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Les cratères géants de Sibérie sont-ils dus au réchauffement climatique

Les cratères géants de Sibérie sont-ils dus au réchauffement climatique
La vidéo d'un cratère géant de 30 mètres de diamètre, apparu dans la péninsule de Yamal, en Sibérie, avait passionné les internautes à la mi-juillet et donné lieu à toutes sortes d'élucubrations pour l'expliquer : impact d'une météorite, invasion extra-terrestre ou même missile intergalactique. Le débat vient d'être relancé, alors que deux autres cratères ont été découverts cette semaine non loin du premier. En réalité, la raison de leur formation serait plutôt à chercher du côté de relargages de gaz dus à la fonte du permafrost – les sols en permanence gelés – sous l'effet du réchauffement climatique. Selon des scientifiques interrogés par le Siberian Times, le premier cratère, aux proportions impressionnantes de 30 mètres de diamètre et 70 mètres de profondeur, se serait formé il y a un ou deux ans. Le deuxième cratère, d'un diamètre de 15 mètres, a également été découvert dans la péninsule de Yamal, qui signifie dans la langue locale "le bout du monde", précise le Siberian Times. Related:  Pergélisol / permafrost et méthane / CO2 gelés

Deux nouveaux cratères géants apparaissent en Sibérie La communauté scientifique est en émoi. Une dizaine de jours après avoir constaté l’apparition d’un mystérieux cratère dans la région de Yamal en Sibérie, deux nouveaux gouffres ont été découverts. L’intrigue autour de leur création est relancée. Météorite, farce, aliens ou cocktail à base de méthane, l’imagination des internautes fonctionne de nouveau à plein régime. « Ça ne ressemble pas à l’œuvre d’hommes » Le premier des deux nouveaux cratères a été découvert près de Bovanenkovo, une zone qui comprend de nombreux gazoducs. Les conséquences du réchauffement climatique À l’image du premier cratère, la question de la création de ces gouffres géants devrait vraisemblablement trouver une réponse du côté du réchauffement climatique. Comme le souligne Slate.fr , la fonte de cette couche du sol est extrêmement préoccupante.

Melting Permafrost Endangers Greenland and Releases Harmful, Disease-Causing Bacteria | Alex Bellini People love stories. Sometimes they make them dream, sometimes they frighten them, but stories always make people think. The story I want to tell is the story of a small village in Greenland, Uummannaq. The houses built on the permafrost are collapsing because the iced soil is slowly melting. In Ummannaq, climate change brings along an unprecedented change that involves not only the environment and the ecosystem but also the economy, health, safety, food resources and traditions. In order to become once again the owners of our destiny and future, we must implement a profound transformation of thought: we need to create a new relationship between the power of human beings and the ecological system of our planet. This post is part of a month-long series produced by The Huffington Post in conjunction with a variety of events being held in September recognizing the threats posed by climate change.

L'affaiblissement du champ magnétique terrestre se confirme Variations du champ magnétique terrestre mesurées par la flottille de satellites Swarm (Esa) entre janvier et juin 2014. Les taches rouges soulignent les régions où les signaux sont les plus forts, en l’occurrence l’océan Indien, tandis que le bleu marque les parties les plus faibles (moitié ouest du globe terrestre). © Esa, DTU Space L'affaiblissement du champ magnétique terrestre se confirme - 2 Photos Lancé dans l’espace le 22 novembre 2013 par une fusée russe Rockot, le trio de satellites européens Swarm — essaim en français — est chargé de mener l’enquête sur les variations du champ magnétique terrestre. Comme cela s’est déjà produit plusieurs milliers de fois au cours de la longue histoire de notre planète, le champ magnétique de la Terre a subi des inversions. Carte des fluctuations du champ magnétique en juin 2014. 95 % du magnétisme observé par le trio Swarm a pour origine le noyau terrestre. À voir aussi sur Internet Sur le même sujet

Antarctica’s permafrost is melting Things are getting ugly on Earth’s underside. Antarctic permafrost, which had been weathering global warming far better than areas around the North Pole, is starting to give way. Scientists have recorded some of it melting at rates that are nearly comparable to those in the Arctic. Scientists used time-lapse photography and LiDAR to track the retreat of an Antarctic ice cliff over a little more than a decade. Cliff-face measurements of the buried ice in the four-mile-long Garwood Valley revealed melt rates that shifted from a creeping annual rate of about 40,000 cubic feet per year over six milleniums, to more than 402,000 cubic feet last year alone. … (That’s a leap from the capacity of about eight standard railroad boxcars to 77.) The scientists also monitored the weather at the cliff and found that rising air temperatures were not to blame for the melt. How did the debris get there?

Islande : éruption près du volcan Bardarbunga, survol interdit L'Islande a interdit aujourd'hui le trafic aérien au-dessus du volcan Bardarbunga, près duquel a débuté dans la nuit une éruption ravivant le souvenir du chaos dans les aéroports européens en 2010. Comme cette éruption ne projetait pas de cendre, ce scénario-catastrophe restait encore hypothétique aujourd'hui. Il y a quatre ans avait été décrétée la plus grande fermeture d'espace aérien en Europe en temps de paix, avec plus de 100.000 vols annulés sur un mois et plus de huit millions de passagers bloqués. L'Institut météorologique islandais, chargé de la surveillance de l'activité volcanique, a élevé au niveau maximal, à "rouge", le niveau d'alerte pour l'aviation au-dessus du volcan. Mais "tous les aéroports islandais sont ouverts", indiquait sur son site internet le gestionnaire de ces aéroports, Isavia. La zone interdite aux avions est en effet restreinte à 10 miles nautiques (18,5 km) autour du lieu de l'éruption, en dessous de 5.000 pieds (un peu plus de 1.500 m) d'altitude.

Arctic Methane Emissions 'Certain to Trigger Warming' As climate change melts Arctic permafrost and releases large amounts of methane into the atmosphere, it is creating a feedback loop that is "certain to trigger additional warming," according to the lead scientist of a new study investigating Arctic methane emissions. The study released this week examined 71 wetlands across the globe and found that melting permafrost is creating wetlands known as fens, which are unexpectedly emitting large quantities of methane. Over a 100-year timeframe, methane is about 35 times as potent as a climate change-driving greenhouse gas than carbon dioxide, and over 20 years, it's 84 times more potent. Permafrost terraces in Alaska. Methane emissions come from agriculture, fossil fuel production and microbes in wetland soils, among other sources. The methane emissions stemming from melting permafrost could be critical to determining how fast the climate will change in the future. "The planet is very capable of surprising us," he said.

Papaousie-Nouvelle-Guinée: l’éruption d’un volcan conduit à l’évacuation de villages Léonce Gamaï 29 août 2014 Alors que l’Europe, précisément du Nord, prend des dispositions pour subir le moins possible les effets de Bardarbunga, un volcan islandais entrée en éruption ce vendredi, une autre éruption volcanique vient d’être signalée. Et ce, en Papouasie-Nouvelle-Guinée (Océanie) où le mont Tavurvur qui, en 1994 avait reduit en ruine la ville de Rabaul, s’est reveillé au petit matin de ce vendredi. Contrairement à Bardarbunga, l’éruption de Tavurvur qui a été suivie de grondements sourds et de bruits d’explosion a formé de vastes nuages de cendres dans le ciel. Les rues de Rabaul sont également couvertes. Suite à cette nouvelle éruption du volcan d’une altitude de 688 mètres, les autorités ont vite pris des précautions. Le sens des nuages de cendres, selon le centre d'observation des cendres volcaniques de Darwin en Australie est: sud-est-îles Salomon-archipel des Vanuatu.

A BP spill’s worth of methane is leaking from the ocean off of Washington every year You know how ocean temperatures have been on the rise lately? Well, it might mean a more comfortable day at the beach, but if you’re in the Pacific Northwest, I have some bad news for you: According to a new study, because of the temperature rise, we could see a huge release of deep-sea methane off the coast of Washington state. One of the researchers compared the amount of methane currently being released to the amount of oil that gushed from the BP oil spill. “We calculate that methane equivalent in volume to the Deepwater Horizon oil spill is released every year off the Washington coast,” said Evan Solomon, a coauthor of the study, which was published in Geophysical Research Letters. And if the water in the region warms by 2.4 degrees C by 2100, the size of that annual methane release could quadruple. The deep ocean floor hides a massive amount of methane hydrates, which are complexes of methane trapped in buried ice.

Mystère dans la baie de Rio: des poissons meurent par milliers Terrassés par un mal mystérieux, des milliers de petits poissons argentés flottent en bancs inertes dans la baie de Rio de Janeiro, certains agonisant bouche grande ouverte, avant d'échouer sur l'île carte-postale de Paqueta. Les pêcheurs dénoncent une pollution pétrolière. Les scientifiques n'y croient pas, mais ne s'expliquent toujours pas la cause de cette hécatombe jamais vue. Une odeur fétide remplit cette petite île paisible de 4.500 habitants, interdite aux voitures. "Nous voulons savoir pourquoi tant de poissons meurent. "Je n'ose plus mettre un pied dans l'eau avec tous ces cadavres (de poissons). L'entreprise municipale de nettoyage Comlurb a retiré des plages de l'île, entre vendredi et mardi seulement, 20 tonnes d'aloses mortes -un poisson de la famille des Clupeidae qui inclut la sardine et le hareng - ainsi que quatre tortues marines. - Pas encore de réponse Cela fait bien longtemps que le site naturel à couper le souffle de la baie de Rio a été souillé par l'homme.

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