background preloader

Parcours d’achat des Français : le magasin...

Parcours d’achat des Français : le magasin...
Les proches (parents ou amis) sont le meilleur vecteur d’influence pour déclencher un achat (31% des répondants), tandis qu’Internet est une source d’information pré-achat décisive (46% consultent les avis en ligne, par exemple), et que le magasin reste, de loin, le lieu préféré pour concrétiser l’achat, pour 62% des Français. Voilà quelques-uns des résultats saillants de l’étude sur le parcours d’achat des Français à l’heure de la pluralité des canaux (magasin, web, mobile…), réalisé par l’Ifop pour le compte de Wincor Nixdorf. Objectif : cerner les contours de ses habitudes, brouillées par l’immixtion de plus en plus fréquente d’Internet sous toute ses formes, e-commerce (concurrent des magasins pour l’achat) et smartphones ou tablettes (pour consulter avis clients, comparer prix et produits…), les smartphones étant par ailleurs de plus en plus souvent utilisés à l’intérieur du magasin (la moitié des sondés l’utilise en point de vente, en lien avec leur parcours d’achat).

La notion de besoins La notion de besoins On entend par besoin un sentiment de manque, d’insatisfaction lié à l’origine à une nécessité physiologique non contrôlée (manger, boire, ...) puis élargi à des champs plus vastes par la psychologie.Non comblé, inassouvi, le besoin crée chez l’individu une tension, une frustration. Le besoin est le point de départ de la consommation : sans besoin, pas d’achat.La force de la publicité repose majoritairement sur ces besoins, réels ou créés. Le produit ou le service est présentés comme le moyen de ne plus être frustré. Par ailleurs, cette frustration aura été créée ou exacerbée.Ainsi, le manque est généré... pour mieux le combler. Ne confondons pas le besoin et l'envie ! La pyramide des besoins de MaslowElle exprime schématiquement les besoins présents chez tous les individus de façon latente. Cette pyramide illustre le mécanisme d’ascension dans le besoin. Les besoins selon H. Exemples de publicités conçues sur la réponse à un besoin Besoin de domination.

Indicateurs de performances: un langage commun... mais surtout un langage pour tous - Business Intelligence Un langage commun mais surtout communément partagé. Dans la foulée d'une refonte de ses systèmes de gestion et d'encaissement, le groupe Galeries Lafayette a donné à pas moins de 2 000 de ses salariés des outils pour piloter leur activité au jour le jour. Le projet d'analyse de l'information que nous avons mené est l'aboutissement d'une longue démarche de refonte des systèmes utilisés dans les magasins du groupe Galeries Lafayette. Tout a démarré par une remise à plat des systèmes d'encaissement et de gestion, avec le passage à une véritable gestion à l'article sur toute la chaîne, de l'approvisionnement à la vente. Le volet décisionnel s'inscrit dans la continuité de cette refonte. Un passage obligé vers le multicanal En magasin par exemple, l'outil sert à faire le lancement de journée.

Comment le français Worldline veut profiter de la disparition des espèces Attention, révélation. Il existe une société française qui fait partie des leaders européens des services de paiement, avec un chiffre d'affaires de plus de 1,1 milliard d'euros, et a l'intention de se battre contre les ambitions planétaires des géants du net américains sur le marché. Pour y arriver, cette entreprise quasi-inconnue il y a encore six mois, nommée Worldline, prévoit de lever 610 millions d'euros en bourse à la fin du mois. Elle est valorisée entre 2 et 2,4 milliards d'euros. La filiale du groupe informatique Atos procédera le 27 juin à une augmentation de capital, lors de laquelle 255 millions d'euros d'actions nouvelles seront émises, avant que la maison-mère en cède pour 355 millions sur Euronext - à un prix unitaire compris entre 16,40 et 20 euros. A l'issue de cette opération, qui laisse la possibilité à Atos de céder plus de titres que prévu en fonction de la demande, l'entreprise dirigée par Thierry Breton gardera entre 70 et 75% du capital de sa pépite.

Créer une zone de chalandise en 3 clics | Creer une Zone de Chalandise Résultat en vidéo : Comment faire : Pour réaliser une représentation graphique sommaire d'une zone de chalandise il vous faudra : Moins de 5 minutes (vidéo de preuve à l'appui !);La liste des adresses ou des codes postaux des clients du point de vente dans un tableur;Un compte Google Docs (facultatif, mais vous pouvez vous créer un compte, c'est gratuit, et cela vous permettra de sauvegarder votre travail); Étape 1 : Les adresses/Les codes postaux Ouvrez une nouvelle feuille de calcul sur Google Docs, (ou ouvrez une nouvelle feuille dans ce document) Collez vos adresses ou vos codes postaux dans une colonne (dédoublonnés ou non, cela n'a pas d'importance). Si vous avez uniquement les codes postaux (c'est peut être mieux !) Dans la colonne B ajoutez simplement "France" à chaque ligne. Dans la colonne C ajoutez "=CONCATENATE(A2;" ";B2)" dans le cas ou votre premier code postal est en case A2 et que France est en case B2. Étape 2 : le rendu Sélectionnez toute la colonne C. C'est terminé !

