce processus.

Manifeste des Enragés Manifeste des Enragés 25 juin 1793 Délégués du peuple français, Cent fois cette enceinte sacrée a retenti des crimes des égoïstes et des fripons ; toujours vous nous avez promis de frapper les sangsues du peuple. L’acte constitutionnel va être présenté à la sanction du souverain ; y avez-vous proscrit l’agiotage ? Non. La liberté n’est qu’un vain fantôme quand une classe d’hommes peut affamer l’autre impunément. Cependant, ce n’est qu’en arrêtant le brigandage du négociant, qu’il faut bien distinguer du commerce ; ce n’est qu’en mettant les comestibles à la portée des sans-culottes, que vous les attacherez à la Révolution et que vous les rallierez autour des lois constitutionnelles. Eh quoi ! Les riches seuls, depuis quatre ans, ont profité des avantages de la Révolution. Eh quoi ! La liberté du commerce est le droit d’user et de faire user, et non le droit de tyranniser et d’empêcher d’user. O rage, ô honte du XVIIIème siècle ! Mais les assignats perdent beaucoup dans le commerce...

Institut de Recherche et d'Etude de la Libre Pensée I.R.E.L.P. Des nouvelles de l’IRELP Après avoir mis en ligne le texte de la Conférence de Dominique Goussot, dans le cadre de l’Université Populaire, sur "le droit de la famille", nous mettons aujourd’hui sur notre site ( l’enregistrement de la cérémonie de donation des archives relatives à la construction du film (...) Robespierre et la télévision publique Mercredi 7 mars 2012, une émission est diffusée sur France 3. Elle se situe dans la série « L’ombre d’un doute », titre qui évoque moins Hitchcock que les procédures judiciaires. Dans une époque où l’on confond Histoire et procès, culture et jeux télévisés, cela se comprend à défaut de s’admettre. Pour une lieu public Robespierre à Pariscommuniqué et précisions de l’IRELP Lettre aux libres penseurs et aux lecteurs de la Raison

29 septembre 1793 - Loi du « maximum général » Le 29 septembre 1793, en pleine Terreur, les députés de la Convention votent la loi du « maximum général » qui bloque les salaires et les prix, pour donner satisfaction aux sans-culottes qui s'indignent des pénuries et proclament haut et fort : « Guerre aux accapareurs ». La loi impose un prix maximum pour les produits de première nécessité, variable selon les régions et en général supérieur d'un tiers aux prix courants de 1790. Le maximum des salaires est quant à lui de moitié supérieur au niveau moyen de 1790. C'est la première fois qu'un gouvernement intervient de la sorte sur le marché.

Procès-verbal de la proclamation de l’abolition de la royauté (dans Archives parlementaires de 1787 à 1860) Convention nationale, 21 septembre 1792 dans Archives parlementaires de 1787 à 1860 (1897) Le Président. Une compagnie de chasseurs, organisée en compagnie franche, demande à prêter serment devant l’Assemblée et à défiler dans son sein. Je consulte la Convention sur son admission. Collot-d’Herbois. Le Président. Collot-d’Herbois. Quinette. Grégoire. Le Président veut mettre la proposition aux voix. (Tous les membres de l’Assemblée se lèvent par un mouvement spontané ; et, par des acclamations unanimes, ils protestent leur haine contre une forme de gouvernement qui a causé tant de maux à la patrie.) Basire. Plusieurs membres : À l’ordre ! Basire. Grégoire. Ducos, l’aîné. Billaud-Varenne et plusieurs autres membres : Appuyé ! Manuel. Un membre : Je demande que le premier qui sera assez lâche pour proposer un roi à sa patrie, soit condamné à mort. D’autres membres : La clôture ! (L’Assemblée ferme la discussion.) (Il se fait un profond silence.) Le Président. Thuriot. Rabaut de Saint-Étienne.

La Révolution Française par l'image Charlotte Corday Le conflit entre les Girondins et les Montagnards à la Convention Créée le 20 septembre 1792 pour succéder à l’Assemblée législative, la Convention fut dominée dès ses débuts par les affrontements entre le parti de la Gironde et celui de la Montagne. Tout semblait opposer ces deux factions : les Girondins, issus de la bourgeoisie provinciale des grands ports côtiers et dirigés par Brissot, Vergniaud, Pétion et Roland, se montraient attachés au libéralisme économique et, affichant des positions modérées, étaient peu enclins à prendre des mesures d’exception pour sauver la république ; les Montagnards, au contraire, que l’on appelait ainsi parce qu’ils siégeaient sur les plus hauts bancs de l’assemblée, se distinguaient par leurs positions beaucoup plus radicales et hostiles à la monarchie. Charlotte Corday et l’assassinat de Marat La première période de l’histoire de la Convention, du 21 septembre 1792 au 2 juin 1793, est marquée par cette rivalité entre Girondins et Montagnards.

Nuit du 4 août 1789, abolition des droits féodaux, MJP Article 1. L'Assemblée nationale détruit entièrement le régime féodal. Elle décrète que, dans les droits et devoirs, tant féodaux que censuels, ceux qui tiennent à la mainmorte réelle ou personnelle, et à la servitude personnelle, et ceux qui les représentent, sont abolis sans indemnité, et tous les autres sont déclarés rachetables, et que le prix et le mode du rachat seront fixés par l'Assemblée nationale. Ceux desdits droits qui ne sont point supprimés par ce décret, continueront néanmoins à être perçus jusqu'au remboursement. Article 2. Le droit exclusif des fuies et colombiers est aboli.

Accueil des Amis de Robespierre Camille Desmoulins (1760 - 1794) - Le journaliste de la Révolution Camille Desmoulins, né à Guise en Thiérache, au nord-est de la Picardie, devait rappeler plus tard ses origines, se décrivant volontiers comme « patriote picard ». Fils d'un petit magistrat, il suit de bonnes études au lycée Louis-le-Grand à Paris, où il fait la connaissance d'un autre élève : Maximilien de Robespierre. Puis, passant sa licence, il devient avocat en mars 1785. Mais peu doué pour l'art oratoire, étant bègue et timide, Camille connaît jusqu'au début de la Révolution des années de galère. D'emblée, en mai 1789, ce jeune homme ardent et junévile est enthousiasmé par l'ouverture des états généraux à Versailles. L'aventure révolutionnaire Le début de sa carrière politique date du 12 juillet 1789. Après la prise de la Bastille, le jeune homme fait publier deux pamphlets qui ont un grand retentissement et le font connaître dans les milieux révolutionnaires. En novembre 1789, Desmoulins lance son premier journal, un hebdomadaire, Les Révolutions de France et de Brabant. Épilogue

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