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Christine Genin - labyrinthe - écrivains contemporains

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Exigence Littérature Devenez critique littéraire Merci Points de vue Entre deux rives - Abdelali Najahpar penvinsMESDAMES, MESSIEURS LES EDITEURS UN PEU D’AUDACE.par penvinsJe suis un intello précaire 4eme Acte - Ph Nadoucepar Philippe NadouceJe suis un intello précaire 3eme acte - Ph Nadoucepar Philippe NadouceJe suis un intello précaire 2eme acte - Ph. Nadoucepar Philippe NadouceDéfense de Maurice Carêmepar Sébastien RobertUne autre conception de la littérature.par penvinsA propos de L'Arabepar penvinsEt si on se remettait à lire.par penvinsEditopar penvins Revues L'invisiblepar Françoise Urban-Menninger Passage d’encres IIpar Jean-Paul Gavard-PerretL'actualité Verlaine, juin 2013 n°4par Françoise Urban-Menninger Revue Nuepar NueBrèvespar BrèvesL'Arsenal N°5par penvins Livre-libre.net Du sang dans le miroir - Cosmos Eglopar Jeannette14Hôtel Pomidan ou l'histoire d'un défi existentielpar SINIGL'enfant de l'Océanpar LouisLe Projet -Chichom Méfirepar LouisLes Maîtres de Jouvence - Fred Mussardpar karim

Medellia au VITRIOL Cafebook - le blog des livres Au diable vauvert Le magazine des Livres | Les 100 d'une vie L’Âge d’Homme , Michel Leiris « Je viens d’avoir trente-quatre ans, la moitié de la vie. Au physique, je suis de taille moyenne, plutôt petit. » Ainsi commence le récit de Michel Leiris. À l'aune des figures mythologiques qui symbolisent son rapport au monde, Leiris effectue un parallèle constant entre les épisodes de sa vie et ces deux icônes entre lesquelles sa vie balance, celle de la dévoratrice et celle de la femme blessée. Divisée en huit chapitres, l'autobiographie se clôt au moment où Leiris pense avoir atteint l'âge d'homme qui se confond, pour lui, avec la naissance de sa vocation d'écrivain. L’Air d’un crime , Juan Benet Grand admirateur de William Faulkner, Juan Benet, ingénieur des Ponts et Chaussées, situe l'action de L'Air d'un crime à Région, le Yoknapatawpha de l’auteur espagnol. À la recherche du temps perdu , Marcel Proust Il est de bon ton de dire de La Recherche qu’on ne la lit pas mais qu’on la relit. Alice au pays des merveilles , Lewis Carroll 4 juillet 1862.

Revue d'art et de littérature, musique L'impuissance de toute littérature, le dégoût qu'elle inspire, et dans le même temps la nécessité d'écrire et de travailler, voilà l'arc bandé par Georges Bataille et quelques autres. Entre tous, Bataille aura permis de décocher quelques flèches vénéneuses qui ont volé loin. Elles n'ont pas encore touché leur cible. Elles vibrent dans la solitude des œuvres. Mais les œuvres, qui s'en soucie? J'aurai écrit pour rejoindre les autres, avec souvent l'espoir de changer un peu la donne, avec l'ambition de dévier le malheur vers des eaux plus claires. Je n'y suis pas entièrement parvenu. Le malheur est coriace. Restent - subsistent ? Pas seulement. Mes textes - c'est tout ce que je leur souhaite - ne sont pas que des traces laissées dans la neige ou la boue, ce sont avant tout des signes d'amitié lancé à l'inconnu sans ami, mais - c'est pure merveille - de signe en signe, ce n'est pas un nouvel amour qui est né dans l'écheveau du temps, mais un amour nouveau, et c'est bien ainsi.

Nanards en quête de réalisateurs les livres de Mazel Atelier d'ecriture - Le nouveau magasin d'écriture, jeu littéraire - On sait qu’il y a en certains lieux quelqu’un qui vous attend, quelqu’'un dont on n’a pas conscience. Lorsque j’'y pense, j’'en demeure encore interdit. Il se chaufferait les pieds devant le calorifère en feuilletant un atlas à la recherche d’une île qui n’'existe pas. L'homme est debout devant une table sur laquelle est posé un livre ouvert, une Bible, sans doute, qui voisine avec un crâne et une épée. J’'allais mourir. Les choses éclataient et se recomposaient en étoile, les couleurs et les souvenirs, tout ce que j’avais pu vivre. La jeune femme dormait, mains ouvertes et cheveux défaits. Quinze jours après cette rencontre, je subis une nouvelle intervention chirurgicale. Comment ne pas y voir les muscles à nu d'un écorché? Puisqu'’il ne m’'est plus possible de le revoir en chair et en os, je vais essayer de le retrouver dans mes rêves. Je n’'ai ni visage, ni individualité, ni sentiments, ni même de nom. Quand, pour la vingt et unième fois, l'arbre fut à nouveau en fleurs, elle se réveilla.

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