Du multicanal au cross canal en six étapes Une conférence sur le cross canal ? Sollicité pour témoigner sur le salon E-commerce Paris 2012, Romain Guinier s’est d’abord dit sceptique : « Le cross anal reste devant nous », a affirmé le p-dg d’Aigle en début d’intervention, mercredi 19 septembre. Pourtant, la marque née en 1853 a, pendant deux ans, affiné une stratégie, de concert avec MixCommerce, pour réussir sa transition du multicanal vers cette étape décisive qui la mènera, à terme, au commerce connecté. Sur son site français, lancé en 2008, les mises en avant évoluent toutes les trois semaines, comme en boutique. Aujourd’hui, il est le premier magasin du réseau sur les mois de forte activité et revendiquait encore une croissance de 70 % à la fin du mois d’août 2012 par rapport à 2011. 1. Avant toute chose, Aigle recommande de configurer les systèmes d’information pour synchroniser les data. 2. Il est important de travailler l’ergonomie des sites et de créer des services attractifs pour le consommateur. 3. 4. 5. 6.

Olivier Serfaty, fondateur de Step-In : les 3... Le concept même de géolocalisation est encore assimilé par les clients à un divertissement, bien que celui-ci atteigne aujourd’hui une échelle considérable : le réseau social Foursquare, qui a popularisé cette fonctionnalité dès 2009, cumulait pas moins de 5 milliards de check in à la fin de l’année dernière (voir le lien ici). Cette possibilité de « signaler où l’on se trouve » ou de contextualiser une photo prend aujourd’hui une envergure supplémentaire grâce au taux d’équipement en smartphone qui grimpe en flèche, avec 50% de la population française (source GfK), tandis que Facebook et Twitter offrent aussi la possibilité d’effectuer son « check in ». Bref, la greffe du « check in » et de la géolocalisation a pris. Pour les distributeurs, l’enjeu consiste désormais à faire basculer ce « check in » d’une dimension ludique à une logique utilitaire, et d’en développer un usage « in store », qui ouvre la voie à de nouveaux types de services et de bénéfices personnalisées pour le client.

Comment ne pas rater son CRM CRM et storytelling … En utilisant le storytelling par exemple. De nombreux programmes de CRM aboutissent à un constat d’échec (il y a encore quelques années, ils pouvaient atteindre 50 à 70 %, depuis, ils ont un peu baissé). Quelles sont ces erreurs, et quelles réponses peuvent leur être apportées ? Erreur n° 1 : Se focaliser sur l’aspect technologique plutôt que sur les cibles du programme Un programme de CRM repose sur l’utilisation de logiciels, parfois spécifiques, parfois beaucoup plus courants et utilisés par défaut, avec un travail important sur la base de données clients. Erreur n° 2 : Ne pas impliquer l’ensemble de son équipe Une histoire commune doit être développée autour du programme de CRM. Erreur n° 3 : ne pas placer le client aux premières loges Cette l’expérience du client avec la marque qui est recherchée à travers un programme de CRM. Au final, pas de révélations, rien que du bon sens. Source :

Choisissez le bon canal de distribution Pour certaines entreprises, la localisation de leurs bâtiments n'a que peu d'importance. Par exemple, si vous offrez des services, concluez des contrats de vente personnels et si vous vous rendez de manière générale chez vos clients, vous n'avez pas de souci à vous faire quant à la situation de vos locaux. Par contre, pour beaucoup d'autres entreprises, leur localisation revêt un rôle essentiel. Pensez par exemple à un concepteur de lampes design. Souvent, la route vers le client est complexe. Du producteur au client final : vous concevez un produit ou proposez un service et votre client l'achète directement chez vous. Du producteur au client final via un distributeur : votre intermédiaire achète vos produits et se met lui-même en quête d'utilisateurs finaux ou de plus petits intermédiaires. Ces trois modèles peuvent bien entendu être combinés à souhait. Localisation, localisation, localisation Vous voulez lancer votre propre magasin ou votre agence de services aux consommateurs ?

Related: