background preloader

Pour la grande résistante Lucie Aubrac, résister, c'était d'abord i...

Pour la grande résistante Lucie Aubrac, résister, c'était d'abord i...
Related:  résistance

Jalons Pour l'histoire du temps présent Le 4 septembre 1958, jour anniversaire de la proclamation de la République, sur la Place de la République, le général de Gaulle présente la Constitution que les Français doivent ratifier par référendum le 28 septembre. Après avoir obtenu le pouvoir dans des conditions contestées, dans une atmosphère de manifestations, d'insurrections et de crainte de guerre civile entre le 13 mai et le 3 juin, le général a chargé une commission de travailler sur une nouvelle constitution. Sous la direction de Michel Debré, garde des Sceaux, la commission a préparé un texte dans l'esprit du discours de Bayeux, prononcé en 1946 par le Général, et a tenu compte des remarques du socialiste Guy Mollet : le renforcement du pouvoir exécutif et la diminution du pouvoir législatif constituent les deux axes de la réforme. Jean-Claude Lescure

VIDEOS. Le Chant des Partisans a 70 ans: 5 choses à savoir La première version du Chant des Partisans était écrite en russe À l'origine, c'est Anna Marly -une guitariste d'origine russe, réfugiée à Londres pour fuir l'invasion de la France par le régime nazi d'Hitler- qui compose la musique du Chant des Partisans, en 1942. Dans sa première version, l'hymne des résistants s'appelle Le Chant de la Libération et les paroles sont en russe, parfois précédé d'une traduction lorsqu'Anna Marly le chante à la BBC. Une mélodie sifflée pour passer outre le brouillage allemand et se reconnaître dans le maquis Le refrain du Chant des Partisans a, au début, été sifflé par hasard, par "réflexe". Mais les alliés se rendent rapidement compte que contrairement aux paroles, les sifflements restent audibles en France occupée malgré le brouillage allemand. Maurice Druon, Joseph Kessel et Germaine Sablon amènent le Chant à sa forme finale et en font un succès international Les paroles ont été imprimées pour la première fois le 24 septembre 1943

1870 : de la défaite au désir de revanche Contexte historique Les défaites françaises de 1870 La France déclare la guerre à la Prusse le 19 juillet 1870. Durant les semaines suivantes, l’armée française essuie des échecs et des revers. En dépit des efforts de Gambetta, soucieux d’organiser une résistance en province, les troupes françaises connaissent une débâcle sans précédent à travers le pays où les fronts se sont multipliés. Analyse des images Images de la guerre Conçu d’après un souvenir personnel, le tableau d’Alphonse de Neuville (1835-1885) est la première œuvre exposée par le peintre après la guerre, à l’occasion du Salon de 1872 – le « Salon de la défaite ». Neuville montre les troupes françaises bivouaquant dans une plaine désolée, hérissée de maisons détruites. Dans l’œuvre plus tardive d’Édouard Detaille (1848-1912), la scène est similaire quoique le dispositif soit différent. Interprétation Métamorphoses de la défaite L’idéologie de la défaite repose sur un abattement moral que contrebalance un idéalisme exaspéré.

"Le chant des Partisans", hymne éternel de la Résistance Reportage : I.Baechler / F.Bazille / L.Ledu / P.Gramain "Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ? Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?" C'est ainsi que débute le Chant des Partisans. Écrit au printemps 1943 par Joseph Kessel et son neveu Maurice Druon alors réfugiés à Londres, ce texte est depuis devenu l'hymne de la Résistance, de toutes les résistances. C'est la musicienne d'origine russe Anna Marly (1917-2006) qui le compose en 1941. Très vite, il sert de générique aux émissions de La France Libre. Un chant de nombreuses fois repris Depuis, ils sont nombreux à avoir interprété le "Chant des Partisans". Le texte original du Chant des Partisans est conservé au Musée de la Légion d'Honneur, 2 rue de la Légion d'Honneur, 75007 Paris.

