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Global Partage - out by capa press closed rights

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Google Timelapse vous montre à quel point la Terre a changé en plus d’un quart de siècle Développé par les autorités américaine, le Time et Google, le projet Timelapse vous permet de voir l’évolution de la surface de la Terre grâce à 30 ans d’images prises par satellites. D’incroyables images qui vous permettront de voir concrètement l’évolution de notre planète. Ce projet permet d’observer la déforestation en Amazonie, la fonte des glaciers ou encore l’extension de Las Vegas ou des côtes de Dubaï. Ce procédé de « timelapse » consiste à faire défiler en accéléré des images prises à intervalle régulier à échelle planétaire est devenu réalité grâce à des millions d’images satellites prises au cours de ces trente dernières années, comme l’explique Google dans un article sur leur blog, du jeudi 9 mai. Une utilisation ingénieuse des images satellites de ces 30 ans dernières années Elles nous montrent vraiment que la Terre change à toute vitesse, même si on peut ne pas s’en apercevoir tout de suite.

The Sharing Economy Doesn’t Share the Wealth Every time Ian Haines rents out his spare room in the Australian port city of Albany, Airbnb takes a 13 percent cut. Haines, who’s semi-retired, uses the extra money to supplement his income running a local farmers market. He says he’s careful to pay taxes on the Airbnb money, because the San Francisco company may report the transactions to the Australian government. For Airbnb, things are different. Because it manages its finances via units in Ireland and tax havens like Jersey in the Channel Islands, only a small part of its share of the revenue is ever likely to be taxed by Australia or the U.S. This is the challenge that Airbnb, like Uber and other companies in the so-called sharing economy, poses for the world’s treasuries. “These companies are the future,” says Stephen Shay, a former top international tax lawyer at the U.S. It’s not always a zero-sum game; the newer businesses can expand the overall market. Airbnb officials declined to discuss tax strategies.

LaTraverse3_Bolobolo.html Imaginer et préparer une sortie du capitalisme Par Les Renseignements Généreux Depuis la crise financière de 2008, les critiques du capitalisme se multiplient. Chaque semaine ou presque sort un nouveau livre expliquant combien ce système mène l'humanité au désastre par le creusement des inégalités sociales, le renforcement des oligarchies, l'approfondissement des crises économiques, des catastrophes industrielles et environnementales... Parmi ces ouvrages, très peu proposent de nouvelles visions positives de la société, des alternatives possibles au capitalisme. Publié en 1983 par l'écrivain suisse P.M., le livre bolo'bolo fait partie des rares ouvrages osant aborder toutes ces questions de front. Automne 2010, souvenons-nous. Puis, en quelques semaines, le reflux des luttes, l'enterrement médiatique, l'arrogance gouvernementale. Nous avons besoin de visions positives Qu'aurait-il fallu pour que ce gouvernement plie ? La proposition bolo'bolo Une fédération de petites communes 1. 2. 3. 4.

Petit lexique de contre-propagande « Winston laissa tomber ses bras et remplit lentement d’air ses poumons. Son esprit s’échappa vers le labyrinthe de la doublepensée. Connaître et ne pas connaître. En pleine conscience et avec une absolue bonne foi, émettre des mensonges soigneusement agencés. La langue française est probablement l'une des plus difficiles à maîtriser. La tendance semble s’être inversée depuis lors. La télévision et le cinéma de masse, de plus en plus vulgaires, propagent un langage de plus en plus ordurier, obscène et vide de sens. En vérité, par rapport à il y a seulement dix années, tout semble aller de plus en plus mal ; par ailleurs, nous n'avons jamais été en démocratie, en dépit des assurances constantes et contraires à ce sujet des politiques, des journalistes et des intellectuels. Il s'agit d'une entreprise de démolition volontaire, exécutée avec méthode, qui, à force, produit son effet. Envahir les esprits est bien plus efficient et radical que de mener une invasion militaire classique (1).

Action pour la Paix Groupe Béna Edgar Morin : « Nous avançons comme des somnambules vers la catastrophe » Pourquoi la vitesse est-elle à ce point ancrée dans le fonctionnement de notre société ? La vitesse fait partie du grand mythe du progrès, qui anime la civilisation occidentale depuis le XVIIIe et le XIXe siècle. L’idée sous-jacente, c’est que nous allons grâce à lui vers un avenir toujours meilleur. Plus vite nous allons vers cet avenir meilleur, et mieux c’est, naturellement. C’est dans cette optique que se sont multipliées les communications, aussi bien économiques que sociales, et toutes sortes de techniques qui ont permis de créer des transports rapides. Je pense notamment à la machine à vapeur, qui n’a pas été inventée pour des motivations de vitesse mais pour servir l’industrie des chemins de fer, lesquels sont eux-mêmes devenus de plus en plus rapides. Cela est-il donc si nouveau ? Dans les temps anciens, vous vous donniez rendez-vous quand le soleil se trouvait au zénith. Cette quête de vitesse n’est-elle pas une illusion ? En quelque sorte si. Prenez l’exemple du déjeuner.

Le cri d’une femme, d’une mère : Il nous faut désobéir, c'est urgent ! Désobéir comme un mode de vie tranquille, sincère. Une révolution en douceur. Nul besoin de violence, juste une morale et une saine détermination qui prennent un sens total. Que mes fils me voient indignée et méfiante à l'égard de tous les grands de ce monde qui ne parviennent plus à stopper cette machine destructrice lancée à vive allure tel un tombereau sur nos vies. Mais qui peut encore croire tout cela ? Têtes inclinées, regards à ras le sol devant l'autoritarisme, la violence verbale ou physique, la justice, la police, l'argent, les crédits, les banquiers, les chefs, les petits-chefs, l'école, les profs, les imams incultes, les prêtres intégristes, les cyniques, les ambitieux sans morale, les calculateurs et les bouffis d'orgueil, sans compter les imbéciles, et encore, et encore… Désobéir comme relever la tête et se reconnaître à nouveau unique et fort dans un respect constructif du bien commun d'une république pas bananière, pas corrompue. Source

Distinguer bien commun et bien(s) commun(s) Bien commun et bien(s) commun(s) C’est à Thomas d’Aquin que l’on doit la notion philosophique de bien commun, bonum communis. L’évolution de cette notion demande un rappel historique, et philosophique, pour mieux comprendre la nécessaire distinction entre « Bien commun » et « biens communs ». Ce court texte, cette fiche même, réunit quelques remarques, écrites trop rapidement, que j’espère utiles s’agissant d’une notion extrêmement ancienne, et même chargée historiquement, mais qui n’est utilisée que depuis peu dans notre secteur [1]. Un peu d’étymologie Non seulement les notions, mais le vocabulaire lui-même proviennent des romains. Bien vient de bene, adverbe, avec lequel on fabrique : bene dico = dire du bien (bénédiction), bene facio = faire du bien (bienfait, mais aussi bénéfice), benevolentia = bon vouloir (bienveillance, bénévole), benignus, opposé à malignus = malin, avare, (bénin, Bénines). Commun vient de communis, adjectif = commun, accessible. Le(s) bien(s) commun(s)

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