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Votre présence au bureau n'est plus obligatoire

Votre présence au bureau n'est plus obligatoire
Quand les entreprises permettent à leurs employés de faire tout ce qu’ils le veulent, du moment que le travail est fait. En 2003, alors qu’elles planchaient sur de nouvelles directives de gestion des ressources humaines pour Best Buy, un important distributeur de matériel électronique américain, Cali Ressler et Jody Thompson eurent une idée révolutionnaire. Elles se demandèrent ce qui arriverait si l’on accordait aux employés une autonomie totale en échange d’une responsabilité totale. Qu’adviendrait-il si le personnel était jugé uniquement sur le travail fourni et non plus sur sa manière de l’accomplir? Cali Ressler et Jody Thompson baptisèrent leur projet ROWE, pour «Results-Only Work Environment» (Environnement de travail axé uniquement sur les résultats). Les congés maladie et les jours de vacances à poser devenaient obsolètes, les employés pouvant prendre autant de journées qu’ils le souhaitaient, aux dates qui les arrangeaient. - permis au personnel de faire plus de sport; Related:  Riorganizzazione d'impresa

Un patron avec ses salariés dans l'open-space, c'est mieux? Temps de lecture: 7 min La première fois que j’ai rencontré Jack Dorsey, le milliardaire cofondateur de Twitter, il travaillait sur son nouveau projet, Square –son entreprise post-Twitter lancée pour perturber le secteur du paiement en ligne. J’étais venu l’interviewer pour faire son portrait et lorsque je suis entré dans les bureaux de Square à San Francisco, je l’ai immédiatement repéré. Impossible de le rater. Il travaillait debout, sur un iPad posé sur une table au niveau du nombril, au beau milieu d’un open space. Lorsqu’on évoque un puissant PDG, c’est généralement l’image d’un bureau d’angle à l’écart, assez grand pour y faire du cerf-volant, orné de boiseries, de tapis épais et luxueux et assorti d’une assistante-cerbère qui nous vient à l’esprit –le tout conçu pour décourager toute intrusion. Mais la nouvelle vision du management feng shui met l’accent sur la disponibilité, la transparence et l’abolition des hiérarchies physiques. Les locaux de Square à San Francisco

Le tiers-lieu, moteur de la créativité ! (Source : Jonathan Scanzi©) Le concept de tiers-lieu s’inscrit dans la problématique des lieux créatifs et de l’alchimie de la proximité et de l’échange. C’est un lieu hybride et fluide où convergent des dynamiques de développement économique, social et culturel. A ce titre, le tiers-lieu peut apparaître comme la particule élémentaire du lieu créatif. Il pourrait ainsi être l’incubateur du nouveau paradigme de l’organisation socioéconomique et le « processeur de l’intelligence collective ». Le 10 janvier, la page Facebook de Zones Mutantes évoquait la notion de tiers-lieu (voir la définition en fin de texte) et nous renvoyait à un article de fond écrit par Christine BALAÏ. Un lieu hybride et fluide Le tiers-lieu prend l’exact contre-pied des règles qui ont présidé à la structuration de la société, de l’économie, de l’espace, c »est-à-dire les règles de la spécialisation exclusive. L’émergence des tiers-lieux traduit une rupture radicale dans le paradigme organisationnel.

Vers une théorie des entreprises stupides? Réfléchir, se projeter, anticiper, remettre en cause ses méthodes ou étudier la pertinence de ses stratégies peut aider une entreprise à surmonter des crises ou à gagner de nouveaux marchés... Mais à l'heure du «smart business», la bonne vieille bêtise manageriale a encore de beaux jours devant elle. Selon le professeur de management spécialiste des organisations Mats Alvesson, de l’école Economics and Management de l’université Lund (Suède), la stupidité joue elle aussi un rôle important dans les organisations, comme l’écrit le site Science Daily. Un rôle évidemment très sous-estimé par les dirigeants d'entreprises comme par les théoriciens des organisations. «Nous voyons la stupidité fonctionnelle comme une absence de réflexion critique. Et «paradoxalement, cela permet parfois d’augmenter la productivité au sein d’une organisation». Si vous doutez de l'intérêt de la stupidité fonctionnelle, écrit dans le Financial Times Andrew Hill, demandez-vous si l’inverse serait souhaitable.

