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La triade de la sécurité de l’information

La triade de la sécurité de l’information
On dit souvent que les entreprises deviennent sérieuses sur la sécurité après qu’une catastrophe ait affecté leur résultat opérationnel. La sécurité de l’information a trois caractéristiques fondamentales - disponibilité, confidentialité et intégrité - mais ces trois aspects n’ont pas encore la même importance auprès des entreprises. Traditionnellement, nous avons pris en compte la dimension de disponibilité. C’est la caractéristique qui « parle » aux directions métiers. Si le système n’est pas disponible, l’entreprise s’arrête. Beaucoup de sociétés ont investi des sommes importantes dans des plans de reprises d’activité, des systèmes redondants à haute disponibilité, des utilitaires de sauvegarde et récupération des données. Aujourd’hui, la confidentialité des données est le sujet à la mode en matière de sécurité. Demain, le débat se focalisera sur la dernière caractéristique : l’intégrité. C’est la bataille qui s’annonce.

Sécurité informatique La sécurité informatique est un domaine qui relie diverses techniques, applications et dispositifs en charge d’assurer l’intégrité et la confidentialité de l’information d’un système informatique et de ses utilisateurs. Place dans l'entreprise Aujourd’hui, l’entreprise peut mettre en œuvre des mesures de sécurité afin de réduire les risques d’attaque et d’intrusion.- Sécurité par rapport à la menaceIl existe deux types de sécurité dépendant de la nature de la menace : Sécurité logique : des logiciels de sécurité, des outils informatiques, etc.Sécurité physique : maintenance électrique, anti-incendie, humidité, etc. - Menaces à un système informatiqueLes menaces peuvent être liées soit à la sécurité d’un système informatique soit à celle d’un individu : Malware : des logiciels tels que des virus, trojans, Worms, le phishing, le spamming, etc. Les applications de l'IE - Organiser la recherche d'information et en connaître les limites - Anticiper et gérer les risques informatiques :

Cadre juridique des administrateurs réseaux Les administrateurs réseaux assurent le fonctionnement normal et la sécurité du système informatique de leur employeur. Ils sont susceptibles d’avoir accès, dans l’exercice de cette mission, à des informations personnelles relatives aux utilisateurs (messageries, logs de connexion, etc.). L’accès par les administrateurs aux données enregistrées par les salariés dans le système d’information est justifié par le bon fonctionnement dudit système, dès lors qu’aucun autre moyen moins intrusif ne peut être mis en place. Ils doivent dès lors s’abstenir de toute divulgation d’informations qu’ils auraient été amenés à connaître dans le cadre de l’exercice de leur mission, et en particulier les informations relevant de la vie privée des employés ou couvertes par le secret des correspondances, dès lors qu’elles ne remettent pas en cause le fonctionnement technique ou la sécurité des applications, ou encore l’intérêt de l’employeur.

Administrateur réseaux Présentation L’administrateur systèmes et réseaux a pour mission d’offrir un réseau informatique de qualité à l’entreprise. Pour conduire des projets informatiques, administrer le réseau et apporter un support aux utilisateurs, il doit : Établir les exigences de performance du réseau ;Définir les projets d’extension, de modification du réseau ;Configurer et mettre à jour le matériel à intégrer au réseau ;Développer des tableaux de bord de performances du réseau ;Mettre en place et contrôler les procédures de sécurité (droits d’accès, mots de passe etc.) ;Apporter son aide aux utilisateurs sur un problème lié au réseau ;Prévenir les anomalies et les pannes de fonctionnement du réseau ;Faire de la veille technologique. Missions L'administrateur réseaux est l'homme-orchestre du système informatique d’une entreprise. En amont, il analyse les besoins des futurs utilisateurs en matière de qualité, de rapidité, de facilité d’accès et de sécurité.

ISO 27002 Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La norme ISO/CEI 27002 est une norme internationale concernant la sécurité de l'information, publiée en 2005 par l'ISO, dont le titre en français est Code de bonnes pratiques pour la gestion de la sécurité de l'information . L'ISO/CEI 27002 est un ensemble de 133 mesures dites « best practices » (bonnes pratiques en français), destinées à être utilisées par tous ceux qui sont responsables de la mise en place ou du maintien d'un Système de Management de la Sécurité de l'Information (SMSI). Cette norme n'a pas de caractère obligatoire pour les entreprises. Historique[modifier | modifier le code] En 2007, la norme ISO/CEI 17799:2005 étant obsolète, a été remplacée par la norme 27002 qui en reprend l'essentiel. Objectifs[modifier | modifier le code] ISO/IEC 27002 est plus un code de pratique, qu’une véritable norme ou qu’une spécification formelle telle que l’ISO/IEC 27001. La norme ISO 27002 n'est pas une norme au sens habituel du terme.

