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Apprentissage actif : l’étude qui pourrait révolutionner les manières d’enseigner

Apprentissage actif : l’étude qui pourrait révolutionner les manières d’enseigner
Atlantico : Les méthodes d'apprentissage "actives" (débat, discussion, travail de groupe...) seraient plus efficaces que la simple lecture selon une étude de Scott Freeman, chercheur en sciences de l'éducation à l'université de Washington. Les étudiants qui se contentent d’utiliser la lecture traditionnelle verraient le risque d'obtenir un D ou un F augmenter de 55 %. Comment expliquer les effets bénéfiques de l'apprentissage collaboratif ? Quel rôle l'oral joue-t-il dans la mémorisation ? Richard Etienne : Le fait de passer de l'écrit à l'oral, de multiplier les supports, permet d'obtenir de meilleurs résultats. C'est ce que proposent les nouvelles méthodes d'apprentissage. Consacrer 10% du temps en classe à ces nouvelles méthodes d'apprentissage suffirait à améliorer les résultats des élèves. Selon moi, il s'agit plutôt d'un pallier à introduire afin de développer ces méthodes. La France emploie-t-elle ces méthodes d'apprentissage ? Non la France n'applique pas ces méthodes. Ligatus Related:  zigueApprendre à apprendreCollaboratif

Aménager autrement sa salle de classe : une clé de la réussite des élèvesLeWebPédagogique Depuis le début de l’année scolaire, j’ai pris l’habitude de m’exiler dans d’autres salles que la mienne. J’ai enseigné dans la classe de mon collègue d’Arts plastiques, au CDI, en salle informatique, dans la salle polyvalente, dans une prairie surplombant la ville ou dans les couloirs des musées. L’activité menée avec les élèves justifie de changer d’espace de travail. Rester entre les quatre murs de ma classe limite ma pratique professionnelle : les élèves n’ont pas accès à un ordinateur hormis le mien (je reste donc le principal pourvoyeur d’informations), je manque de ressources papiers (dictionnaires, atlas, magazines attendent patiemment au CDI), le seul vidéoprojecteur interactif de l’établissement est en salle informatique et le lot d’IPAD un matériel dont je rêve encore. J’ai la chance d’occuper la même salle tout au long de la semaine. 1. « Ce qui est important: c’est de savoir que la disposition de la salle où va avoir lieu la formation ou l’enseignement, n’est pas neutre.

Créer de bonnes habitudes de mémorisation | Mémoire & Concentration ©stockxpert_orla Vous savez quoi ? Le principal problème avec les techniques de mémorisation, c’est de s’en rappeler ! Sérieusement, il existe quantité de méthodes et d’exercices pour stimuler la mémoire, mais si vous ne prenez pas l’habitude de les utiliser, vous allez les oublier… Quelle que soit la mnémotechnique, vous devez faire un effort conscient pour l’appliquer jusqu’à ce qu’elle devienne automatique. C’est comme cela qu’on développe sa mémoire. Nous sommes tous conscients du fait qu’il est possible de développer nos mémoires avec des exercices quotidiens prévus pour une augmentation graduelle de la difficulté; Comme la pratique régulière d’un sport augmente nos capacités physiques. Nous pouvons donc stimuler notre mémoire grâce à de simples activités quotidiennes du cerveau. Donnez-vous l’ordre d’enregistrer. 2 Exercices simples pour stimuler la mémoire à long terme 1° Vous souvenez-vous de 15 détails de votre vie au moment de la mort de la princesse Diana ?

Votre style d’apprentissage est-il plutôt orienté cerveau droit ou cerveau gauche ? Depuis sa parution en 2005, l’ouvrage de Daniel Pink «L’homme aux deux cerveaux» a plutôt fait parler de lui. Capitalisant sur les recherches menées en neurosciences, l’auteur propose une vision vulgarisée sur les différences entre les 2 hémisphères cérébraux, et pourquoi, selon lui, il devient indispensable que nous élargissions notre manière de penser vers davantage de créativité (et donc à mieux faire fonctionner notre «cerveau droit»). C’est au hasard de mes promenades sur le web que j’ai découvert une infographie assez sympa, qui résume très bien les différences entre «cerveau gauche» et «cerveau droit». Je vous propose de découvrir l’infographie ci-dessous, et les éléments-clés qu’elle avance en termes de styles d’apprentissage.

Les travaux en équipe Problèmes possibles dans une équipe... Différents problèmes peuvent survenir dans un travail d'équipe. Le plus important est de réagir sans trop de délai, puisque plus la frustration augmente chez certains membres de l'équipe, plus il sera difficile de régler les difficultés dans l'harmonie et ainsi demeurer une équipe efficace. Dans le cas d'un conflit en raison d'une attitude ou d'un comportement négatif de la part d'un ou d'une membre (retard, absence, qualité insuffisante du travail), essayez d'éviter d'en discuter à son insu et exprimez-lui directement ce qui vous dérange (évaluez s'il est pertinent de le faire en présence ou non des autres membres de l'équipe). Si vos horaires sont difficilement conciliables, vous pouvez tenter de planifier des réunions plus courtes, mais qui vous permettront de conserver une cohérence dans le travail. Finalement, débutez le travail le plus tôt possible. Rédigé par : Dominique Dubé, psychologue

L'éducation positive ou comment contrer la peur de l'échec Claire Bondel , maman, globe trotteuse et fondatrice d’une école bilingue, nous livre ici sa vision de l’éducation française, à l’opposé de l’éducation positive. Les français sont caractérisés par une grande peur de l’échec car on nous répète souvent enfants : « Il est interdit de se tromper ! ». Claire Bondel prône au contraire une école basée sur l’acceptation de l’erreur et la valorisation des talents. Inculquer la peur de l‘échec a quatre conséquences très néfastes : Nous gagnerions à enseigner à nos enfants qu’il existe autant de normes que de cultures. La fille de Mme Bondel répétait souvent au sujet de l’école « Je suis fatiguée d’avoir peur de me tromper ». Le travail pour se convaincre qu’on est capable de réussir (enfant ou adulte) est long et nécessite un déclic. Les enfants doivent apprendre à surmonter leurs échecs, à en faire des forces, des points d’appui pour recommencer différemment.

Comment apprendre une leçon ? | Histoire sans parole Posted by admin on septembre 4th, 2012 Puisque certains ont du mal à apprendre, voici quelques règles de base pour réviser et apprendre une leçon. Voici une méthode possible pour apprendre une leçon : D’abord, apprendre c’est quoi ? * Mémoriser ce qui est le plus important * Vérifier qu’on a compris, qu’on sait utiliser ce qu’on a mémorisé Apprendre doit se faire au bon moment 1- choisir le moment de la journée qui nous convient le mieux 2- pas forcément les deux étapes au même moment 3- revoir plusieurs fois Pour apprendre sa leçon : • Apprendre par cœur les titres et sous-titres : ils sont utiles pour savoir organiser la synthèse • Faire la liste des mots-clés de chaque leçon (pas trop !) • placer les dates sur un axe chronologique • relire toutes les méthodes notées dans le cahier et vérifier que l’on sait faire • replacer les lieux à connaître sur un fond de carte jusqu’à la connaître sans fautes • Vous pouvez aussi faire une fiche sur la leçon : Chiffres importants à retenir : Mon résumé:

La pyramide des besoins de Maslow d’un point de vue pédagogique | madamemarieeve Le psychologue Abraham Maslow a établi une hiérarchie des besoins en faisant des recherches sur la motivation. Il a ainsi réalisé, dans les années 1940, la pyramide des besoins. Le fonctionnement doit être perçu tel un escalier. Voici l’explication de chacun des niveaux. Besoins physiologiques: Ils sont liés à la survie. Besoin de sécurité : Ce besoin se réfère au fait que tout individu doit se protéger des dangers. Besoin d’appartenance et affectif : Ce besoin a une dimension sociale. Besoin d’estime : Il est le prolongement du besoin précédent. Besoin de s’épanouir : Ce besoin se retrouve au sommet des aspirations humaines. Nous devons tenir compte, en tant qu’enseignant, de ces besoins. Voilà donc la pyramide vue sous un regard ayant une vision pédagogique: Besoins physiologiques : L’enseignant doit toujours s’assurer que l’enfant est prédéterminé à écouter. Aussi, les enseignants doivent s’assurer qu’il y a une surveillance constante des jeunes. J’aime ça :

Les 5 pratiques incontournables pour un social learning réussi Avantages du social learning Il favorise l’émergence naturelle de formations « informelles » entre collègues, là où la formation à distance ne proposait que des apprentissages formels non sociabilisés. En encourageant les apprenants à l’interaction via des forums, blogs, messageries, en créant un suivi de la formation et de ses évènements via des fils d’actualités ou autres tweets, il n’est plus question d’une transmission ascendante de savoir mais d’une co-construction du savoir. Ce qui d’une certaine façon humanise l’apprentissage et le fait parfois sortir du cadre initial pour le rendre plus attractif et dynamique. Il se crée une fusion entre le temps de travail et d’apprentissage. 1 – Créer une communauté d’apprenants Pour qu’ils communiquent, coopèrent et participent efficacement. 2 – Inciter à la production d’idées et aux actions collaboratives 3 – « Gamifier » l’approche collective 4 – Encourager l’entraide entre les apprenants et la responsabilisation de chacun