L’affiche rouge Vidéo L’affiche rouge Contexte historique Une opération de propagande d’envergure Constitué et organisé entre la fin de l’année 1942 et février 1943, le réseau Manouchian fait partie du groupe de résistance des « Francs-tireurs et partisans – main-d’œuvre immigrée » (F.T.P. Arrêtés en novembre 1943, ses membres sont jugés lors d’un procès qui se déroule devant le tribunal militaire allemand du Grand-Paris, du 17 au 21 février 1944. Réalisée par les services de propagande allemands en France, « Des libérateurs ? Analyse des images L’armée du crime L’image est organisée en trois parties. Six photos (attentats, armes ou destructions) représentent enfin la menace qu’ils constituent à travers certains des attentats qui leur sont reprochés. Interprétation L’ennemi de l’intérieur « L’affiche rouge » entend d’abord présenter les membres du réseau Manouchian comme de dangereux terroristes. L’image insiste aussi sur le fait que cette « armée du crime » est constituée d’étrangers. Bibliographie Liens

« Strophes pour se souvenir » de Louis Aragon : Pistes pédagogiques - Poètes en résistance - Centre National de Documentation Pédagogique Louis Aragon, « Strophes pour se souvenir » Pistes pédagogiques En 1955, à l’occasion de l’inauguration d’une rue « Groupe Manouchian » à Paris, Louis Aragon écrit le poème « Strophes pour se souvenir », dans lequel il rend hommage à ces résistants « étrangers » arrêtés par les Allemands et fusillés le 21 février 1944. Onze ans après la fin du conflit, l’heure n’est plus à la lutte mais au devoir de mémoire. Le titre du poème annonce de manière claire le projet de lecture : il s’agit d’utiliser la forme poétique (« Strophes ») afin de lutter contre l’oubli et la banalisation du mal (« pour se souvenir »). Le poème s’inscrit ainsi dans la grande tradition littéraire des oraisons funèbres, à l’image de Bossuet en son temps ou de Malraux qui, quelques années plus tard, lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon, prononce un discours poignant. Un hommage funèbre Le poème s’inscrit d’emblée dans une démarche de mémoire et d’hommage. L’éloge des résistants Guerre 1939 – 1945.

Voyages en résistances Premiers combats du dossier « Jean Moulin, un héros de l’ombre » - Pour mémoire - CNDP « Signez, me dit l'officier blond, où vous serez ce qu'il vous en coûte de narguer des officiers allemands. » Comme je ne me résous pas à me pencher pour prendre la plume, je reçois entre les omoplates un coup qui me fait chanceler. C’est l’officier qui se trouver derrière moi qui m’a frappé violemment avec le canon de son arme. Je proteste contre ces odieux traitements : « On m’a amené ici pour voir le général ? Pendant l’hiver 1941, dans le calme de l’appartement montpelliérain familial, Jean Moulin prend le temps de raconter par écrit l’entrée de l’armée allemande à Chartres et les pressions subies pour le contraindre à signer un « protocole » accusant à tort d’exactions des soldats coloniaux de l’armée française. À partir du texte original, le comédien Jean-Paul Zennacker a conçu dans les années 1990 un spectacle vivant dans lequel il prête sa voix à l’ancien préfet. Suggestions d’activités

Les combattants de l'ombres Jean Moulin, résistant et héros de la France Cet article date de plus de huit ans. Publié le 06/11/2015 11:56 Mis à jour le 06/11/2015 14:24 Durée de la vidéo : 2 min Grand personnage de l'histoire de la France, Jean Moulin reste une icône respectée dans les mémoires pour son rôle au sein de la Résistance. Beaucoup de lieux et d'établissements portent son nom aujourd'hui, signe de sa place au sein de l'histoire de la France. Quand éclate la Seconde Guerre mondiale, Jean Moulin choisit la voie de la clandestinité et rejoint Londres. Un mois après, à Caluire-et-Cuire (Rhône), la Gestapo de Klaus Barbie le capture. Le 19 décembre 1964, André Malraux prononce l'un des plus grands discours de la République : "Entre ici, Jean Moulin, avec ton terrible cortège. Partager : l'article sur les réseaux sociaux La Quotidienne Culture Musique, cinéma, arts & expos, littérature & BD, mode… Tous les jours, le meilleur de l'actualité culturelle France Télévisions collecte votre adresse e-mail pour vous adresser la newsletter "La Quotidienne Culture".

Related: