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La bienveillance au travail, c'est possible !

La bienveillance au travail, c'est possible !
Améliorer le bien-être Salles de jeux, de sport, jardins partagés, mise à disposition de paniers bio… Dans ce domaine, les entreprises ne manquent pas d’imagination pour chouchouter leurs salariés. Pour son entreprise nantaise de communication responsable, Alexandre Legendre a, par exemple, aménagé un poulailler et un potager, « pour s’occuper de la terre pendant les pauses et ne pas être toute la journée devant son ordinateur ». Il y a ceux qui améliorent le cadre de travail : matériel ergonomique, locaux lumineux, spacieux, feng shui… Ceux qui aident à équilibrer vie professionnelle et vie privée : horaires aménagés, télétravail, garderie d’enfants… Ceux qui cherchent à donner du sens au travail de chacun, à le rendre plus intéressant en permettant, par exemple, aux salariés de développer des projets qui leur tiennent à coeur. Poser un cadre Il y a la charte de la parentalité, pour éviter les réunions importantes à l’heure de sortie de la crèche. Changer les comportements

"Les entreprises du bonheur se sont affranchies des gens payés pour contrôler les autres", affirme Martin Meissonnier ENTRETIEN VIDÉO Cette semaine, ce n’est ni un sociologue, ni un consultant ni un DRH qui parle du travail, mais un réalisateur reconnu de documentaires pour la télévision, Martin Meissonnier. Après s’être intéressé à des sujets comme la fée électricité, les poubelles, ou la diplomatie des banlieues, il a passé plusieurs années à enquêter sur le bonheur au travail. Une réflexion, dans la lignée des travaux d’Isaac Getz, sur les entreprises libérées, qui décident de remettre le salarié au cœur du travail. L’Usine Nouvelle - Quelles difficultés avez-vous rencontrées pour faire ce film sur le bonheur au travail ? Martin Meissonnier - Je crois n’avoir jamais autant tourné. Comment est née l’idée du film ? J’ai un vieux copain consultant et qui est devenu psy. De quoi parle-t-il ? Cet auteur réputé pour son essai sur la dette y parle de tous ces gens qui sont payés pour surveiller les autres. Les normes de l’usine taylorienne sont désormais appliquées partout. Non. Non.

Nous ne sommes pas faits pour vivre seul! | Bonheur et société Rédigé le 2008-03-10 C’est la conclusion que je retire de ma dernière enquête. Je savais qu’il était important d’avoir une vie sociale minimale, mais l’intensité de cette dernière influence à ce point le niveau de bonheur que j’en suis un peu estomaqué et, avouons-le, un peu perplexe également. Imaginez! Vingt trois points d’écarts entre l’IRB des personnes qui avouent avoir une vie sociale très active et celui des personnes qui, à l’opposé, en ont une très tranquille (87,70 vs 64,50). N’empêche, je dois admettre que c’est au contact des autres que l’on apprend, que l’on s’ouvre, que l’on reçoit et que l’on donne également. C’est un peu comme l’entraînement. Combien de fois laissons nous passer une occasion de sortir, de voir des amis ou des connaissances ou tout simplement d’aller au cinéma ou au théâtre. Alors, la prochaine fois que vous aurez une belle occasion de sortir (pas pour n’importe quoi et avec n’importe qui, on s’entend), donnez-vous donc le coup de pied là où je pense.

Taux des cotisations sur salaires au 1er juillet 2017 La lettre P désigne le plafond de sécurité sociale. Aux prélèvements mentionnés dans le tableau s'ajoutent, le cas échéant, la complémentaire santé, le versement de transport, la cotisation additionnelle pénibilité, le forfait social (pour certaines sommes exclues de l'assiette des cotisations de sécurité sociale dont, dans les entreprises d'au moins 11 salariés, les cotisations patronales de prévoyance) et la contribution supplémentaire à l'apprentissage. (1) En Alsace-Moselle, s'ajoute à la charge du salarié une cotisation calculée sur la totalité du salaire dont le taux est de 1,50% au 1-1-2017. (2) L’assiette de la déduction forfaitaire pour frais professionnels est limitée à 4 plafonds annuels de sécurité sociale. (3) La contribution patronale chômage sera portée à 4,05 % au 1-10-2017. (4) Jusqu'au 1-10-2017, l’embauche en CDI d'un jeune de moins de 26 ans ouvre droit, sous certaines conditions, à une exonération temporaire de la contribution patronale chômage.

