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World War I Centenary: 100 Legacies of the Great War

World War I Centenary: 100 Legacies of the Great War
World War I changed everything. From new countries to literature, from tanks to treaties and from flamethrowers to fashion, the conflict is still writ large on our lives 100 years on. It gave birth to violent dictators and their ideologies but extended the electoral franchise to millions. It ushered in the era of mechanised warfare whilst laying the foundations for modern medicine. After millions of men gave their lives on the battlefields of Europe, it was doubly tragic that a deadly influenza would claim up to 50 million more deaths in the conflict’s immediate aftermath. Wall Street Journal editors from around the world have selected 100 legacies that still shape our lives today. Writers Editors Tom Mudd, Laurence Eyton, Sheila Courter, Margaret de Streel, Matthew Walls, Adrian Kerr, Peter Stiff, Perry Cleveland-Peck, Sofia McFarland, Tina Fuhr, Lydia Serota, Ese Erheriene, Jon Sindreu, Yvonne Dennis, John Crowley Multimedia Producers Designers & Developers Consultant

Le Musée national de l'Éducation « 2ème emprunt de la Défense nationale. Souscrivez, aidez-nous à vaincre, vous hâterez le jour de la Victoire et du retour au foyer». Lithographie signée Hansi. P. Le passage de la guerre de mouvement à la guerre de tranchées a mis fin au mythe d’une guerre courte et facile. Untold stories Photos, letters and other memorabilia It was the war that tore Europe apart – a struggle between the central powers of Germany, Austria-Hungary, Turkey and Bulgaria, against the allied powers of Britain, France, Belgium, Russia, Italy and the USA. No European nation was left untouched – even neutral states felt the impact of the war. But it was the ordinary men and women who were affected the most. Renowned historian and WW1 author Peter Englund said: “This important and imaginative project tells the other side of the story, from the point of view of a young soldier who signed up seeking adventure, to the family devastated by news that he was one of millions who would never return.

cimetière militaire de Dinant Les événements d'août 1914... Des groupes de reconnaissance allemands s’étaient déjà aventurés, dès le 6 août sur la Meuse, en direction de Dinant et d'Anseremme. Le 15 août, deux divisions de cavalerie, la 5e et celle de la Garde, appuyées par plusieurs bataillons, dont les 12e et 13e bataillons de chasseurs, se présentent face à Dinant (plus d'info, p.35 : ici). Il y a alors dans cette ville, côté français, deux compagnies du 148e, les 10e et 12e. Un bataillon du 33e et une section de mitrailleuses occupent la citadelle sur la rive droite. A 5h45, l’artillerie allemande, en position à hauteur de la cote 272, à l’Ouest de Sorinnes, tire un premier coup de canon. En réponse aux tirs, côté français, on dispose des sections en avant de la citadelle ; une au Nord-Est du fort, une autre à la porte de la citadelle et les 3e et 4e au Nord et au Sud de la route de Ciney. Les Allemands déploient leur infanterie. On lui intime l'ordre de rester sur place... Site officiel de la Citadelle : ici

Turn.js: The page flip effect in HTML5 14-18, un monde en guerre L’histoire s’écrit au croisement des questions et des sources. Les questions changent avec le temps, et les historiens cherchent des sources pour y répondre. Aussi l’historiographie évolue-t-elle : les récits élaborés à une époque perdent leur intérêt pour l’époque qui suit. Les « vérités » se succèdent. L’histoire s’écrit au croisement des questions et des sources. L’ouverture de l’Historial de la Grande Guerre à Péronne en 1992 marque un double tournant. -- À propos de l'auteur Président du conseil scientifique du centenaire de la Grande Guerre, Antoine Prost est professeur émérite au Centre d’histoire sociale du XXe siècle (CNRS/Univ. Refermer l'édito « Apocalypse » ravive la Grande Guerre en couleurs LE MONDE CULTURE ET IDEES | • Mis à jour le | Par Daniel Psenny Il semble bien loin le temps où l’Histoire se regardait en noir et blanc, à travers des images rayées, poussiéreuses et floues. A présent, à l’heure du tout-numérique, on imaginerait mal que les documentaires diffusés par la télévision ne montrent pas les couleurs de la vie – le rouge du sang des soldats morts au combat, par exemple, ou le bleu du ciel pendant les assauts. A l’occasion du centenaire de la guerre de 14-18, France Télévisions va proposer tout au long de l’année plus de trente-cinq films et documentaires pour commémorer ce conflit. Parmi eux, un nouveau volet de la série « Apocalypse », conçue et entièrement « mise en couleurs par l’historien Daniel Costelle et la réalisatrice Isabelle Clarke. Des séquences rares : au moment où éclate la première guerre mondiale, l’invention du cinématographe par les frères Lumière n’a pas 20 ans. Voir: La bande annonce d'« Apocalypse ».

Pour en finir avec dix idées reçues sur la guerre de 14-18 La Grande Guerre est un événement si immense qu'il suscite sans cesse interprétations et réinterprétations. Son fort impact sur la société française alimente également la circulation d'images et de clichés qui ne correspondent pas à l'état du savoir des historiens. Le point sur dix idées reçues. 1. Les interprétations marxistes des origines de la guerre, derrière les réflexions de Lénine sur l'impérialisme comme stade suprême du capitalisme, allouent une place centrale aux rivalités économiques accentuées par la baisse tendancielle du taux de profit, et au caractère prédateur des milieux industriels. Mais l'historiographie a montré que les interdépendances étaient en fait très fortes entre les économies et que, pour nombre de secteurs (assurances, sociétés minières...), la paix était préférable à la guerre. 2. Il n'est pas évident de saisir rétrospectivement des sentiments, des perceptions de contemporains et encore moins de les agréger pour donner une tendance d'ensemble. 3. 4. 5. 6.

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