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Objets connectés : opportunités et limites

Objets connectés : opportunités et limites
Dans son étude universitaire intitulé Objets connectés : opportunités et limites, Jean-Baptiste Bard, étudiant à l’université Dauphine de Paris dresse le tableau des objets connectés et de leur enjeux. Ayant effectué son stage de fin d’études au sein d’une agence de communication digitale spécialisée dans le domaine de la e-santé, Jean-Baptiste Bard a pris conscience de l’engouement de ce phénomène à l’heure actuelle et de son potentiel pour demain. Définition, opportunités et limites sont les principaux axes de sa réflexion. Demain, les objets connectés auront envahi le quotidien de chacun d’entre nous. Le Marché des Objets connectés Sur le marché des objets connectés les principaux produits s’insèrent dans la branche santé & bien être ainsi que la domotique. A noter que les ordinateurs portables, les tablettes et autres smartphones ne font pas partie de ce marché car ils appartiennent au marché du high-tech. Le marché français des objets connectés Santé & Bien-être Les montres connectées

Internet des objets : Huawei lance la première puce au standard cellulaire NarrowBand IoT Ce n’est ni Qualcomm ni Intel, mais Huawei qui prend les devants de la scène dans l’Internet des objets au standard NarrowBand IoT (NB-IoT). Le géant chinois du numérique, qui revendique le rôle de pionnier dans la définition de ce nouveau standard, lance la première puce dédiée. Développée par HiSilicon Technologies, son bras armé dans les semiconducteurs, elle vise à connecter à longue portée et à basse consommation toutes sortes d’objets via les réseaux mobiles. Une puce à 1 dollar Standardisée en juin 2016 par le 3GPP, le consortium de normalisation des technologies de réseaux mobiles, NB-IoT réduit la consommation de courant et les coûts en se contentant d’une bande étroite de 180 KHz, contre 1 à 18 MHz pour les technologies cellulaires disponibles jusqu’ici pour l’Internet des objets. Si le débit de transmission de données se limite à 250 Kbit/s, il est suffisant pour la grande majorité des applications. Quelques centaines de poubelles équipées

Dix raisons pour lesquelles votre incubateur interne va échouer en moins de deux ans Je travaille depuis plusieurs années avec des grands groupes souhaitant monter, ou ayant déjà monté, une structure d’incubation de projets innovants internes. Certains, séduits par les médias et l’actualité technologique de ces dernières années se risquent même à parler d’accélération. Dans tous les cas je suis confronté à un problème central : cela semble une bonne idée pour la direction des grands groupes concernés, mais presque aucun ne sait réellement ce qu’ils font avec ces dispositifs, et les échecs sont fréquents et très cuisants. Si vous êtes un directeur de l’innovation ou de la stratégie, essayons de voir au travers du phénomène de mode et laissez-moi vous présenter les dix raisons pour lesquelles votre incubateur interne va échouer en moins de deux ans. Ne vous y trompez pas je ne le fais pas entièrement par bonté d’âme, j’en ai juste assez d’avoir les mêmes discussions sur chaque projet. : ) Vous êtes en mode intimité client ? Malheureusement, non. J’entends par là : 1. 2.

Un patch pour recharger des objets connectés grâce à la chaleur corporelle Et si une petite course à pied vous permettait de recharger vos appareils électroniques ? Grâce à des chercheurs de l’Université d’État de Caroline du Nord (UECN), cette idée pourrait finir par devenir réalité. En effet, ces derniers ont développé un patch permettant de convertir la chaleur corporelle en électricité. « Ils n’ont pas inventé la thermoélectricité », dites-vous ? Le patch en question est constitué d’une couche conductrice que l’on applique sur la peau. Il n’est pas question pour les chercheurs d’enterrer leur travail dans un laboratoire. Le nouvel artisanat numérique C'est à partir de la fin du XVIIIe siècle, d'abord en Angleterre, que l'on commence à voir se développer les premières usines**, des lieux où des travailleurs se retrouvent autour de machines pour produire en grande quantité. Fini le vieux métier à tisser sans le salon, il faut maintenant se rendre à Blackburn où des machines flambant neuves sont alignées entre les murs de la manufacture. Des machines et des hommes. D'un côté le capital, de l'autre, le travail. C'est en associant les deux que l'on produit de la valeur. Voici l'alchimie originelle du capitalisme. Une production de masse C'est sur cette dichotomie que reposent les grandes théories économiques modernes. Le XXe siècle, avec sa production de masse, a consacré ce mode d'organisation et l'entreprise d'aujourd'hui est l'héritière de l'usine d'hier. Tous des "entreprises autonomes" Mais que se passe-t-il aujourd'hui ? Où travailler ? Mais alors pourquoi continuer à se rassembler quand chacun pourrait travailler chez soi ? ...

