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Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive. «Toutes les guerres sont des erreurs», confie le général australien Peter Cosgrove, qui dirigeait les forces australiennes en Irak en 2003. «Dans le cas de l'Irak, ajoute le Suédois Hans Blix, il y a eu une tentative de la part de certains pays d'éradiquer des armes de destruction massive qui n'existaient pas». L'invasion, le 20 mars 2003, de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis fut en effet une immense partie de poker menteur qui se solda par plusieurs centaines de milliers de morts. L'«Axe du Mal» Saddam Hussein était-il impliqué dans les attentats du World Trade Center (11 septembre 2001)? Une «tache» dans la carrière de Colin Powell Une «faillite» du renseignement américain Aucune arme de destruction massive n'a été retrouvé en Irak. L'enjeu pétrolier

« Un cas d’école » pour juger les dictateurs Le jugement est historique et crée un précédent. Un dictateur jugé dans un autre pays. Vingt-six ans après la fin de son règne sanguinaire, qui a fait plus de 40 000 morts, l’ex-président du Tchad Hissène Habré a été condamné à la prison à vie pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre. Quelle est l’importance de ce procès ? D’abord, il démontre la capacité des États à poursuivre les crimes internationaux, à jouer leur rôle dans la lutte contre l’impunité. Est-ce que ça rend la Cour pénale internationale (CPI) moins nécessaire ? Au contraire, la CPI est fondée sur l’idée que ce sont les États qui ont la responsabilité de juger. Est-ce que ce genre de procès est plus efficace ? Oui. […] Des efforts comme ça, de soutien de la communauté internationale à des initiatives nationales, c’est la voie de l’avenir, à mon avis. Où ce précédent pourrait-il être répété ?

Quels pays ont le plus augmenté leur budget militaire? La réponse en carte | Les cartes week-end Un texte de Danielle Beaudoin Entre 2000 et 2015, la Chine a augmenté de 396 % ses dépenses militaires, selon les chiffres de l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI). Le budget militaire chinois est aujourd'hui le deuxième en importance dans le monde, loin derrière celui des États-Unis. On constate sur la période de 15 ans un rattrapage technologique assez rapide de la Chine, qui inquiète bien des acteurs internationaux, dont les États-Unis. Comparez l'évolution des dépenses militaires dans le monde entre 2000 et 2015 en dollars constants (2014) : En raison de données incomplètes, une trentaine de pays sont absents de cette carte. Source : SIPRI. Le Vietnam a augmenté ses transferts d'armes de presque 600 % sur 5 ans. L'experte explique que cette région du monde est le théâtre de conflits territoriaux notamment en mer de Chine méridionale. Elle note qu'il y a aussi « beaucoup de goulots d'étranglement en Asie sur le passage des marchandises ». Et l'Afrique?

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Le péché des Occidentaux Des douzaines de voitures, de camions et d’autobus s’arrêtent devant un pensionnat de jeunes filles. Des hommes armés en descendent. Ils pénètrent à l’intérieur de l’immeuble, réveillent les collégiennes et les enlèvent. Avant de repartir, ils mettent le feu au pensionnat. Deux cent soixante-seize adolescentes enlevées pour être vendues comme esclaves. Est-ce un film ? Une histoire comme celle-là, une histoire aussi cruelle, avec des victimes aussi innocentes, avec des méchants aussi pervers, avec un destin aussi injuste, on ne devrait parler que de ça. Pourtant, non. Pourquoi ne sommes-nous pas sur la trace des adolescentes comme nous le fûment sur celle du vol MH370 ? Ça c’est passé dans la petite ville de Chibox, au Nigeria. On est tellement peu informés sur cet enlèvement collectif que bien des gens, cette semaine, sur les réseaux sociaux, dénonçaient monsieur Boko Haram. Deux cent soixante-seize collégiennes sont disparues, enlevées par la bêtise humaine.