Plaidoyer contre l’évaluation permanente Science, art, finance, etc. : aujourd'hui tout est évalué selon des grilles de critères. Il faut sortir de cette évaluation à outrance, c'est l'analyse en forme de plaidoyer que nous livre la philosophe Barbara Cassin. L'ouvrage collectif que nous avons publié est d’abord un cri d’alarme, et même d’indignation, poussé par un ensemble de professionnels de tous les métiers. Tout financement passe par les grilles d'évaluation Toute politique, donc tout financement, passe par les grilles d’évaluation. Nous étouffons derrière les grilles. D’abord, notre vécu de citoyens, de chercheurs : nous étouffons derrière les grilles. Les grilles sont dictées par la peur de juger Les grilles sont dictées par la peur de juger, et par la peur tout court. La nouveauté ne rentre dans aucune case Car le grand absent de tout ce dispositif, c’est l’invention. Détournons les grilles !

Apprendre Vite et Bien | Lecture Rapide, Mémoire et Mind Map pour Apprendre Vite et Bien Apprendre avec créativité - Formations Louis LÉVY Apprendre à apprendre avec créativité Introduction La question qui se pose fréquemment à moi est : « comment puis-je apprendre des notions et des informations nouvelles ? Comprendre La première étape de l’apprentissage est non de me demander ce que je vais stocker dans ma mémoire mais bien d’abord ce qu’il y a à comprendre de l’ensemble des messages et des notions qui me sont proposées. S’imprégner Je dois ensuite m’imprégner rapidement par une lecture en diagonale du thème et de l’idée générale du sujet, sans surtout tenter de mémoriser. Lâcher prise Une condition essentielle d’un apprentissage aisé est le lâcher prise, c’est-à-dire ne pas se crisper, paradoxalement ne pas essayer de tout mettre dans la mémoire à court terme qui on le sait se sature très vite. Relier Car mémoriser c’est créer des liens. Déclencheurs Ces liens sont des déclencheurs de souvenirs et le travail d’apprentissage sera de savoir où se trouvent les déclencheurs. Faire confiance Déconstruire Relire

Les pratiques collaboratives dans l'éducation - François Taddei Paris Innovation Review – Nos systèmes éducatifs sont-ils toujours adaptés à un monde qui change à une vitesse sans cesse plus grande, qui est de moins en moins vertical et hiérarchique et de plus en plus horizontal et collaboratif ? François Taddei – Nos systèmes éducatifs sont fondés sur la résolution de problèmes classiques. Typiquement, pour entrer dans une grande école, il faut passer des concours qui consistent pour l’essentiel à résoudre des problèmes ordinaires. Or il y a d’autres formes d’intelligence, comme la résolution de nouveaux problèmes. Par exemple, dans les start-up, les hackerspace ou encore les communautés d’informaticiens, les participants sont jugés sur leur capacité à faire quelque chose que les autres n’avaient pas fait jusque-là, ce qui est très différent de faire la même chose que d’autres ont déjà fait mais plus vite. Le problème avec la première forme d’intelligence (la résolution de problèmes classiques), c’est que les machines savent l’appliquer.

Catherine MEURISSE, Mes hommes de lettres Mercredi 19 août 2009 3 19 /08 /Août /2009 19:30 Catherine MEURISSE Mes hommes de lettres : petit précis de littérature française Paris : éditions Sarbacane, 2008. Née en 1980, ancienne élève de l’école Estienne, Catherine Meurisse est dessinatrice pour de nombreux organes de presse, adulte et enfant, parmi eux Charlie Hebdo dont elle rejoint l’équipe en 2005. Illustratrice de livres pour la jeunesse, la jeune femme publie également des bandes dessinées chez divers éditeurs. C’est son dernier album que nous allons découvrir. Lorsque l’on catalogue, il est plaisant de pouvoir ranger tel ouvrage dans telle catégorie. Mes hommes de lettres se compose d’une succession de saynètes, invitations au voyage à travers l’histoire de la littérature française, du Moyen Âge à nos jours. Au gré du texte et des images, une multitude de voix s’élève. Derrière toutes ces voix transparaît celle de l’auteur principal. Un regret cependant, que ce livre ne soit pas plus long. Marie-Charlotte, A.S. inShare

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