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Vidéo 799 : Une oeuvre expliquée de Paul Cézanne (1839- 1906) " Le garçon au gilet rouge" - peinture à l'huile sur toile (vers 1889)

Après la période de ses débuts (1859-1871), Cézanne de 1872 à 1876 traverse la période impressionniste, qui le conduira à une période constructive (1878-1890) et enfin à une période synthétique jusqu'en 1906. Le Garçon au Gilet Rouge. (vers 1889). Faire glisser le doigt de la souris devant les diverses rubriques, pour afficher le contenu. Dans ce tableau, plusieurs éléments semblent s'extirper de la composition de l'oeuvre: - Les bras du jeune garçon semblent disproportionnés. - L'oreille droite est immensemment démesurée, à l'image d'un pavillon qui capterait tous les sons, malgré l'air absent du personnage. - La couleur rouge: Les tâches rouges apparaissent chez Cézanne dès 1866 sous la forme d'un étrange objet dans une nature morte à laquelle on donne habituellement le titre : Crâne et bougie . Sans doute la couleur rouge a-t-elle une vocation pour l'hétérogène. Les pensées de Paul Cézanne à méditer.

Montagne Sainte-Victoire en vidéo, Cézanne Reportage : E. Refait / G. Beaufils / I. Palmer Cézanne et la Sainte-Victoire C’est essentiellement dans la dernière partie de sa vie, entre 1882 et 1906 (année de sa mort) que Paul Cézanne se prit de passion pour la montagne Sainte-Victoire. Paul Cézanne - Montagne Sainte-Victoire (1887) - Courtauld Institute of Art - Londres © Courtauld Institute of Art - Londres Entre la Sainte-Victoire peinte en 1887 et celle réalisée vingt ans plus tard, il y a des années de recherche autour des volumes, de la lumière.Ce qui était dessiné avec une certaine précision devient suggéré par le pinceau de l’artiste qui voulait rendre l’émotion de la lumière. Paul Cézanne - Sainte-Victoire vue des Lauves (1904-1906) - Kunstmuseum Bâle © Kunstmuseum Bâle Mais cette passion de Cézanne pour la Sainte-Victoire lui fut peut-être fatale : c’est lors d’une séance de travail sur la montagne que l’artiste aurait contracté la pneumonie qui allait lui coûter la vie.

Paul Cézanne - Autoportrait La Maison du pendu, Auvers-sur-Oise La Maison du pendu, Auvers-sur-Oise [ image principale ] figure parmi les trois toiles que Cézanne présente à la première exposition impressionniste organisée en 1874 chez le photographe Nadar, boulevard des Capucines à Paris. Comme les autres, l’œuvre est alors raillée par le critique d’art Maurice Leroy à qui l’on doit le terme « impressionnisme ». Mais s’agit-il vraiment d’une œuvre impressionniste ? Ce tableau n’annonce-t-il pas déjà, dans son approche de l’espace et de la perspective, ce qui fera la singularité de Cézanne ? Cézanne et Pissarro à Auvers-sur-Oise Pour beaucoup, Auvers-sur-Oise rime avec Van Gogh. En août 1872, Cézanne rejoint Pissarro à Pontoise, puis l’accompagne à Auvers-sur-Oise où il séjourne pendant plus d’un an. Au contact de l’impressionnisme Pissarro fait découvrir à Cézanne la peinture de plein air [ image 1 ]. L’espace autrement Une œuvre reconnue du vivant de l’artiste

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