Axel Raemaekers, Administrateur de système informatique Axel Raemaekers, 30 ans, est consultant indépendant depuis 2002 auprès de PME. "Mon intérêt pour l’informatique est né sur les salons informatiques où le hasard m’a conduit au plus jeune âge", indique-t-il. Comment se déroule concrètement l’administration d'un système informatique ? Il s’agit de surveiller la disponibilité du système, par exemple si les requêtes des utilisateurs envers les serveurs sont suivies d’une réponse dans des délais normaux. Pour maintenir une qualité de service, une rapidité du traitement des demandes des utilisateurs, il faut maintenir le système optimal en effectuant des opérations de maintenance, des redémarrages, des mises à jour. Cela implique souvent de travailler lorsque les autres ne travaillent pas. A quels problèmes techniques êtes-vous le plus souvent confronté dans l’exercice de votre métier ? Les latences ou ralentissement du réseau, l’augmentation des délais de réponse des l’ordinateur dans les applications.

Administrateurs de réseaux : entre sécurité informatique et protection des salariés L'administrateur de réseaux a en charge la mise en place, la maintenance et la sécurité des systèmes d'information de l'entreprise. Il cherche notamment à éviter les risques d'intrusions ou de virus, à prévenir les fuites de savoir-faire ou de fichiers clients, et à s'assurer d'une utilisation normale par les salariés des systèmes informatiques de l'entreprise. Lorsqu'il ne prend pas les mesures nécessaires à cette mission, il risque de manquer aux obligations définies dans son contrat de travail et d'engager sa responsabilité civile et pénale, tout comme celle de l'entreprise. Pour assurer cette sécurité, il est tenu de surveiller l'usage que font les salariés de la messagerie et de l'accès à internet mis à disposition par l'entreprise. Or, cette surveillance, autrement appelée "cybersurveillance", peut également dans certains cas engager sa responsabilité. En quelques années, le rôle et la responsabilité de l'administrateur de réseaux ont été largement précisés.

Échecs & Stratégie: Échecs & intelligence artificielle Une nouvelle machine apprend les échecs en 3 jours et se hisse parmi les meilleurs joueurs au monde d'après un article de MIT Technology Review Une machine apprend les échecs en 3 jours et se hisse parmi les meilleurs joueurs au monde... sans force brute. Pour la première fois, et grâce au machine learning, l'auto-apprentissage des machines, une intelligence artificielle utilise un autre raisonnement que la force brute pour battre ses adversaires aux échecs et rejoint, en 72 heures, les 2,2% de machines les plus performantes au monde. Près de 20 ans après la victoire de Deep Blue contre Garry Kasparov, les ordinateurs ont largement pris le dessus sur les humains en termes de performance aux échecs. Conçue par Matthew Lai, de l’Imperial College London, « Giraffe » privilégie un raisonnement davantage humain : considérer l’échiquier dans son ensemble pour réduire d’emblée le nombre de voies de recherche les plus pertinentes, au lieu de jouer virtuellement chaque coup.

Failles de sécurité et fautes informatiques — Droit des technologies avancées L’actualité en 2011 a fait l’objet de très nombreuses illustrations de failles de sécurité et de piratages informatique. Les derniers en date concernent le vol des données personnelles de plus d'un million de comptes clients du groupe de jeux Sega et du géant de l'électronique Sony en exploitant des failles de sécurité pour s'introduire dans les serveurs de leur site internet. Les attaques visent non seulement les systèmes d’information des entreprises mais également ceux de l’État. Les pirates n’hésitent pas à s’attaquer aux systèmes d’information des plus hautes instances comme l'Elysée, le Quai d'Orsay ou le ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, victimes de tentatives de piratage et d’intrusions. Les attaques se multiplient partout dans le monde jusqu’à viser des établissements stratégiques ; le FMI, la Banque mondiale ou encore la bourse électronique américaine Nasdaq se sont ajoutés à la liste des institutions victimes de cyberattaques. La problématique