Alep, cimetière moral William FortinCandidat à la maîtrise en études internationales, Durham University (Royaume-Uni) Je suis arrivé dans ce monde un froid matin de juillet 1992, réchauffé par le corps de ma mère. Malgré l’amour de mes parents, je ne peux m’empêcher de penser comme il n’était probablement pas facile pour eux de faire entrer un être si fragile dans un monde aussi glacial. Effectivement, je suis né pendant que se déroulaient, à des milliers de kilomètres, certaines des plus terribles atrocités du siège de Sarajevo. Le siège de Sarajevo fut l’une des premières guerres à défiler en boucle sur nos écrans de télévision. Le monde brûlait sur CNN et l’on assistait aux événements comme l’on aurait regardé un téléroman, une fiction. Deux ans plus tard, ce sera au tour des collines rwandaises à se teindre de rouge au téléjournal. La réalité de la guerre dans nos vies Il y a une réalité sociale, juridique et économique à la guerre que peu de gens connaissent, du moins au Québec.

Le Conseil de sécurité demande de protéger les hôpitaux dans les conflits | International Ce texte fait suite au bombardement d'hôpitaux et de cliniques en Syrie, au Yémen ou en Afghanistan et rappelle que de telles attaques, si elles sont délibérées, constituent des crimes de guerre. La résolution avait été mise au point notamment par la Nouvelle-Zélande, l'Égypte --qui préside le Conseil en mai-- l'Espagne et l'Uruguay. Une clinique a été détruite vendredi à Alep (nord de la Syrie), quatre jours après le bombardement d'un hôpital de la ville par le régime syrien qui a fait 25 morts. En octobre 2015, un raid américain sur un hôpital de Médecins sans frontières (MSF) à Kunduz en Afghanistan a fait 42 morts. Une enquête américaine a conclu à une simple série d'erreurs. «Stoppez ces attaques», a demandé au Conseil la présidente internationale de MSF Joanne Liu. Elle a exigé en particulier des membres permanents du Conseil (États-Unis, Russie, France, Royaume-Uni, Chine) qu'ils «montrent l'exemple».

Le Conseil de sécurité demande de protéger hôpitaux et médecins dans les conflits Nations unies — Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté mardi à l’unanimité une résolution qui réaffirme que les personnels de santé et les installations médicales doivent impérativement être protégés lors des conflits. Ce texte fait suite au bombardement d’hôpitaux et de cliniques en Syrie, au Yémen ou en Afghanistan et rappelle que de telles attaques peuvent constituer des crimes de guerre. La résolution avait été mise au point notamment par la Nouvelle-Zélande, l’Égypte — qui préside le Conseil de sécurité en mai — l’Espagne et l’Uruguay. « L’une des raisons de l’adopter est la multiplication des attaques contre les hôpitaux en Syrie », a expliqué à des journalistes l’ambassadeur français François Delattre. Cette résolution, a-t-il estimé, doit « permettre de lutter contre l’impunité face aux horreurs dont sont victimes les hôpitaux et les personnels médicaux dans les conflits armés ». L’an dernier, MSF a recensé 94 attaques contre des hôpitaux et cliniques qu’il soutient en Syrie.

Congo : comment 6 millions de morts peuvent-ils être placés sous silence médiatique ? Un génocide est en cours, plus de 6 millions de personnes (dont pour la moitié des enfants de moins de 5 ans !) ont été massacrées dans l'indifférence générale et avec l'appui des États-Unis et de l'Europe ! Des centaines de milliers de femmes et de filles ont été violées et mutilées par les armées d'occupation. Et tout cela pour une raison principale : s'emparer des richesses minières exceptionnelles dont recèle le sous-sol du pays... On connait la méthode, on amplifie certaines nouvelles et on en dissimule d'autres tout aussi horribles. Un génocide dont ont été complices nos dirigeants et la communauté internationale En plein centre de l'Afrique, le Congo est un pays riche, rempli de matières premières (diamants, or, étain, gaz, pétrole, uranium, coltan...), de forêts, d'eau, de femmes et d'hommes, d'une multitude de tribus rassemblées sous une nation dessinée par les colons, et qui ne correspond historiquement à pas grand-chose. Et les Occidentaux dans tout cela ? ?

«Un kamikaze ne se radicalise pas seul» Spécialiste des phénomènes de radicalisation, le sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar, directeur d’étude à l’Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS), auteur notamment de Radicalisation (Maison des sciences de l’homme, 192 pp., 2014), analyse pour Libération les profils des auteurs d’attentats-suicides. Jamais il n’y avait eu jusqu’ici d’attaques-suicides en France. Est-ce un tournant ? Jusqu’ici, les attaques jihadistes commises sur le sol français étaient toujours ciblées, visant par exemple Charlie puis la communauté juive, en janvier 2015, ou des militaires français musulmans, comme le fit Merah avant de s’attaquer à une école juive de Toulouse. Comment devient-on kamikaze ? Dans les organisations jihadistes opérant aujourd’hui en Syrie ou en Irak, l’offre de volontaires prêts au sacrifice suprême est telle qu’il n’y a que l’embarras du choix pour sélectionner ceux qui feront des missions suicides. Est-ce qu’il y a un parcours type ? Marc Semo

« Déclaration universelle des droits de l'homme » Haut de page Pour commémorer son adoption, la Journée des droits de l'homme est célébrée chaque année le 10 décembre. Ce document fondateur continue d’être, pour chacun d’entre nous, une source d’inspiration, et pour promouvoir l'exercice universel des droits de l'homme. Pour aller plus loin Droits des enfants, des femmes, des minorités... Préambule Considérant que la reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables constitue le fondement de la liberté, de la justice et de la paix dans le monde. Considérant que la méconnaissance et le mépris des droits de l'homme ont conduit à des actes de barbarie qui révoltent la conscience de l'humanité et que l'avènement d'un monde où les êtres humains seront libres de parler et de croire, libérés de la terreur et de la misère, a été proclamé comme la plus haute aspiration de l'homme. Considérant qu'il est essentiel d'encourager le développement de relations amicales entre nations. 1.

L'ONU et les droits de l'homme On entend par droits de l’homme un ensemble de droits essentiels à notre existence comme êtres humains. Sans ces droits, nous ne pouvons pas cultiver ni exercer pleinement nos qualités humaines, notre intelligence, notre talent et notre spiritualité. Tsuneko Akamatsu, membre de la Chambre des conseillers, lit la Déclaration universelle des droits de l'homme, au Siège provisoire de l'ONU, à Lake Succes (1950). Photo © ONU En adoptant la Déclaration universelle des droits de l’homme en 1948, les Nations Unies ont fixé une norme commune pour tous les pays. Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Tout individu a droit à : la vie, la liberté et la sûreté de sa personne; la liberté d’expression; ne pas être tenu en esclavage; un procès équitable; l’égalité devant la loi; la liberté de circulation; une nationalité; se marier et fonder une famille; un travail; un salaire égal pour un travail égal.

Diefenbunker Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Diefenbunker Le nom de ce lieu historique a été inspiré par celui du premier ministre John Diefenbaker, qui en a ordonné la construction. Histoire[modifier | modifier le code] La construction de cet abri est décidé le 21 août 1958 [réf. nécessaire], pendant la Guerre froide. À l'intérieur du bunker, une station de Radio-Canada constitue un lien avec le public canadien. Le bunker n'a jamais servi, bien que le gouvernement de Diefenbaker ait eu la ferme intention de l'utiliser pendant la crise des missiles de Cuba en 1962[réf. nécessaire]. Les appareils, tels que les climatiseurs et les chaudières reposent sur des ressorts géants. Tunnel d'entrée du bunker Caractéristiques[modifier | modifier le code] Le Diefenbunker a été conçu pour résister à des bombes nucléaires de cinq mégatonnes explosant à répétition à une distance de 1,8 km. Avant que l'emplacement de Carp ne soit choisi, jusqu'à 15 endroits près d'Ottawa ont fait l'objet de recherches.

Documentaires | Doc humanité | ICI Radio-Canada.ca Télé Raccourcis clavier pour la console audio-vidéo Partager cette vidéo Heure actuelle 0:00 Chargé: 0% Progression: 0% Seekbar Handle Captions Settings Dialog Beginning of dialog window. Désolé, le contenu demandé n'est plus disponible. Poursuivrele visionnement Recommencerà partir du début Le 6 avril 1994, l’avion transportant le président rwandais Juvenal Habyrimana est abattu au-dessus de Kigali. Par le biais des témoignages de survivants, de spécialistes et du lieutenant-général Roméo Dallaire, le documentaire revient sur les événements tragiques qui ont changé à tout jamais la vie de ceux qui les ont vécus. Photo : Avanti Groupe

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