Les neurosciences : au service des managers, entreprises et institutions humanistes: Pourquoi le bien-être au travail est-il plus avantageux pour l’entreprise que ses contraires ? Comparons simplement les processus et conséquences de nos conditionnements primaires. Sachant que les déterminismes biologiques de tout être vivant, dont l’être humain, sont de : Deuxprocessus conditionnés sont à l’œuvre en permanence pour nous permettre de maintenir notre équilibre biologique (homéostatique) et poursuivre ces objectifs. Avec des conséquences dans les deux cas, sur les comportements générés, et le coût ou le gain que cela peut représenter. Sans parler ici du coût humain, santé et société. Coûts estimés du processus 1 : 3 Milliards d’euros par an pour le stress, selon une étude de INRS (Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles) datant déjà de 2007, et dont l’INRS dit lui-même que les chiffres sont sous-évalués. Gains estimés du processus 2 : Depuis quelques années, les neurosciences investissent de plus en plus le terrain de recherche sur les émotions, au travers de nombreux travaux.

Notre bonheur passe par celui des autres Un bonheur pour soi tout seul ? Serait-il possible en négligeant celui des autres ou pire en essayant de le construire sur leur malheur ? Un « bonheur » élaboré dans le royaume de l'égoïsme ne peut être que factice, éphémère et fragile comme un château bâti sur un lac gelé, prêt à sombrer dès les premiers dégels. Shantideva, philosophe bouddhiste indien du VIIe siècle, s'interroge : « Puisque nous avons tous un égal besoin d'être heureux, par quel privilège serais-je l'objet unique de mes efforts vers le bonheur ? En résumé, le but de l'existence est bien cette plénitude de tous les instants accompagnée d'un amour pour chaque être, et non cet amour individualiste que la société actuelle nous inculque en permanence.

Entreprise libérée Le terme entreprise libérée (en anglais freedom-form company ou F-form company) désigne « une forme organisationnelle dans laquelle les salariés sont totalement libres et responsables dans les actions qu'ils jugent bon — eux et non leur patron — d'entreprendre[1]. » Présentation[modifier | modifier le code] Apparition du terme[modifier | modifier le code] Le terme entreprise libérée autait été popularisé, selon un compte-rendu[2], par Tom Peters, dans un ouvrage traduit en français en 1993 : Entreprise Libérée ; Liberation Management[3]. Isaac Getz[14] précise qu’à l'instar des architectes qui définissent une construction (par exemple un pont) à partir de sa fonction (permettre un passage par-dessus un obstacle) et non d'un ensemble de caractéristiques structurelles, « l’entreprise libérée est définie aussi à partir de sa fonction » (permettre la liberté et responsabilité d’initiative) et non d’un modèle[15]. Avantages[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

Recette gagnante pour travail d'équipe : beaucoup de femmes et d'empathie Il y a des idées préconçues qui persistent dans les mentalités. Parmi elles, celle-ci : mettre les plus compétents en équipe aboutira forcément en un résultat grandiose. Après tout, le calcul semble évident. Additionner des esprits brillants ensemble devrait donner une intelligence collective incroyable. Non? Pourtant, depuis 2010, les scientifiques tendent à déconstruire cette idée. Les femmes, facteur de succès d'équipe En effet, l'étude Pentland (2010) du MIT avait montré que les groupes ayant une intelligence collective plus élevée n'avaient pas des membres au Q.I. exceptionnel ni ne comportaient des gens plus extravertis ou introvertis que d'autres. De plus, leurs membres réussissaient tous mieux que les autres le test de « l'esprit dans les yeux ». Enfin, les équipes les plus opérantes seraient celles comportant davantage de femmes. Même en ligne, les émotions comptent Illustration : gpointstudio, shutterstock Références : Engel, David, Anita Williams Woolley, Lisa X.