LES ASPECTS JURIDIQUES DU METIER D’ASR « Guide de Bonnes Pratiques pour les Administrateurs Systèmes et Réseaux Ce chapitre rédigé par le groupe de travail GBP a été réalisé à partir de diverses formations et conférences juridiques données par Maître BARBRY du cabinet Bensoussan [22]. Référentiel légal du métier d’ASR Il n’existe pas de référentiel légal concernant le métier d’ASR. Autrement dit, le terme d’« Administrateur Systèmes et Réseaux » n’apparaît dans aucune loi, décret ou texte réglementaire, contrairement au Correspondant Informatique et Liberté (CIL), dont la fonction et les responsabilités sont bien définies dans un cadre légal. Deux points sont tout de même à noter. Tout d’abord, l’arrêté du 18 juillet 2010 relatif au secret défense [23] parle de l’administrateur dans sa fonction « sécurité » : on commence donc à lui attribuer un statut juridique dans un cadre particulier. La jurisprudence nous apporte également quelques précisions sur le régime juridique des ASR. L’ASR, de par sa fonction, a des accès privilégiés aux ressources et systèmes de son unité. [forum : annoter le chapitre]

EMC : Un hacker bien patient Un hacker bien patient Tribune de Bernard Montel, Directeur Technique de RSA pour la France, la Russie et l'Europe de l'Est Il n'y a pas si longtemps, pour réussir une attaque, il fallait opérer le plus rapidement possible. Les hackers identifiaient un ou plusieurs points faibles (vulnérabilités) dans les mécanismes de défense de leurs cibles et ils s'en servaient comme vecteur d'attaque, la plupart du temps sous la forme de campagnes de dénis de service. Le temps que les ressources de l'organisation s'organisent pour mettre au point une défense, le mal était fait. A mesure que le marché de la sécurité a gagné en maturité et que des contre-mesures plus sophistiquées ont été déployées, une nouvelle méthodologie d'attaque est apparue, qui dépendait beaucoup moins cette fois du critère de 'rapidité'. A présent, les changements intervenus au niveau des types et des flux des données font qu'il est plus compliqué encore de détecter ces attaques.

Pour une éthique de la révélation de faille de sécurité 1 La Commission européenne a lancé en juillet 2011 une consultation sur les règles pratiques de noti (...) 2 Par exemple, l’institution financière Morgan Stanley a envoyé par la poste aux services fiscaux de (...) 3 Deux clefs USB contenant les données d’identification non chiffrées de deux millions d’électeurs c (...) 4 En 2011, le réseau de Sony, PSN (PlayStation Network), a été victime d’attaques. Il s’agit d’un po (...) 1À l’heure actuelle, il ne se passe pas un jour sans que la presse relaie l’exploitation d’une faille de sécurité ayant eu pour conséquence l’accès à des données confidentielles ou la diffusion de données personnelles. La prise de conscience du risque de diffusion de données personnelles est récente, comme en témoignent les derniers projets européens visant à obliger les entreprises à informer les victimes et à verser de substantielles indemnités1. Les fuites de données ne sont pas pour autant forcément la résultante d’une faille logicielle. 1. 10 « 1. 2. 1. 2.

Etude : les cybercriminels se faisant passer pour des utilisateurs légitimes représentent le risque de sécurité le plus élevé Etude : les cybercriminels se faisant passer pour des utilisateurs légitimes représentent le risque de sécurité le plus élevé Les cyber-attaques consistant à pirater les comptes à privilèges et administratifs, c’est-à-dire les identifiants utilisés pour contrôler et utiliser l’infrastructure IT d’une organisation, constituent la principale menace de sécurité dans les entreprises, selon une récente étude conduite par CyberArk. 61% des personnes interrogées ont retenu l’usurpation de comptes à privilèges comme étant le type de cyber-attaque le plus difficile à contrer, contre 44% du même avis l’année dernière. En outre, 48% pensent que les violations de données résultent des mauvaises habitudes des employés en matière de sécurité, tandis que 29% attribuent ceci à la sophistication des attaques. CyberArk a analysé les divergences potentielles entre les cyber-menaces préjudiciables et la confiance qu’une organisation accorde à son système de sécurité. · Piratage de mots de passe (72%)

Faille de sécurité : avertissement public de la Cnil Faille de sécurité. La société DHL Express France vient de faire l’objet d’un avertissement public prononcé par la formation restreinte de la Cnil, le 12 juin dernier, sur deux manquements importants à la loi Informatique, fichiers et libertés. D’une part, un manquement à l’obligation d’assurer la confidentialité et la sécurité des données (art. 34 de la loi informatique et libertés) et d’autre part, un manquement à l’obligation de définir une durée de conservation des données traitées, proportionnée à la finalité du traitement (art. 6-5° de la loi informatique et libertés). Dans cette affaire, la Cnil avait été alertée suite à une faille affectant directement la sécurité des données collectées par DHL et comportant les demandes de « relivraison » des colis. Laure Landes-Gronowski Pauline Binelli-WaintropLexing Droit Informatique et libertés

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