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Août 1914, la mobilisation générale

Août 1914, la mobilisation générale
Le 1er août 1914, l’ordre de mobilisation générale est décrété en France. Tous les Français soumis aux obligations de la conscription universelle masculine en vigueur doivent donc quitter leur foyer et revêtir l’uniforme. Retour sur un processus d’une ampleur jusque-là inconnue. Qui est mobilisé ? Tous les Français soumis aux obligations militaires de la conscription. La période de réserve terminée, le citoyen est versé dans l’armée territoriale. Aux premiers jours d’août, ce sont donc environ trois millions cinq cent mille Français et quatre millions d’Allemands qui sont mobilisés. Le trait commun à ces armées mobilisées tient surtout à la jeunesse de leurs unités d’active. L’annonce de la mobilisation La mobilisation générale est annoncée le 1er août 1914 dans l’après-midi : vers 16 heures en France, vers 17 heures en Allemagne. Depuis Paris, l’ordre de mobilisation a été télégraphié aux préfectures. L’appel du tambour redouble celui de la cloche. Le départ des foyers

PartiPris.info » Le glorieux passé de l’austérité 1 – 1918-1925 : Dette, inflation et dogmatisme monétaire Le 28 juin 1919, cinq ans jour pour jour après l’attentat de Sarajevo, les représentants des États vainqueurs de la première guerre mondiale se retrouvent dans la galerie des glaces du château de Versailles pour signer le traité du même nom. La guerre finie, les difficultés commencent. Et en particulier les difficultés économiques. La première question qui se pose est bien sûr celle de la reconstruction. Des pays entiers sont dévastés, des villages rasés, des villes en ruine. Dans une Europe encore très agricole, des milliers de kilomètres carrés de terres arables ont été rendus incultivables par le labourage intensif des obus. Comment reconstruire ? Pour payer ses dettes, la France demande réparation. « L’Allemagne paiera », exige Clémenceau. Troisième et dernière difficulté de l’après-guerre : les désordres monétaires et financiers.

histoires inédites et histoires officielles de la Première Guerre mondiale Tardi et la grande guerre L’exposition phare du 41e Festival est aussi un événement d’actualité : Tardi et la Grande Guerre donne le coup d’envoi des commémorations du centenaire de 14-18, tout en célébrant l’un des plus grands auteurs de la bande dessinée contemporaine. © JacquesTardi - Casterman Hanté depuis toujours, à travers son histoire familiale et son parcours d’artiste, par la dimension effroyable de la Guerre de 1914 – 1918, cette « Grande Guerre » qui devait être la « Der des der » pour tout ceux qui l’avaient vécue dans leur chair ou même seulement approchée, Jacques Tardi a commencé voilà presque quarante ans à en faire la matière d’une partie significative de son oeuvre. Son intérêt pour le sujet ne s’est jamais démenti depuis. Unanimement salués par les historiens pour la justesse du témoignage et la rigueur de la représentation, ses albums C’était la guerre des tranchées ou plus récemment Putain de guerre !

Afficher l'image d'origin Texte de : La chanson de Craonne Chanson anonyme écrite sur la musique de "Bonsoir m'amour" (Adelmar ou Charles Sablon, le père de Germaine et Jean) à laquelle on doit sans doute le succès de cette valse dont les paroles, aujourd'hui, font presque sourire. Son texte recueilli par Paul Vaillant-Couturier (1892-1937), avocat puis journaliste et finalement député, qui, entré dans la guerre avec un certain enthousiasme, en sorti socialiste, revendicateur même mais surtout pacifiste. Sous-officier, en 1914, dans l'infanterie; il termina la guerre capitaine dans les chars d'assaut non sans avoir été blessé, gazé, cité à l'ordre de la Nation mais aussi condamné cinq fois pour son action en faveur de la paix. Vivement condamné par les autorités militaires (qui offrirent une petite fortune à celui qui en dénoncerait l'auteur) elle fut connue sous plusieurs noms dont : "Les sacrifiés", "Sur le plateau de Lorette" et "La chanson de Lorette". Paroles RefrainAdieu la vie, adieu l'amour, Adieu toutes les femmes. au Refrain

Charlot soldat Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Charlot Soldat (Shoulder Arms) est une comédie burlesque américaine en noir et blanc, muette, réalisée par Charles Chaplin, sortie en 1918. Synopsis[modifier | modifier le code] Publicité pour le film parue dans Film Daily en 1918 Fiche technique[modifier | modifier le code] Distribution[modifier | modifier le code] Lien externe[modifier | modifier le code] (en) Charlot soldat [archive] sur l’Internet Movie Database

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