Les relations avec les autres : une part de bonheur - Linkup Coaching - Centre Européen de Formation au Coaching Professionnel sur Viadeo.com Qu’est-ce qui nous pousse à entrer en relation avec nos congénères ? Il est dans la nature humaine d’établir des rapports avec les autres. La psychologie positive se concentre sur la qualité de la relation entre deux personnes et sur ses conséquences sur notre bonheur. Nous avons tous besoin de ces relations, qu’elles soient amoureuses, amicales ou sociales. Toutefois, nous n’avons pas tous le même seuil idéal de rencontres. Quel est le lien entre nos relations et le bonheur ? Lorsque il est demandé à des personnes d’énumérer les activités qui leur procurent du bien-être, du bonheur dans la journée, voici les réponses : • Etre avec des gens heureux• Etre avec des personnes qui s’intéressent à ce que l’on dit• Etre sexuellement attirant• Etre tout simplement avec des amis Quel rôles distincts jouent les amis, le conjoint et la famille ? Nos amis nous apportent une humeur positive. La famille, elle, nous donne de la protection affective. Nous avons besoin d’appartenir et de nous confier.

Intégrer des outils numériques et en tirer parti pour un apprentissage plus efficient L'exploitation du numérique fait désormais partie intégrante de l'enseignement des langues. Les supports numériques s'intègrent à la pédagogie des langues de diverses manières. La baladodiffusion La baladodiffusion permet de travailler la réception orale et la production orale. Sa pratique vise à : mettre en place des échanges de fichiers sonores numériques ;travailler la réception orale comme la production orale. Les plus-values pédagogiques : la mutualisation de ressources entre enseignants est facilitée, par exemple grâce au cahier de textes partagé sur l'ENT de l'établissement. La vidéo-projection La vidéo-projection associée à la diffusion du son est un moyen de proposer plusieurs types de supports (son, image et texte par le biais du TNI notamment) pour travailler toutes les activités langagières. Cette pratique favorise : Les tablettes numériques Les tablettes numériques constituent un support multimédia de réception et de production très riche pour les élèves. Internet Les jeux sérieux

Ses salariés évacuent leur stress dans la nature - SUR le terrain - Mathias Péju, dirigeant d'Impact Concept Observer un peuplier et revivre l'urgence du dernier contrat qu'il a fallu traiter... Comparer les roseaux à la réunion d'équipe hebdomadaire... L'idée vous semble saugrenue? C'est, pourtant, l'expérience vécue par une poignée de collaborateurs d'Impact Concept, une PME spécialisée dans la signalétique et la décoration professionnelles. « Rien que le fait de se retrouver dans un jardin est très bénéfique, souligne le dirigeant Mathias Péju. Les salariés sont apaisés, voire même décontractés et ce au bout de cinq minutes à peine. » Le chef d'entreprise ne participe pas à cette journée de formation pas comme les autres, exclusivement réservée aux dix salariés choisis, à savoir des chefs d'équipe, de bureaux et des contre-maîtres. « Nous avons préféré faire participer les managers, pour qu'ils répercutent les enseignements de cette journée à leur équipe », justifie Mathias Péju. Impact Concept > Activité Signalétique et décoration professionnelles > Ville Altortville (Val-de-Marne) Zoom Etude

