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La givebox, la boîte qui donne de la générosité

La givebox, la boîte qui donne de la générosité
Inventée à Berlin il y a trois ans, la Givebox (littéralement « boîte à donner ») s’est propagée un peu partout dans les rues de la ville. Son principe est basé sur l’échange, on y dépose ce dont on ne se sert plus et on y prend ce qui nous intéresse. Depuis, elle est apparue au Canada, en Espagne, en Angleterre mais aussi en France dans des lieux associatifs ou culturels. Ce phénomène qui est amené à se développer est révélateur d’une grande part des citoyens de vouloir « consommer durable ». La première Givebox En 2011, Andreas Richter, un jeune styliste berlinois, voulait se débarrasser d’objets dont il ne se servait plus. Il construisit lui-même cette cabine qu’il aménagea avec quelques étagères et y entreposa les objets qui encombraient son appartement. Donner pour ne pas jeter Dans une givebox on trouve de tout. -> Un objet donné est un objet de moins à la poubelle. Comment installer une Givebox ? Communiquez sur le don Lisez également sur le don : Related:  Sharing Economy & Alternatives

What is Hoffice? | HofficeHoffice Hoffice.nu is a network aiming at creating fantastic, free work spaces – and make it thereby possible for people to realise their dreams. The work spaces are free of charge, as we are using a during-the-day underused resource: our homes. They become fantastic, as we use methods of structuring the day that allow us as individuals to benefit from the support and intelligence of the collective. But even though there is a structure, you are very welcome to ignore it, keep working while the others take breaks, come and go whenever you want. By working at Hoffice, we give ourselves and each other the gift to spend our days in a social working environment, where we are extremely productive without ignoring our other human needs. To work at Hoffice is in a way different from most other workplaces that might seem for people who haven’t tried it yet as a paradox. We love to see Hoffice growing and welcome others to join our network.

Des hubs de partage pour la consommation collaborative Des hubs de partage pour la consommation collaborative Par Pierre Mallet le 13/04/15 | 10 commentaires | 2,057 lectures | Impression Depuis février 2014, la Fing, Ouishare et leurs partenaires ont mené ensemble un projet de R&D collaborative autour de la consommation collaborative, baptisé Sharevolution, dans le but de produire de nouvelles pistes de connaissances, de réflexions et d’innovation. Après la piste consacrée à la partagabilité des objets, nous vous livrons sur InternetActu.net la synthèse du second axe de ces réflexions, consacrée à l’hybridation de la consommation collaborative en ligne avec le monde physique. Pour l’instant encore, la consommation collaborative est surtout visible grâce à son volet numérique : elle s’incarne essentiellement via des plateformes de partage en ligne telles que AirBnb ou BlaBlaCar. L’essentiel des services de la consommation collaborative nécessite des lieux pour se rencontrer, pour partager, pour créer collectivement. Le quartier malléable

CitizenSeeds - Français - P2P Food Lab Sol et terre Pour l’expérience CitizenSeeds, il est préférable de semer dans un sol et sur une superficie similaire. Or, c'est le paramètre le plus difficile à adapter car les jardins des uns ne ressemblent pas aux balcons des autres. Pour permettre au plus grand nombre de gens de participer, nous sommes très flexible dans les types de plans utilisés. Nous fournissons également de la terre amendée pour que la couche supérieure (8 à 12cm) ait des propriétés semblables. Superficie La superficie idéale pour planter les graines et participer à l’expérience est 1,2m sur 1,2m (1,44m2). Implantation Vous pouvez planter, soit en pleine terre, en bac sur pleine terre, en bac sur terrasse, dans une serre, ou dans plusieurs bacs/pots sur balcon. Terre amendée Pour cet expérience nous fournissons 120L de terre amendée ou terreau de feuillage (4 sacs de 30L) [1]. Notez que l'achat n'est pas obligatoire pour participer au projet. La terre consiste en 70% de terre végétale et 30% de compost. Graines Apple

Editions REPAS - Edition REPAS - Evènements Exposition sur Boimondau à la Médiathèque de Valence Un livre au centre d'une histoire revisitée : Il est le fruit de trois années d'un parcours de quête de l'Histoire des communautés de travail et de ces hommes qui les ont « habitées », d'un travail de recherche dans les archives, et de la rencontre des derniers témoins, pour un recueil de paroles qui tente de saisir ce qui a constitué l'essence même de la vie quotidienne de cette expérience. Boimondau, une expérience pour éclairer aujourd'hui ? La journée proposée vise à revisiter l'histoire et le territoire dans lesquels s'inscrivent encore fortement les traces de l'aventure hors normes des communautés de travail. Cette plongée dans la mémoire de Boimondau nous permet de reprendre conscience des innovations sociales qui sont nées à Valence et de (re)découvrir ce qui est possible aujourd'hui, dans le travail et l'économie. La journée est destinée à un public local et régional intéressé par le patrimoine et l'histoire sociale du territoire, l'économie sociale et solidaire et ses acteurs.

The end of capitalism has begun The red flags and marching songs of Syriza during the Greek crisis, plus the expectation that the banks would be nationalised, revived briefly a 20th-century dream: the forced destruction of the market from above. For much of the 20th century this was how the left conceived the first stage of an economy beyond capitalism. The force would be applied by the working class, either at the ballot box or on the barricades. The lever would be the state. Instead over the past 25 years it has been the left’s project that has collapsed. If you lived through all this, and disliked capitalism, it was traumatic. As with the end of feudalism 500 years ago, capitalism’s replacement by postcapitalism will be accelerated by external shocks and shaped by the emergence of a new kind of human being. Postcapitalism is possible because of three major changes information technology has brought about in the past 25 years. Second, information is corroding the market’s ability to form prices correctly.

La gauche ne peut pas mourir, par Frédéric Lordon (Le Monde diplomatique, septembre 2014) Dans le débat public ne circulent pas que des sottises : également des poisons. De toutes les navrances complaisamment relayées par la cohorte des experts et éditorialistes, la plus toxique est sans doute celle qui annonce avec une gravité prophétique la fin des catégories « droite » et « gauche », et le dépassement définitif de leur antinomie politique. On n’a pas assez remarqué la troublante proximité formelle, et la collusion objective, du « ni droite ni gauche » de l’extrême droite et du « dépassement de la droite et de la gauche » (« qui ne veulent plus rien dire ») de l’extrême centre. Passe alors un premier ministre qui vaticine que « oui, la gauche peut mourir (1) », trahissant visiblement sous la forme d’une sombre prédiction son propre sombre projet, et la cause semble entendue. Il y a de quoi s’étonner en tout cas que « gauche » soit ainsi implicitement rabattu sur « Parti socialiste », parti dont il est maintenant solidement avéré qu’il n’a plus rien que de droite.

"On ne peut pas réformer le code du travail, sans tenir compte du million de micro-entrepreneurs", explique David Ménascé L’Usine Nouvelle : Vous travaillez beaucoup à l’amélioration des conditions de travail au sens large des populations de pays en voie de développement. Quelle leçon tirez-vous de cette expérience qui pourrait nourrir la réflexion dans nos économies développées ? David Ménascé : Avant de vous répondre, je ne pense pas que les situations soient comparables. Ce serait une erreur de transposer directement. Le contexte politique, économique, social est trop différent. Ceci dit, j’ai été amené à travailler avec un groupe agro-alimentaire sur les vendeurs de rue. Quand vous n’avez rien, la stratégie de survie de base, c’est de pouvoir accéder au marché. Sans vouloir transposer ce qui précède à la France ou à n’importe quel pays développé, les contextes étant différents, il me semble que là aussi cependant, l’accès au marché est vital pour certaines populations fragiles. Revenons à la France qui est le cœur de votre étude. Avant les gens se donnaient des coups entre amis, entre voisins.

Économie collaborative : « La solution n’est pas dans un excès de réglementation » L’économie uberisée, ou « capitalisme des plateformes », qui incarne une vision néolibérale de l’économie, soulève des questions de société, explique Philippe Portier, avocat Associé du cabinet Jeantet. Le Monde | • Mis à jour le | Par Philippe Portier (Avocat aux barreaux de Paris, New York et Luxembourg, JeantetAssociés) Les Français plébiscitent, à l’usage et par sondage, les percées de nouvelles formes organisationnelles d’une économie dopée au numérique. Les expérimentations se démultiplient dans des domaines aussi variés que le transport de personnes (le symbolique Blablacar, le polémique UberPop…) ou de colis (You2You, GoGoRunRun…), le « coavionnage » (Wingly), la finance (crowdfunding, Bitcoin…), la location de logements (AirbnB), le partage de livres (Booxup) ou de canapés (Couchsurfing)… Économie uberisée Lire aussi Les nouveaux visages de l’économie collaborative Risque de précarisation Tradition bien française Ne « pas chercher à définir un secteur du numérique »

