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Real Humans revu par les chercheurs (2)

Real Humans revu par les chercheurs (2)
L’homme sait L’ordinateur ne sait rien Comment est-il possible que d’un ensemble de messages physico-chimiques, aussi aveugles que les zéros et 1 en informatique, émerge une conscience ? Nous sommes conscients de nous-même, c’est le moi, et conscients d’être conscients. Nous savons que nous savons ce que nous savons. Related:  science et progrès

Real Humans revu par les chercheurs (1) Qu'est ce qui est réel dans la série Real Humans ? Quand nos robots seront-ils aussi doués ? CNRS le journal fait le point dans une série d'articles. Aujourd'hui : le langage. Surdoués, les hubots (human robots) de la série télévisée Real Humans ? Mais depuis ces classiques, notre technologie galopante a fait du chemin. Il est en effet devenu banal de communiquer avec son ordinateur ou son smartphone grâce aux assistants personnels intelligents, comme le fameux Siri d’Apple et d’autres applications parlantes. Dans Real Humans, les hubots s’expriment pratiquement comme vous et moi. Cela semble plutôt bien marcher… Qu’est-ce que les hubots ont de plus ? Les ambiguïtés de langage ne posent pas de problème à un humain doté de sens commun. Dans quel domaine de la linguistique nos systèmes sont-ils encore trop peu performants ? Mais il existe des bases de données qui peuvent offrir aux robots cette indispensable connaissance du monde, non ? Existe-t-il des approches plus fiables ?

Ava, le robot qui nous calculait trop « Ex Machina », thriller high-tech sur l’intelligence artificielle, vient de remporter l'Oscar des meilleurs effets visuels. Nous l’avions vu en avant-première avec un expert du domaine, l’informaticien Jean-Gabriel Ganascia. Une machine intelligente échappe-t-elle forcement à son créateur ? Dans Ex_Machina, Alex Garland, scénariste du magnifique Never Let Me Go 1, remet le couvert sur ce thème rebattu de la science-fiction. Le film ne se limite pas à une mise en scène du test de Turing À première vue, Ex_Machina ressemble à une mise en scène stylisée d’un test bien connu en intelligence artificielle : le test de Turing. Il est plus que discutable que des informaticiens, physiciens, etc., affirment sans preuves que la singularité est une réalité scientifique. « Que la SF comme Ex_Machina s’empare de ce thème, d’abord né en philosophie 3, est légitime. BlueBook, double de fiction de Google, véritable État dans l’État Un film pour les fans d’intelligence artificielle

A l'avenir, tout le monde au Japon aura un androïde - 19 juillet 2014 Terminator, Z6PO, Blade Runner : l'imaginaire hollywoodien regorge de robots plus ou moins amicaux qui ont donné vie au mythe de l'androïde susceptible un jour de supplanter son créateur. On en est encore loin, mais au Japon on y croit. En matière de robotique industrielle, aucun doute : le pays du Soleil-Levant fait la course en tête, mais certains savants songent en plus à des "créatures" qui, tels de parfaits "maîtres d'hôtel" ou "dames de compagnie", se mettraient au service d'une population vieillissante. Quelque 300 sociétés viennent d'ailleurs de se regrouper pour former un consortium afin de développer d'ici à 2020 une centaine de robots ultra-sophistiqués pensés comme des amis ou assistants. Quant au Premier ministre Shinzo Abe, il veut carrément organiser en 2020 des Olympiades des robots, en parallèle aux JO humains à Tokyo. Le combat homme-robot n'est pas loin "Les ordinateurs ont déjà surpassé les capacités humaines. Androïde de ménage "L'androïde n'est pas notre ennemi"

L’anti-HAL: pourquoi le robot d’«Interstellar» représente l’avenir de l’intelligence artificielle Temps de lecture: 5 min Le scénario d'Interstellar gravite surtout autour de l’exploration spatiale, des trous noirs et du voyage dans le temps, et c’est sans surprise que beaucoup de choses ont déjà été écrites sur le traitement de la science dans le film –un livre est même déjà sorti sur le sujet. Ce dont on a moins parlé, c’est de la représentation de l’intelligence artificielle et de la robotique, sans doute parce que les robots du film fonctionnent tellement bien qu’ils ne perdent jamais la tête et ne tirent pas toute la couverture à eux. TARS, le principal robot du film, ne ressemble en rien à un humain. TARS, au contraire, n’a pas vraiment de jambes, de bras ou d’autres attributs propres à un être vivant. Pour autant, TARS est loin d’être un grille-pain. Il est courant chez les journalistes (surtout ceux du domaine technologique) d’avancer l’idée que la technologie complète les qualités humaines plutôt que de les remplacer, mais TARS est la preuve que cette théorie est fausse.

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