Pebble : firmware et applications mobiles 4.0 pour les montres connectées Pebble améliore les performances et ajoute de nouvelles fonctionnalités à ses montres Time, Time Steel et Time Round avec un nouveau firmware 4.0. Avec un terminal iOS, elles proposent par exemple des actions pour gérer ses emails Gmail. Pebble vient d'annoncer l'arrivée d'une nouvelle version 4.0 de son firmware et de ses applications mobiles pour certaines de ses montres connectées. L'application santé revue, des « Quick Views » et des actions rapides personnalisables Le premier changement touche l'application santé. Sur les Pebble Time, Time Steel, Pebble 2 et Time 2 (la Time Round n'est donc pas concernée), des « Quick Views » sont ajoutées afin de vous afficher automatiquement certains événements qui arriveront prochainement. Pebble explique que vous pouvez définir des actions rapides à réaliser avec les boutons Haut, Bas, Retour et Select afin de lancer une application par exemple. De gauche à droite : la nouvelle application Santé, les Quick Views et le nouveau Launcher

Devenu trop grand, Internet est tombé en panne Internet a subi une panne le 12 août. En cause, une croissance du réseau mal maîtrisée. Un problème plus humain que technique et qui pourrait se reproduire. Le Monde | • Mis à jour le | Par Martin Untersinger Vous ne l’avez peut-être pas remarqué, mais Internet est brièvement et partiellement tombé en panne, mardi 12 août. Plusieurs sites, notamment en Europe de l'Ouest et aux Etats-Unis, ont souffert de ralentissements et, dans des cas plus rares, ont été coupés du réseau. Une « carte d'Internet » mise à jour trop vite Pour comprendre ce qu'il s'est passé, il faut plonger dans les arcanes du réseau. Aux points d’intersection de ce réseau se trouvent des routeurs. C’est fondamental pour qu’Internet puisse fonctionner, car il est en mouvement permanent : il grandit et le nombre de chemins possibles avec. La limite des 512 000 routes Comme tous les routeurs de la planète parlent entre eux, ils ont commencé à répercuter les changements impulsés par Verizon.

Corning présente son Gorilla Glass SR+ pour les objets connectés Après les smartphones, Corning s'attaque aux objets connectés en tout genre. Le constructeur annonce sa couche de protection Gorilla Glass SR+, censée fournir une meilleure résistance et mieux laisser passer la lumière qu'un verre classique. Après avoir présenté il y a un peu plus d'un mois son verre Gorilla Glass 5 qui résiste à une chute de 1,6 mètre dans 80 % des cas (et que l'on retrouve dans le Galaxy Note7), Corning revient à la charge avec une nouvelle protection d'écran. Baptisée Gorilla Glass SR+, elle est spécialement pensée pour les petits objets connectés comme des montres ou des bracelets. Le fabricant explique que cela permet de réduire « considérablement » les rayures visibles, tout en offrant « une clarté et une sensibilité » accrue. La société indique que sa couche de protection Gorilla Glass SR+ est dès à présent disponible commercialement pour ses partenaires, mais sans aucune précision sur son prix. Sébastien Gavois

[Enquête] L’ordinateur du futur signe-t-il la fin des interfaces L’industrie informatique traditionnelle se voit menacée par le développement de nouvelles interfaces technologiques entre l’homme et l’ordinateur. Menace ou simple mutation ? Faire avancer une voiture télécommandée grâce à la pensée, scénario de science-fiction ? Plus maintenant d’après Emotiv, startup australienne développant une technologie basée sur l’activité neuronale à des fins informatiques. A l’instar du bracelet Myo qui utilise les capacités musculaires pour contrôler un appareil numérique, il semblerait que les accessoires récemment développés s’orientent vers une nouvelle définition de l’interaction homme-machine. Quelles conséquences sur l’industrie informatique ? Popularisés par la firme suisse Logitech depuis les années 1980, les claviers et les souris se vendent moins depuis le début des années 2010, particulièrement en Europe et aux États-Unis. Une tâche, une interface La question se pose donc pour les entreprises, où les interfaces sont conçues pour optimiser des tâches.

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