Agenda Du 11 au 13 septembre aura lieu la rencontre internationale "Humanisme & Mindfulness : une éducation pour le XXIème siècle" parrainée par Edgar Morin, Pierre Rabhi et Denys Rinpoche. Cette rencontre à pour but de contribuer au dialogue et à la coopération pour une intégration authentique et harmonieuse de la Mindfulness dans l’éducation. Aujourd’hui, le développement des recherches scientifiques sur la Mindfulness (pleine présence - pleine conscience) et leurs nombreuses applications sociétales, sont au cœur de nouvelles perspectives concernant les sciences de la santé, l’éducation et le bien vivre ensemble. Au programme, sept conférences plénières, suivies de tables-rondes sur les relations entre la pleine conscience et l’humanisme, les neurosciences, l’éducation à tous les âges de la vie et la citoyenneté. De nombreux ateliers, en sous groupes, animés par les intervenants pour approfondir et développer le thème que chacun a pu présenter lors de la séance plénière. Inscription ici

Who wrote this amazing, mysterious book satirizing tech startup culture? A mysterious little book called Iterating Grace is floating around San Francisco right now. At least a dozen people have received the book in the mail—or in my case, by secret hand-delivery to my house. (Which is a little creepy.) The artifact itself consists of a 2,001-word story interspersed with hand-drawn recreations of tweets by venture capitalists and startup people like Chris Sacca, Paul Graham, Brad Feld, Sam Altman, and others. The story’s lead character, Koons Crooks, goes on a spiritual quest by contemplating the social media feeds emanating from the startup world. “For him, the tossed-off musings and business maxims of these men (they were almost all men) shimmered with a certain numinous luster. No one knows who wrote the story or created the book. And I can see why one might think that: this took an incredible amount of work and planning. I first heard about it earlier this week as I was waiting in line at JFK Airport. At first I was confused, then I was a little annoyed.

Economie. Internet doit devenir réellement coopératif Le mouvement coopératif doit investir l’économie du partage afin de la rendre vraiment démocratique, affirme ce journaliste. Quelques plateformes, détenues par leurs utilisateurs, proposent déjà des services semblables à ceux d’Uber, Amazon ou Task Rabbit. La culture Internet a l’art de changer la signification des mots. “Démocratisation” évoque maintenant le nombre croissant de personnes capables d’acheter un billet d’avion ou des actions en ligne et ne fait plus vraiment référence à un régime politique ou à un jury d’assise. Nathan Schneider Article réservé aux abonnés Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous à Courrier international Abonnez-vousDéjà abonné ? L’auteur Ce journaliste indépendant, âgé de 32 ans, écrit, selon ses propres termes, sur “la religion, la technologie et la résistance”.

Integral Catalana — Transitional initiative for social transformation from below, through self·management, self·organization and networking Connecting the Collaborative Economy Contre l’innovation : de l’invisible importance de la maintenance Pour les historiens des technologies Lee Vinsel (@sts_news) et Andrew Russell (@russellprof), de l’Institut de technologie Stevens, le capitalisme excelle dans l’innovation, mais échoue à maintenir les infrastructures de la société. Or, pour la plupart d’entre nous, la maintenance des infrastructures et leur entretien est bien plus important que l’innovation expliquent-ils dans Aeon : assurer la continuité de nos infrastructures, leur entretien et leur amélioration est plus important que les changer. Si l’innovation est devenue l’idéologie dominante, une injonction permanente, force est de constater qu’elle peine, par nature, à se dépasser. Si elle sait construire à côté, repartir à zéro, elle peine à maintenir, à entretenir, à consolider les innovations passées, comme l’expliquait le chercheur Ethan Zucherman en défendant les infrastructures des transports publics contre l’avenir de la voiture autonome. L’innovation ne se résume pas à la technologie. L’ère des « mainteneurs » Oui.

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