background preloader

La Grande Paix de Montréal

La Grande Paix de Montréal

Côte-Nord : des milliers d'artefacts préhistoriques découverts à Longue-Rive Bretelle de contournement à Longue-Rive À Longue-Rive, sur la Côte-Nord, des archéologues ont effectué des fouilles sur le chantier de la voie de contournement de la route 138, en juin, à la demande du ministère des Transports du Québec. Ils y ont fait la découverte surprenante de milliers d'artefacts faisant foi d'une présence humaine dans la région, il y a environ 3000 ans. L'archéologue de la firme Ethnoscop, Mathieu Sévigny, estime avoir découvert des milliers de fragments d'objets et d'éclats de pierre que l'on attribue à la culture Meadowood. « C'est essentiellement des pointes de pierre, des outils en pierre. La firme d'archéologues doit publier un rapport en novembre pour faire le bilan de leur découverte. D'après le reportage d'Evelyne Côté

Le 4 août 1701 — La Grande Paix de Montréal : les Français et les Amérindiens concluent une alliance décisive - La Fondation Lionel-Groulx Conférence de Denys Delâge Auditorium de la Grande Bibliothèque Montréal, 11 janvier 2012 Introduction Après quatre années d’intenses négociations multilatérales et plus d’un siècle de guerres, Montréal fut, en 1701, le haut lieu de la conclusion d’une grande paix regroupant environ 1 300 ambassadeurs représentant une quarantaine de nations amérindiennes habitant un immense territoire depuis l’Acadie jusqu’aux abords des Prairies et depuis le bassin de la Baie James jusqu’au Missouri [1]. La paix fut conclue entre le grand réseau d’alliance huron-outaouais regroupant des nations de la vallée du Saint-Laurent, des Grands-Lacs et du Mississipi et les Français d’une part et, d’autre part, la Ligue iroquoise des Cinq Nations, de son vrai nom la ligue des Haudenosaunis, c’est-à-dire des habitants de la Maison Longue. Les signataires Dans le camp adverse ont signé les cinq nations fédérées de la Ligue iroquoise. Copie du traité de paix de 1701 Source : Wikimedia Commons Montréal au temps du rhume

Kennewick Man a debate not easily put to rest | Local News Originally published July 27, 2013 at 5:30 PM | Page modified August 22, 2013 at 2:21 PM NANEUM, Kittitas County — Wind sweeps across this lonely stretch of sagebrush, carrying songs and prayers of 10 tribes gathered here, laying ancestral remains to rest. From both sides of the mountains, they helped bless the bones of 57 individuals wrapped in white cotton muslin tied with cotton string, put away with cedar boughs and tule mats within a hand-dug grave. Afterward, elder Avery Cleveland of the Confederated Tribes of the Colville Indian Reservation knelt to burn tobacco on the covered grave, sending its smoke and a horse song on the rising wind. The love and care paid to these remains, blessed and returned to earth, is what tribal leaders say they want to give Kennewick Man. That could be about to change. Tribes that want the skeleton reburied say they are going to try again within a year to change federal law to repatriate ancient remains, including Kennewick Man’s. Tribes determined

Grande Paix de Montréal La Grande Paix est un événement diplomatique qui s'est déroulé à Montréal à l'été 1701. Les alliés amérindiens des Français et les Iroquois s'y sont assemblés afin de signer un traité de paix pour mettre un terme à la guerre franco-iroquoise. Ce conflit commence au début du XVIIe siècle lorsque Samuel de Champlain consolide des alliances avec certaines tribus amérindiennes. Cette guerre se poursuit tout au long du XVIIe siècle hormis durant les périodes de trêve. À la fin du XVIIe siècle, les Iroquois sont de plus en plus affaiblis, les Français n'ayant cessé de les attaquer sur leur propre territoire. En juillet 1701, quatre des cinq nations iroquoises et les alliés amérindiens des Français, venant principalement de la région des Grands Lacs, se rendent à Montréal pour discuter d'une paix. Ce traité met définitivement fin au conflit franco-iroquois. Haut de la page

Le peuplement préhistorique des Amériques s'est fait en trois phases Mardi, 04 Septembre 2012 11:00 Journal FORUM L'étude a permis de comparer le génome de 52 groupes autochtones des deux Amériques et de 17 groupes de Sibérie. (Illustration: Emiliano Bellini, pour Nature) Il y aurait bien eu trois vagues d'immigration asiatique à l'origine des peuples autochtones qui ont colonisé l'Amérique du Nord puis l'Amérique du Sud. «Les différentes hypothèses linguistiques suscitaient la polémique, mais notre étude met les points sur les i», affirme Damian Labuda, professeur à la Faculté de médecine de l'Université de Montréal et chercheur au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine. Trois vagues «Les linguistes avaient déjà établi que les Paléoindiens, les Na-Dénés et les Inuits constituaient trois familles linguistiques différentes et qu'ils devaient donc être issus de trois vagues distinctes de peuplement», explique Damian Labuda. Les Inuits, qui occupent les rives de l'Arctique, forment une autre famille linguistique. Diversité linguistique Daniel Baril Sur le Web

La Grande Paix de Montréal, 1701-2001 par Dufresne, Sylvie Reconstitution du rassemblement du 4 août 1701 précédant la signature de la Grande Paix de Montréal, par Francis Back © À l’été 1701, Montréal est le centre d’un événement historique majeur dans les relations entre les nations amérindiennes et les Français : le traité de la Grande Paix, signé le 4 août. Ce traité met fin à plusieurs décennies de conflits opposant les Iroquois aux Français et à leurs alliés autochtones. En 2001, la société pour la diffusion de la culture autochtone Terres en vues et le musée d’archéologie et d’histoire de Montréal Pointe-à-Callière s’associent pour commémorer le tricentenaire de cet événement. Article available in English : COMING SOON Rassemblement historique dans le Vieux-Montréal actuel Le Montréal qui accueille les ambassadeurs amérindiens en 1701 est une ville d’environ 1 300 habitants entourée d’une palissade de pieux (NOTE 1). Reconstitution de Montréal en 1701, par Francis Back © 1701, le grand traité de paix signé à Montréal 1.

Aboriginal Affairs Minister John Duncan resigns after writing letter to tax court News that not only informs, but inspires. APTN National News Aboriginal Affairs minister John Duncan tendered his resignation today and Prime Minister Stephen Harper accepted it. “Today, I have accepted the resignation of John Duncan as minister of Aboriginal Affairs and Northern Development,” said Harper. Duncan will continue to serve as the member of parliament for Vancouver Island North in the House of Commons. Harper issued the statement shortly after 4 p.m. Minutes later Duncan issued his own. “In June of 2011 I wrote a character reference letter to the Tax Court of Canada on behalf of an individual to whom my constituency staff was providing casework assistance on a Canada Revenue Agency matter,” the first line in his statement said attributed to Duncan. Duncan goes on to say the letter was written with honourable intentions but he realizes it wasn’t appropriate, as a minister of the Crown, to write the Tax Court for someone he knew. “I would like to thank Mr.

Centre d’histoire de Montréal - Kondiaronk La Grande Paix de Montréal de 1701 doit beaucoup au chef huron Kondiaronk. Grâce à ses qualités d'esprit, son éloquence et son talent d'orateur, les Français ont pu rallier les nations alliées à une paix générale. Qui est donc ce grand chef mieux connu des Français sous le nom de « Le Rat » (de son emblème totémique, le rat musqué)? Pour briser l'isolement C'est dans une Huronie en déclin que naît Kondiaronk (environ 1649-1701). Pour Kondiaronk, l'alliance avec les Français était essentielle. Vers la Grande Paix C'est autour de 1695 que s'ouvre lentement le chemin qui mènera à la Grande Paix de 1701. La première étape à cette paix globale était de convaincre les nations amérindiennes de leurs intérêts dans cette négociation et, surtout, de les convaincre de la bonne volonté de tout un chacun. Mais, le destin frappe : à quelques jours de la signature du traité historique pour lequel il n'avait ménagé aucun effort, Kondiaronk apparaît devant une assemblée fortement affaibli par la fièvre.

Related: