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Barbarie disent-ils… - Fondation Frantz Fanon Les décapitations filmées d’otages occidentaux en Irak et d’un randonneur français en Algérie suscitent légitimement un sentiment d’horreur et une condamnation unanime et sans appel. Ces assassinats insensés ne peuvent être le fait que de criminels pervers au service d’une idéologie déviante. Ces mises en scène macabres viennent à la suite d’images tout aussi insoutenables montrant des exécutions de masse d’hommes désarmés. Ces assassinats médiatiques sont représentés par les organes de propagande comme des actes irrationnels d’une radicale altérité, quasiment non-humaine. Dans un amalgame éhonté mais clairement assumé, les musulmans d’ici et d’ailleurs, suspectés de connivence « culturelle » avec les assassins, sont sommés par des policiers de la pensée de se désolidariser publiquement de ces crimes. Ces arguments d’une propagande essentialiste visant à diaboliser des communautés toutes entières sont odieux et totalement ineptes.

Éros chez les peuples autochtones On en parle sur un ton léger. Les universitaires en font pourtant un sujet des plus sérieux. Dans tous les peuples du monde, la sexualité occupe une place cruciale, animée et nourrie par le désir, assurant la survie. Éros et tabou, qui vient de paraître aux éditions Septentrion, aborde un sujet négligé par la communauté scientifique à ce jour mais combien passionnant : la question de la sexualité des peuples autochtones de l’Amérique du Nord. Sous la plume de l’historien Denys Delâge, des anthropologues Bernard Saladin d’Anglure et Frédéric Laugrand ou de l’historien Gilles Havard, on plonge dans les moeurs sexuelles des peuples inuit, lakota, pawnee ou arikara. Ceux qui pensent trouver là une description de sociétés à la sexualité permissive et débridée, comme l’ont fantasmé les Européens, seront déçus. Bestialité proscrite Ainsi, dans les sociétés inuites d’avant le contact, où les animaux sont les égaux des humains, le tabou absolu est la bestialité. Des mariages arrangés

Un monument de l’ethnologie : Lévi-Strauss: la première biographie, actualité Littérature francophone Daniel Fabre - anthropologue Daniel Fabre est anthropologue et directeur d’études à l’EHESS. De 1993 à 1997, il a présidé le Conseil de la Mission du Patrimoine ethnologique du Ministère de la Culture. Après avoir débuté par des recherches sur la littérature orale, le carnaval, les communautés rurales et l'anthropologie des écritures ordinaires, ses intérêts actuels portent sur la théorie de l'initiation ; les formes modernes du culte de l'artiste et de l'écrivain ; l'anthropologie des arts et de la littérature ; l'histoire européenne du regard ethnologique. Emmanuel Laurentin - journaliste Emmanuel Laurentin, né le 21 février 1960 à Poitiers, est un homme de radio français, animateur sur France Culture de La Fabrique de l'histoire, émission qu'il a créée en 1999. Il fait également partie du comité de rédaction de la revue L'Histoire. Monique Levi-Strauss - écrivain Monique Lévi-Strauss, née Monique Roman, est née en 1926, à Paris. Emmanuelle Loyer - professeur d'histoire

The model and the San How can I begin to tell the story of the Ju/’Hoansi-San people? There are so many stories to tell, and they are the original storytellers. They have hunted and gathered for centuries, and they have left a long legacy of taking responsibility for the natural world around them, which they understand to be their provider. The San have always been survivors who adapt against the odds, and perhaps this is partly due to their exemplary ethos of sharing everything they have with each other. San hunters stalking prey using bows and poisoned arrows ©Christian Boix The Ju/’Hoansi-San people of the Nyae Nyae The country that we now call Namibia was settled by hunter-gatherers at least 100,000 years ago. Most people have heard of the Maasais, the Zulus, and many other indigenous groups across Africa but, for some reason, the San are often overlooked. San children playing together ©Christian Boix A San tribesman prepares a freshly caught animal for consumption ©Aleksandra Ørbeck-Nilsen

Orion (mythologie et histoire des constellations). La constellation d'Orion est incontestablement la plus belle des toutes. Elle renferme deux étoiles de la première grandeur et plusieurs de la seconde. Elle occupe un champ très vaste aux cieux, au sud du Taureau et des Gemeaux. Elle a trois belles étoiles vers le milieu, qui sont de seconde grandeur, et disposées en ligne droite, l'une près de l'autre. La tradition populaire les appelle les trois Rois. On fait Orion fils de Poséidon et d'Euryale, fille de Minos (Hyginus, Germanicus, Eratosthène, Théon). Ceux-ci le font naître d'Hyrée, ceux-là de Caubrisa, d'autres de Musée roi des Bistoniens, et racontent ainsi sa naissance (Germanicus, Hyginus). Son influence sur les mers en fit un fils de Poséidon; car on appela astres de Poséidon suivant Théon, ceux qui exercent leur influence sur les eaux. On apperçoit aisément comment ce mythe s'articule avec les phénomènes astronomiques. Lorsqu'Orion retourna à Chio, Oenopion s'était caché sous la terre, pour échapper à sa vengeance.