Faut-il aimer son travail pour être heureux S’épanouir dans sa profession est une aspiration forte pour beaucoup d’entre nous. Mais parce que nous n’exerçons pas le bon métier ou que nous l’exerçons dans de mauvaises conditions, cela n’est pas toujours possible. Quelles sont les vraies raisons de nos frustrations professionnelles ? Christilla Pellé Douel Sommaire « Un châtiment pour le péché originel, que l’on s’efforçait d’accomplir le plus rapidement possible puis d’oublier dans l’alcool et la religion »… C’est ainsi qu’était autrefois perçu le travail, raconte Alain de Botton, écrivain et journaliste, auteur de Splendeurs et misères du travail. Ne pas se réduire qu'à son activité A découvrir A lire Splendeurs et misères du travail d’Alain de Botton Une réflexion fine, originale et pleine d’humour sur le monde du travail (Mercure de France). La Société malade de la gestion de Vincent de Gaulejac Le culte de la performance met tout le monde sous pression. Avoir le sentiment d'être utile

Télétravail Le télétravail est l'exercice d'une activité professionnelle effectuée en tout ou partie à distance du lieu où le résultat du travail est attendu. Il s'oppose au travail sur site, à savoir le travail effectué dans les locaux de son employeur. Le télétravail peut s'effectuer depuis le domicile, un télécentre, un espace de cotravail, un bureau satellite de l'entreprise ou de manière nomade (lieux de travail différents selon l'activité à réaliser), dans le cadre d'un travail salarié, dans le cadre du travail indépendant. Son développement a été permis par les technologies de l'information (Internet, téléphonie mobile, fax, etc.)[1], les TIC (technologies de l'information et de la communication) notamment l'ADSL[2] puis le très « haut-débit » permis par la fibre optique. Le « télétravail nomade » a été encouragé par la mondialisation économique[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Typologie[modifier | modifier le code] Modes de télétravail[modifier | modifier le code] 93.

Ils chouchoutent leurs salariés qui le leur rendent bien - ILS L'ONT FAIT Thibault Viort, dirigeant de IsCool EntertainmentIl assure la montée en compétences de ses salariés IsCool Entertainment, éditeur de jeux sur les réseaux sociaux, mise sur son capital humain: des hommes et des femmes impliqués dès leur arrivée dans l'entreprise. Un investissement essentiel pour cette PME en forte croissance: 40 salariés en 2010, chiffre qui a doublé un an plus tard. Chaque vendredi matin, tous les salariés participent à une conférence plénière, échangeant sur des sujets du type «la philosophie au service de l'innovation», une ouverture d'esprit nécessaire à leur créativité. IsCool Entertainment > Activité Edition de jeux en ligne > Ville Paris (IIe) > Forme juridique SA > Dirigeant Thibault Viort, 38 ans > Année de création 2001 > Effectif 80 salariés > CA2010 9,3 MEuros > RN2010 1,9 MEuros Joseph Bourget, p-dg de la société Sainte LucieIl mise sur l'épargne salariale Sainte Lucie Julien Verspieren, cofondateur du Groupe FedIl dote ses salariés d'une salle de sport

Le bonheur, tributaire de la société. | Guillaume Deloison Le bonheur, concept compliqué et riche en définition. Parfois l’assouvissement de tout les désirs et d’autres fois la réalisation de tout ce qui est « bien ». Dans chacune de ses définitions pourtant revient un élément qui est lui aussi omniprésent dans chacune de nos existences. La société. En effet, c’est elle qui détermine ce qui est « bien » ou « mal » pour chaque membre dont elle est constituée. Et c’est elle aussi qui fait d’une chose un objet désirable et plus ou moins nécessaire. comme un tracée vers le bonheur, les immeubles créent des lignes horizontales qui guide le regard vers ce ciel pure. Cette réflexion semble donc s’opposer totalement à une pensée sartrienne qui placerait la société comme un enfer : « l’enfer c’est les autres ». La société ne crée donc pas à proprement parlé le bonheur mais en définissant le « bien » et le « mal » et créant un système de valeur elle cristallise Un bonheur qu’il est souhaitable d’atteindre dans une société donnée. Guillaume Deloison.

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