Les tiers lieux, relais de proximité pour tous les citoyens La Pyramide de Maslow appliquée au coworking Exercice de transposition de la pyramide des besoins humains du psychologue Abraham Maslow au monde du coworking, ou la recherche d'un modèle d'épanouissement pour les travailleurs indépendants. Vous souvenez-vous de la bonne vieille pyramide de Maslow que l’on vous a sans doute enseignée à l’école ? Vous savez, cette pyramide des besoins humains qui permet de les classer et de les hiérarchiser d’une manière dynamique … Si l’on en croit Maslow, les besoins situés à la base de la pyramide doivent être globalement satisfaits pour rendre possible la réalisation des besoins supérieurs. Je me suis amusé à appliquer cet outil d’analyse au coworking pour voir ce que cela pouvait donner. Appliquée au coworking, l’analyse de Maslow signifierait qu’il convient d’assurer les services de base dans un premier temps pour permettre aux coworkers de progresser vers les échelons plus élevés de la pyramide. Le coworking à la Maslow, ça donne ça : Besoins de base • Un wifi performant • Une salle de réunion

Mindmap Francine ROCHEFORT Les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Lorsqu'ils sont face à la prise de décision dans le cadre managérial, les managers se comportent-ils vraiment plus efficacement que des rats ? Laisser vous conter la fable du rat et du manager. Si l’on demandait aux gestionnaires d’entreprise d’expliquer comment ils prennent leurs décisions on pourrait sans doute s’attendre à ce que qu’ils justifient leurs actions en citant des qualités comme une bonne compréhension des affaires et un talent d’analyse bien développé. Pourtant, la gestion n’est pas une science exacte. Le monde de l’entreprise devient de plus en plus complexe, rendant ainsi quasiment impossible la prise de décisions managériales pertinentes uniquement sur la base d’informations sûres, même alliées d’une bonne dose d’expérience. Revenons à nos rongeurs de laboratoire. Enfermé dans sa cage, le rat entend une cloche, la porte de la cage s’ouvre et l’animal récupère sa nourriture. Que ce constat nous dit-il sur le monde de l’entreprise et ses managers ?

Souffrance au travail : oubliez le psychologue ! Les risques psychosociaux ont été instrumentalisés et ont masqué l’enjeu politique des conflits en entreprise, selon la psychologue du travail Lise Gaignard. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Margherita Nasi Entre 2007 et 2014, la psychologue du travail Lise Gaignard rédige des chroniques à partir d’entretiens menés dans son cabinet. Si son texte suscite des réactions vives, c’est qu’il critique la dépolitisation de la souffrance au travail : à ses yeux, le changement le plus frappant dans le monde du travail en France n’est pas « la transformation – pourtant importante – des modes de management, ni les catastrophiques techniques d’évaluation pipées, ni la mondialisation. D’après la psychologue du travail, c’est en 1998 que tout commence, avec la sortie de Souffrance en France, de Christophe Dejours, et Le Harcèlement moral, de Marie-France Hirigoyen. « Le problème n’est pas médical, il est lié au travail » Les risques psychosociaux auraient-ils été instrumentalisés ?

Come motivare i dipendenti e i collaboratori creativi La tua società è piena di dipendenti creativi. Alcuni di loro sono facili da individuare, mentre altri sono ricchi di potenzialità inespresse, la creatività di entrambi può rappresentare una leva che aiuterà il tuo business a prosperare in un mercato in continua evoluzione. Molte aziende ostacolano, non volontariamente, la creatività, quindi imparare a motivare la creatività dei tuoi dipendenti può darti un vantaggio rispetto alla concorrenza. Il modo in cui vengono trattati i dipendenti creativi ha un effetto valanga sull’intera organizzazione aziendale. “Le compagnie spesso dimenticano che i dipendenti parlano fra loro,” dice James Berry, imprenditore e professore di management, science and innovation presso l’University College di Londra. “Gli effetti positivi o negativi della risposta di una compagnia alla creatività creano spesso una spirale, noi vogliamo che sia una spirale che si avvolge nella direzione positiva.” 1. 2. 3. 4.

Thoreau on Hard Work, the Myth of Productivity, and the True Measure of Meaningful Labor by Maria Popova “Those who work much do not work hard.” The Journal of Henry David Thoreau, 1837–1861 (public library) is the closest thing I have to a bible — I read it frequently and devotedly, always with great gratitude for the enduring wisdom that brings me closer to what I know to be true but so often forget. Indeed, Thoreau is among those rare luminaries whose ideas live on as resolutions of the most existential kind — be it his reflections on the creative benefits of keeping a diary or the spiritual rewards of walking or the only worthwhile definition of success. Recently, while listening to a conversation with the wise and wonderful Parker Palmer — a Thoreau for our time — I was reminded once more of a particularly insightful passage from the journal as Palmer lamented that “the tighter we cling to the norm of effectiveness, the smaller and smaller tasks we’re going to take on.” He does nothing with haste and drudgery, but as if he loved it. Donating = Loving Share on Tumblr

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