L'esprit des hommes de la Terre de Feu - Editions Xavier Barral Martin Gusinde est l’un des rares occidentaux à avoir vécu parmi les peuples Selk’nam, Yamana et Kawésqar. Le photographe et missionnaire allemand effectue quatre voyages en Terre de Feu entre 1918 et 1924. Il s'immerge en profondeur au sein de ces sociétés jusqu'à parler la langue et être introduit aux rites initiatiques. Les 1200 clichés qu’il rapporte, réalisés à la chambre photographique portable, constituent un témoignage unique sur ces peuples aujourd’hui disparus. Les Éditions Xavier Barral ont entrepris la numérisation et la restauration de ce fonds conservé à l'Anthropos Institut à Sankt Augustin en Allemagne. Les photographies de Martin Gusinde laissent peu de place aux paysages, encore moins à des séquences de vie quotidienne. Afin d’accompagner ce voyage visuel en Terre de Feu, plusieurs textes croisent les études antérieures et plus récentes sur le sujet pour rendre compte d’un état actuel de la recherche : « Ouvrir grands les yeux » par Christine Barthe

Danila Tkachenko / Projects / Escape I was traveling in search for people who have decided to escape from social life and lived all alone in the wild nature, far away from any villages, towns or other people. The main characters of my project violate social standards for different reasons. By a complete withdrawal from society they go live alone in the wild nature, gradually dissolving in it and losing their social identity. While exploring their experience, it is important for me to understand if one is able to break free from social dependence and get away from the public to the subjective - and thus, to make a step towards oneself. I am concerned about the issue of internal freedom in the modern society: how feasible it is, when you’re surrounded by a social framework all the time? School, work, family - once in this cycle, you are a prisoner of your own position, and have to do what you're supposed to.

« L’identité n’est pas essentielle, nous sommes tous des passants » Une nouvelle conscience planétaire émerge, qui se joue des appartenances et des frontières. Il est temps d’inventer une démocratie pour notre temps, estime Achille Mbembe, historien et philosophe. Le Monde | • Mis à jour le | Par Achille Mbembe (Historien et philosophe) Par Achille Mbembe, historien et philosophe Il n’y a pas longtemps, l’on prétendait délimiter avec plus ou moins de précision la frontière entre ici et ailleurs. L’humanité a en commun le fait qu’il n’y a pas de monde, de société ou de communauté dont le fondement ne trouve son origine dans une idée ou une autre de la dette. Cette forme originaire de la dette nous place dans l’obligation de léguer à ceux et celles qui viennent après nous un monde autrement possible. Lire aussi : Une Nuit des idées pour repenser un monde commun Par ailleurs, le propre de l’humanité, c’est le fait que nous sommes appelés à vivre exposés les uns aux autres, et non enfermés dans des cultures et des identités. Forces obscures et perverses

Ségolène Lavaud Michal, Avant-propos et Présentation, Jacques Roumain et Jacques-Stephen Alexis métamorphosés par leurs peintres À Franck-Edouard et Virginie Avec mes remerciements pour leur patience et tolérance avec leur mère. En toute complicité. tableau de Guy Dupuy D.R., collection privée Depuis la date de la soutenance de cette thèse en 2004, Haïti a subi de nombreuses catastrophes, la pire fut le séisme du 12 janvier 2010, qui a ravagé une importante partie du pays. Une nouvelle écriture, une peinture différente, découlent des expériences et des émotions ressenties avec leurs douleurs, leurs violences. Le Mémoire de Maîtrise (Master 1) – Jacques Roumain et Jacques-Stephen Alexis ; Le éalisme merveilleux de deux écrivains haïtiens métamorphosé par leurs artistes peintres, « boss metal » et sculpteurs (2004) – est particulièrement bien reçu, tel un « bel objet » et « une approche innovante ». Le mémoire de DEA (Master 2) – Beauté et élégance ; Personnages emblématiques de romans des XIXet XXe siècles – est soutenu en 2005. Avant d’entrer chez eux, marquons notre respect par la tradition : « Honneur et Respect »

Textes en ligne (index) Les liens de cette page localisent, par genre, les textes des auteurs en ligne exclusivement sur Île en île. Certains dossiers d'auteurs contiennent également des études sur les auteurs. Vous pouvez également consulter les données littéraires du site Île en île par ordre alphabétique du nom de l'auteur ou par région, à partir de la page de base de la rubrique littérature. Bande dessinée: Berger, Bernard. Retour: tous droits réservés © 2002-2015 mise en ligne : 26 février 2002 ; mise à jour : le 19 juillet 2015 ShareThis Copy and Paste

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